La Comédie Est Elle Un Pur Divertissement

présentation des personnages ...............................................................12 II) Une tragédie sans règles apparentes .....................................................................13 1) Une entrée en matière digne d’une comédie populaire .............................13 2) Les indices de la Tragédie .........................................................................13 Conclusion .....................................................................................

Dès que la lithographie parut, elle se montra tout de suite très apte à cette énorme tâche, si frivole en apparence. Nous avons dans ce genre de véritables monuments. On a justement appelé les œuvres de Gavarni et de Daumier des compléments de La Comédie humaine. Balzac lui-même, j’en suis très convaincu, n’eût pas été éloigné d’adopter cette idée, laquelle est d’autant plus juste que le génie de l’artiste peintre de mœurs est un génie d’une nature mixte, c’est-à-dire où il entre une bonne partie

vraie mère passionnée, et vous en êtes l’enfant gâté. À quoi donc passez-vous le MASCARILLE : temps ? CATHOS : À rien du tout. MAGDELON : Nous avons été jusqu’ici dans un jeûne effroyable de divertissements. MASCARILLE : Je m’offre à vous mener l’un de ces jours à la comédie, si vous voulez ; aussi bien on en doit jouer une nouvelle que je serai bien aise que nous voyions ensemble. MAGDELON : MASCARILLE : Cela n’est pas de refus. Mais je vous demande d’applaudir comme

français : la tragédie au XVIIe siècle La comédie aux XVIIe et XVIIIe siècles Le drame romantique Au XXe siècle, un théâtre multiforme Fiche Méthode 1 : La scène d’exposition Chapitre 3 > Genres et registres au théâtre : tragique et tragédie, comique et comédie A .......................... 57 Les registres Les registres tragique et comique Fiche Méthode 2 : B Les genres : évolution du modèle classique au XXe siècle Fiche Méthode 3 : Comédie et tragédie Fiche Méthode 4 :

un type comme la peinture allégorique le montre également. Qu’on pense auPrintemps (1477-1478) de Botticelli (1445-1510).Elle peut comme dans la comédie s’adresser à un type, un titre comme L’avare (1668) le montre. C’est bien d’ailleurs le type que Molière avait en vue comme le montre cet extrait de sa défense du Tartuffe. « Sire, Le devoir de la comédie étant de corriger les hommes en les divertissant, j’ai cru que, dans l’emploi où je me trouve, je n’avais rien de mieux à faire que d’attaquer

  pas   d’artistes).   Le   cinéma   n’est   à   cette   époque   qu’un   produit   populaire   (dans   le   sens   péjoratif   du   terme),   une   distraction,   un   simple   divertissement,   dont   personne   ne   parle   et   qui   est   ouvertement  méprisé.   Le  cinéma  va  mettre  longtemps  à  gagner  une  légitimité  culturelle.   On   peut   comparer

chercher très loin ses modèles. Ainsi Proust s’est inspiré étroitement de la vie mondaine de l’aristocratie parisienne du faubourg Saint-Germain. Son vieux duc y a été croqué sur le vif. Balzac a ambitionné de « concurrencer l’état-civil » dans sa Comédie humaine. Quant à Zola, il s’est comporté en véritable journaliste, constituant des dossiers et se rendant sur le terrain pour rencontrer ce monde ouvrier si étranger à sa condition bourgeoise. b. S’inspirer du réel signifie donc s’inscrire dans

D’autre part, symboliquement, Meursault refuse que ce dernier l’ « embrasse » : Meursault n’est pas de cette sorte d’homme qui s’aveugle et se réfugie dans des croyances trompeuses destinées à donner un sens à « cette vie absurde », se jouant ainsi la comédie. Ainsi qu’il le confie, le seul visage qu’il ait vu sur les murs de la prison « avait la couleur du soleil et la flamme du désir : c’était celui de Marie. » (p.174) Surtout, lucide, il clame sa foi dans la seule certitude qu’il ait : la vie est d’autant

Dès que la lithographie parut, elle se montra tout de suite très apte à cette énorme tâche, si frivole en apparence. Nous avons dans ce genre de véritables monuments. On a justement appelé les œuvres de Gavarni et de Daumier des compléments de La Comédie humaine. Balzac lui-même, j’en suis très convaincu, n’eût pas été éloigné d’adopter cette idée, laquelle est d’autant plus juste que le génie de l’artiste peintre de mœurs est un génie d’une nature mixte, c’est-à-dire où il entre une bonne partie

que la lithographie parut, elle se montra tout de suite très apte à cette énorme tâche, si frivole en apparence. Nous avons dans ce genre de véritables monuments. On a justement appelé les œuvres de Gavarni et de Daumier des compléments de La Comédie humaine. Balzac lui-même, j’en suis très convaincu, n’eût pas été éloigné d’adopter cette idée, laquelle est d’autant plus juste que le génie de l’artiste peintre de mœurs est un génie d’une nature mixte, c’est-à-dire où il entre une bonne partie