La Courbe De Laffer Interets Et Limites

et ne semble se vérifier que dans des cas où la dette est déjà très lourde (Italie notamment). _le problème de l’incohérence temporelle (Kydland et Prescott [1977]), liés aux délais de transmission de la PB, sont aussi un argument fort pour limiter les politiques discrétionnaires : pour Kydland et Prescott, la politique économique doit s’attacher à suivre des règles fixes et l’évaluation de politiques alternatives doit porter sur la comparaison entre différentes règles, non ente différentes

à une première partie partiellement hors sujet), présentation rapide de l’état des débats, énoncé de la problématique (qui ne se résume pas à la reformulation directe du sujet), annonce du plan. Enfin, la conclusion ne saurait pour sa part se limiter à la reprise de l’argumentation développée dans la copie : elle doit résumer clairement la réponse apportée par le candidat à la question posée par le sujet, en souligner l’originalité éventuelle et les apports et, si possible, procéder à une ouverture

fonctionnement normal du marché ne permet pas d’aboutir à une situation d’équilibre satisfaisante. → Cf le graphique représentant l’équilibre parfait entre la demande globale et l’offre globale lorsque la concurrence est pure et parfaite. Les limites de la régulation par le marché justifient alors l’intervention de l’Etat, qui intervient par le biais de la politique économique, le marché ne peut pas se réguler seul. Les moyens d’intervention de l’Etat dans la sphère économique reposent sur un

( 1er pour 1er adulte 0,5 pour une personne de plus de 15 ans supplémentaire, 0,3 pour enfant en dessous). Document 3 p. 284 : La courbe de Lorenz et le coefficient de Gini : livre p. 296 Courbe de Lorenz : Courbe ou il existerait une parfaite répartition du revenu dans la population Coefficient de Gini : * On mesure la surface entre la courbe de Lorenz et la droite et on divise par le triangle (l’aire) on va obtenir un chiffre qui est entre 0 et 1. Document 1 distribué :

le chômage et accroître la croissance économique.  Moyens : hausse des dépenses publiques et/ou une baisse des impôts. b) La politique de rigueur ou d’austérité  Objectif : freiner la croissance de la demande pour réduire le déficit extérieur et limiter l’inflation.  Moyens : hausse des prélèvements obligatoires et une baisse des dépenses publiques. Les politiques de relance menées par les États-Unis et les pays européens en 2009 pour faire face à la crise peuvent servir d’exemples pour illustrer

par le recours à des réserves préalablement accumulées à partir d’excédents budgétaires réalisés les années antérieures, par des hausses d’impôts à supposer qu'elles n'atteignent pas le point de rupture où elles détruisent le gisement fiscal (courbe de Laffer), par émission monétaire ou tout simplement par effort de diminution des dépenses publiques. Pour étayer notre réflexion, nous utiliserons les exemples des Etats-Unis et de la France, mais aussi ceux de l’Inde et du Togo. La France connait

représente toute la société. Les économistes s’intéressent à tous les faits, et tout est relatif à un investissement/une dépense. ETAT PIB On observe grâce à ce schéma que plus le PIB augmente, plus l’Etat investit. II. Arguments traditionnels a) Limites des marchés Société = ∑ Agents qui se rencontrent sur des marchés Sur le marché, on compte sur : - la rationnatilé des agents la loi de l’offre et de la demande une concurrence parfait Si Si optimum , le prix baisse. , le prix augmente. Exemple

mais aussi en intégrant rationnellement toute l'information disponible sur le futur. anticipations adaptatives application par Friedmann à la courbe de Philips Friedmann est l'un des premiers à avoir fait remarquer que les observations statistiques selon lesquelles il y aurait une relation inverse entre chômage et augmentation des salaires (courbe de Philips) peuvent s'expliquer par les phénomènes d'anticipations adaptatives : cette corrélation serait le résultat des délais d'ajustement dans

devenu un facteur de décroissance endogène et donc le recul du pays dans la compétition mondiale. En effet, pour l’auteur, on assiste a une crise d’efficacité car premièrement, la politique d’emploi mobilise 40 milliards d’euros, pour un taux d’emploi limité à 58% et un taux de chômage à 9.6%. Deuxièmement, la politique de santé représente 11% du PIB cependant on assiste à une baisse de la qualité des soins et une hausse des inégalités d’espérances de vies et d’accès aux prestations. En final, 7% du PIB

crise, elle est devenue indispensable. La puissance publique connaît aujourd'hui une double diffraction : horizontale, avec des autorités indépendantes (ex. monnaie) ; verticale, avec des instances comme l'UE ou l'OMC. 1. L'expérience des limites – les limites de la connaissance : – interrogations sur la modélisation : quels modèles utiliser ? Quels paramètres ?... – raisonnement en moyenne sans prise en compte de la distribution des risques, avec une fréquente méconnaissance des risques extrêmes