La Cigarette Ponge Le Parti Pris Des Choses

ponctuation rue et hurlait → Personnification Synesthésie —> L’impression d’être encerclé par la ville V2 : En grand deuil =/ petit deuil → Perdu son mari ou son père ` Douleur majestueuse → libéré de l’emprise masculine V3 : main fastueuse → faire les choses en grand V4 : Montre ses jambes, geste impudique et provocateur de l’époque. V5 : Agile et noble → Enjambement faisant référence à la femme du premier paragraphe. Transgression des règles du sonnet + transgression morale Jambe de statue → Terme élogieux

D) Manon Lescaut page 10 à 12 -E) Les fausses confidences page 12 à 14 -F) Ruy Blas page 14 à 16 -G) Les fleurs du mal page 16 à 19 -H) Le parti pris des choses page 19 à 202- Un journal du bord sur l’une des œuvres page 213- Diverses citations tirés des œuvres page 22 à 244- Des écrits d’appropriation page 24 à 315- Des « rencontres » culturelles en lien avec le programme au-delà de la

insiste sur les notations de lumière, de reflets, de couleur recréant l’atmosphère du lieu et du moment de façon vivante. Cependant l’art ne se contente pas, dans sa description du monde, de sélectionner les choses les plus belles. Au contraire l’art peut permettre de montrer les choses laides, les horreurs du monde qui nous entourent. Ainsi il ne suffit pas à la poésie de « bien choisir » son sujet d’inspiration parmi les thèmes considérés comme poétiques tels que l’amour, la mort, la nature,

Copie de Mon carnet de lecteur Apollinaire AlcoolsCARNET DU LECTEUR ALCOOLS D'APOLLINAIRE, 1913 PARCOURS "MODERNITÉ POÉTIQUE?"Introduction: La poésie au XIXème siècle Le courant romantique, qui marque l'histoire des idées au cours de la première partie du xixe siècle, trouve dans la poésie un genre particulièrement adapté à l'expression des sentiments. LES ROMANTIQUES ASSOUPLISSENT LA VERSIFICATION ET ABANDONNENT LES FORMES FIXES. L'ÉPANCHEMENT DU « MOI » : LA POÉSIE ROMANTIQUE EST CARACTÉRISÉE

avec la manière de s'en servir» (Les | | |Vous rédigez cette lettre. | |Amours jaunes, 1873) ; Texte C - J. Laforgue : «La Cigarette» (Le | | | | |Sanglot de la terre, 1880) ; Texte D - B. Cendrars : «Académie Medrano»,|

de l’habiter: non plus qu’en est-il de la poésie aujourd’hui, mais qu’est-ce que la poésie aujourd’hui? L’histoire de la poésie depuis plus d’un siècle est celle de la disparition progressive de tout critère définitionnel du genre, ceci en grande partie en raison de la dissociation qui s’est faite à la fin du XIXe entre poésie et écriture versifiée. Dès lors que le vers n’est qu’un accessoire et non l’élément nécessaire de la poésie (on assiste en France à une double naissance: celle du vers libre

monde ? Est-il préférable qu'elle se rapproche du réel ou au contraire qu'elle fasse appel au rêve et à l'imagination ? Incontestablement, il est intéressant qu'elle exprime le réel. Ne montre-t-elle pas cependant toute sa puissance lorsqu'elle a partie liée avec l'univers des songes ? Finalement, l'essence de la poésie n'est-elle pas de rechercher l'émotion en transfigurant la réalité du monde ? I. L'intérêt d'une poésie exprimant le monde 1. Une peinture de la modernité voire de la trivialité

ordure ».Le poète, ainsi, dévoile comment le temps détruit le réel et le recompose par l’écrit, en dépassant ce monde réel ,en créant un autre monde, sublimé. La fonction de l’art, du poète n’est-elle pas, alors, de recréer une réalité idéale à partir de l’ébauche que laisse le réel comme le montre le poème? En effet, Baudelaire présente le poète comme un « artiste », un peintre qui face aux « formes » qui s’effacent, à « une ébauche lente à venir » reconstruit ce que le réel détruit. Le poète

“croquis parisien” -se servir d'une description pour donner son point de vue “le pain” de Ponge PONGE Poète contemporain, Ponge éprouve déjà, à l'âge de dix-sept ans, une violente révolte contre le parler ordinaire.Les difficultés qu'il éprouve à exprimer sa douleur après le décès de son père en 1923 avivent son sentiment d'un « drame de l'expression » : le désir irrépressible de s'exprimer (ce que Ponge appelle la "rage de l'expression") affronte un langage dont les imperfections contraignent

La Pluie, Francis Ponge La pluie, dans la cour où je la regarde tomber, descend à des allures très diverses. Au centre c'est un fin rideau (ou réseau) discontinu, une chute implacable mais relativement lente de gouttes probablement assez légères, une précipitation sempiternelle sans vigueur, une fraction intense du météore pur. A peu de distance des murs de droite et de gauche tombent avec plus de bruit des gouttes plus lourdes, individuées. Ici elles semblent de la grosseur d'un grain de blé,