La Convention 1792 1795

compétences. L’émigration : En 1792 eu lieu la première émigration. En effet, à cette date, les hauts seigneurs souhaitaient se mettre à l’abri car les gentilshommes, les cadres de l’armée et les notables étaient une menace pour la Législative. Il y a donc une organisation armée aux ordres de Condé (composé d’une vingtaine de régiments hétéroclites regroupant quelques 8 000 hommes des différentes origines). * Le décret du 9/11/1791 exige le retour des émigrés au 1/01/1792 sous peine de confiscation

septembre 1791 Louis XVI prête serment à la Constitution : Début de la monarchie constitutionnelle. 10 août 1792 Prise des Tuileries avec l'aide des Fédérés marseillais. Leur chant de marche sera adopté par la foule parisienne et baptisé La Marseillaise. Chute de la monarchie et suspension de Louis XVI. 20 septembre 1792 Bataille de Valmy 21 septembre 1792 Abolition de la royauté. La Convention nationale fonde la Première République. 21 janvier 1793 Exécution de Louis XVI 27 juillet 1794 9 thermidor

France. En 1792, se met en place la guillotine. Inspirée d'un dispositif déjà connu en Italie, elle comporte un tranchoir glissant entre deux montants en bois. Elle assure selon ses promoteurs une mort immédiate et sans souffrance, à la différence de la pendaison, de la décapitation à la hache ou à l'épée, de la roue ou, pire, de l'écartèlement. Le premier guillotiné est Nicolas Pelletier qui a été exécuté place de grève à Paris pour vol avec violence , le 25 avril 1792. Le 26 octobre 1795, dans sa

l'Homme et du citoyen affirme : "la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement (...)". La presse ne sera pleinement libre qu'entre 1789 et 1792. Ensuite, elle sera contrôlée par le gouvernement. Il faudra attendre la loi du 29 juillet 1881 pour que soit garantit l'indépendance des médias. {text:list-item} Déclaration des droits de l'homme et du citoyen. L'article 1 proclame : "les

1780’s. Certains auteurs avancent même le début de ce climat prérévolutionnaire aux 1750’s, à la suite de la publication en 1748 par Montesquieu de De l’esprit des lois. La Révolution ne s’arrête pas en 1789, Déjà Louis XVI reste au pouvoir jusqu’en 1792 et ne sera guillotiné que le 21 janvier 1793. Pour les historiens, la période révolutionnaire court jusqu’en 1799 et le coup d’Etat de Napoléon Bonaparte. Ce dernier proclame que la Révolution est finie, sachant qu’en 1799, il se présente comme le

| | | |IV. La Convention 21/09/1792 |V. La République sous le Directoire 26/08/1795 |VI. Le Consulat et l’Empire | | |

Auxonne et profita d'un décret autorisant la création d'une garde nationale qui permettait aux officiers de rejoindre des bataillons 2/6 de volontaires de celle-ci. Ainsi le 1eravril 1792, Napoléon se fit nommé lieutenant colonel à Ajaccio. Puis il alla à Paris et assista à la prise des Tuileries le 10 août 1792 annonçant la fin de la monarchie. Par la suite il revint en Corse comme capitaine régulier et lieutenant colonel. Mais en 1793, il se fit repoussé par les partisans de Paoli et il comprit

Robespierre la refuse en la jugeant trop dangereuse pour la poursuite de la révolution, de plus sous couvert de guerre on assiste à l’arrivée d’un général victorieux qui confisquerait le pouvoir. En Janvier 1792, l’Assemblée est progressivement gagnée par le parti de la guerre. Et le 20 avril 1792 sur proposition du roi, l’assemblée vote à la quasi unanimité la déclaration de guerre à l’Autriche. Face à l’armée autrichienne, l’armée française essuie de lourds revers et les routes de Paris semblent ouvertes

République. Révolution politique peine à aboutir mais la Révolution sociale aboutit en peu de temps. D’après Chevalier, la société nouvelle issue de la Révolution constitue « la politique majeur de la Révolution ». La Constituante (juin 1789 – septembre 1792) Des Etats généraux à l’assemblée constituante. La convocation des Etats généraux. Qu’est-ce que les Etats généraux ? C’est l’assemblée des 3 ordres convoqués par le roi à Versailles le 8 aout 1788 pour le 1 mai 1789. Mais la dernière convocation

réformer l’institution des beaux-arts, il demande la fin des privilèges de l’Académie royale ainsi que ceux de toutes les autres Académies. Ainsi, en parallèle à sa carrière artistique, il entame une activité politique en devenant député à la Convention en 1792 et ordonnateur des fêtes révolutionnaires. Son engagement l’amène à voter la mort du roi Louis XVI ce qui provoque la procédure de divorce intentée par son épouse. De plus en 1790, il entreprend de commémorer le Serment du jeu de paumes. Marat