La Chasse Aux Pommes J J Rousseau

prix d’à présent alors : on allait de six heures du matin jusqu’à la nuit pour huit sous. Avec ça elle voulait mettre de côté pour s’habiller à la fête le jour de Saint-Rémi... Ah ! voilà comme on est chez nous : il y en a beaucoup qui mangent deux pommes de terre par jour pendant six mois pour s’avoir une robe neuve ce jour-là... Les mauvaises chances nous tombaient de tous les côtés... Mon père vint à mourir... Il avait fallu vendre un petit champ et un de vigne qui tous les ans nous donnait un tonneau

prix d'à présent alors : on allait de six heures du matin jusqu'à la nuit pour huit sous. Avec ça elle voulait mettre de côté pour s'habiller à la fête le jour de Saint-Rémi... Ah ! voilà comme on est chez nous : il y en a beaucoup qui mangent deux pommes de terre par jour pendant six mois pour s'avoir une robe neuve ce jour-là... Les mauvaises chances nous tombaient de tous les côtés... Mon père vint à mourir... Il avait fallu vendre un petit champ et un homme de vigne qui tous les ans nous donnait

ce bel état de prêtre qui mène à tout. Cette horreur pour manger avec des domestiques n’était pas naturelle à Julien, il eût fait, pour arriver à la fortune, des choses bien autrement pénibles. Il puisait cette répugnance dans les Confessions de Rousseau. C’était le seul livre à l’aide duquel son imagination se figurait le monde. Le recueil des bulletins de la grande armée et le Mémorial de Sainte-Hélène complétaient son Coran. Il se serait fait tuer pour ces trois ouvrages. Jamais il ne crut en

de ce bel état de prêtre qui mène à tout. Cette horreur pour manger avec les domestiques n'était pas naturelle à Julien ; il eût fait pour arriver à la fortune des choses bien autrement pénibles. Il puisait cette répugnance dans les Confessions de Rousseau. C'était le seul livre à l'aide duquel son imagination se figurait le monde. Le recueil des bulletins de la Grande Armée et le Mémorial de Sainte-Hélène complétaient son Coran. Il se serait fait tuer pour ces trois ouvrages. Jamais il ne crut en

prix d’à présent alors : on allait de six heures du matin jusqu’à la nuit pour huit sous. Avec ça elle voulait mettre de côté pour s’habiller à la fête le jour de Saint-Rémi... Ah ! voilà comme on est chez nous : il y en a beaucoup qui mangent deux pommes de terre par jour pendant six mois pour 15 s’avoir une robe neuve ce jour-là... Les mauvaises chances nous tombaient de tous les côtés... Mon père vint à mourir... Il avait fallu vendre un petit champ et un homme de vigne qui tous les ans nous donnait

accorder à Della une importance majeure dans ce récit. 10. Si le manque d’argent rend la vie de ce jeune couple difficile, l’amour qui les unit, l’attention qu’ils portent l’un à l’autre la rendent heureuse. 6. Jim est comparé à « un chien de chasse au lapin à l’arrêt devant un sanglier » (l. 6-7) et Della à « un chat qui s’est brûlé la patte » (l. 32-33). Ces expressions sont amusantes car elles comparent les personnages à des animaux. Par leur caractère inattendu, ces comparaisons introduisent

ce bel état de prêtre qui mène à tout. Cette horreur pour manger avec des domestiques n’était pas naturelle à Julien, il eût fait, pour arriver à la fortune, des choses bien autrement pénibles. Il puisait cette répugnance dans les Confessions de Rousseau. C’était le seul livre à l’aide duquel son imagination se figurait le monde. Le recueil des bulletins de la grande armée et le Mémorial de Sainte-Hélène complétaient son Coran. Il se serait fait tuer pour ces trois ouvrages. Jamais il ne crut en

campagne. En effet, I'action se déroule dans un milieu de gentilshommes campagnards dont il nota les habitudes, le comportement, l'étonnement devant la folie de Pharsamon ; Cliton raconte son enfance, ses jeux avec son maître, la chasse aux moineaux, le maraudage des pommes dans le verger du seigneur, les duels à coups d’épées de bois, la lecture des romans ; apparaît un témoignage sur la guerre des Cévennes. Sensible à la poésie rustique et au pittoresque des détails familiers, Marivaux se justifia

ce bel état de prêtre qui mène à tout. Cette horreur pour manger avec des domestiques n’était pas naturelle à Julien, il eût fait, pour arriver à la fortune, des choses bien autrement pénibles. Il puisait cette répugnance dans les Confessions de Rousseau. C’était le seul livre à l’aide duquel son imagination se figurait le monde. Le recueil des bulletins de la grande armée et le Mémorial de Sainte-Hélène 67 complétaient son Coran. Il se serait fait tuer pour ces trois ouvrages. Jamais il ne

ce bel état de prêtre qui mène à tout. Cette horreur pour manger avec des domestiques n’était pas naturelle à Julien, il eût fait, pour arriver à la fortune, des choses bien autrement pénibles. Il puisait cette répugnance dans les Confessions de Rousseau. C’était le seul livre à l’aide duquel son imagination se figurait le monde. Le recueil des bulletins de la grande armée et le Mémorial de Sainte-Hélène 67 complétaient son Coran. Il se serait fait tuer pour ces trois ouvrages. Jamais il ne crut