La Chasse Galerie

l’artiste, le Jura ; quelques autres grandes « machines » de plusieurs mètres de long, comme le fameux « Enterrement à Ornans » (1850) ; d’autres paysages encore, inspirés par des photographies ; d’autres nus dérangeants ; et encore des scènes de chasse. Autant d’œuvres capiteuses, charnues, d’autant plus troublantes, mystérieuses, qu’elles sont élaborées à partir d’un fond enduit d’une couleur très sombre, à la manière des baroques Caravage ou Titien, et au contraire des recommandations de l’Académie

réalisations de l’art français au XVIIe siècle. L’ancien pavillon de chasse de Louis XIII fut transformé et agrandi par son fils Louis XIV qui y installa la Cour et le gouvernement de la France en 1682. Jusqu’à la Révolution française, les rois s’y sont succédés, embellissant chacun à leur tour le Château. Sa construction a pris 30 ans (de 1665 à 1695). En effet, Il n'est au départ qu'un modeste château construit par Louis XIII pour la chasse. C'est cet emplacement qui sera toutefois choisi par Louis XIV

réifiantes, dont l’image des « pou- pées » pour Lolotte et Fifine (194), de la « fougère desséchée » pour Lili (193), de l’ « idole japonaise » pour Francis du Hau- toy (196), des « châsses » pour les deux ou trois fils de famille « timides, silencieux » qui se trouvent là (198). « Poupées », « idole », et « châsses », en particulier, imposent l’idée d’un musée de choses (alternative au zoo) : le bizarre s’expose. À cela s’ajoute l’incertitude ontologique, que, sur un mode ludique, le narrateur introduit

roi, à Madrid »). L’endroit est luxueux (« Ameublement magnifique », « châssis dorés » à deux reprises) et immense (« grande fenêtre », « appartement intérieur », « au fond, une grande cloison vitrée », « large porte également vitrée sur une longue galerie (…) qui traverse tout le théâtre », « immenses rideaux ») -Informations tirées de la scène 1, acte I (avec délimitation) : L’espace est très vaste (didascalie « il sort par la porte du fond. Don Salluste va à la fenêtre ») *Le contexte -Informations

les moutons volants, les fontaines donnant toutes sortes de produits (liqueurs de cannes à sucre, de roses, …), mais aussi par le côté démesuré des choses « tout est sur dimensionné », comme les édifices publiques qui montent jusqu’aux nuages, une galerie de 2000 pas, les duvets de colibri mais également par les allusions aux épices comme les girofles et la cannelle : les épices sont des denrées rares et chères à l’époque ce qui fait également leur exotisme. Par ailleurs le merveilleux est aussi donné

aiment se divertir comme dans le texte de Thomas More, Utopia, « Ils cultivent la vigne, les fruits, les fleurs et toutes sortes de plantes. » « Ils mettent à cette culture tant de science et de goût ». Dans celui de Rabelais, Gargantua, on retrouve la chasse « La vénerie » L’apprentissage des langues « les belles grandes librairies en grec, latin, hébreu, français, toscan, et espagnol ». La nature des édifices, leur disposition, leur architecture ont une importance dans la façon de vivre des habitants

formation avant le 6 février 1724, date à laquelle il est reçu à l'Académie de Saint-Luc avec le titre de maître auquel il renonça en 1729. D'après les frères Goncourt, Coypel aurait fait appel à Chardin pour peindre un fusil dans un tableau de chasse, ce qui lui aurait donné le goût pour les natures mortes. Il est probable que deux de ses tableaux, la Raie et le Buffet aient été remarqués par deux membres de l'Académie royale à l'Exposition de la Jeunesse, place Dauphine, en 1728 : Louis Boulongne

appareillés en pierre avec une extrême précision, étaient recouverts d'un enduit rehaussé de peintures, comme ceux des maisons de Pompéi. La force des choses explique Palais de Justiceque les premiers rois franks, s'établissant à Paris après en avoir chassé les Romains, aient dès l'abord fixé leur résidence au siège visible de la puissance publique, à la fois palais et forteresse. L'île de la Cité se terminait en ce temps-là à la rue de Harlay, qui occupe l'emplacement comblé d'un petit bras de la

facilement, mais il garantissait surtout le respect de la distribution des places, rigidement préétablie et organisée par classes sociales. les Romains ont perfectionné et généralisé ce type de structure de la façade avec des voûtes, creusées de galeries et de passages : édifices à «structure creuse» selon l'historien J.-C. Golvin. L'entrée aux jeux était libre. Mais chaque citoyen possédait une plaque sur laquelle étaient indiqués sa place et le parcours à suivre pour y accéder : le numéro

conslus° du conte, il n'est qu'une étape ds l'itinéraire de Candide. Question possibles: En quoi ce passage est-il un monde utopiq. ? Garder élémts intro Quelle est la place de cet extrait ds le conte. Changer intro: Depuis que Candide a été chassé du château, il a été confronté au monde & a vécu de nb péripéties qui semblaient remettre totalemt en cause la philo. de l'optimisme; ors, en ce sens,ce passage prend une place majeure puisqu'il présente un monde qui semble correspondre à cette philosophie