La Chartreuse De Parme

dans les années 182* et décrit un bal organisé par M. le duc de B***, banquier, dans son nouveau palais de la place de Venise décrit comme le plus beau palais de son temps. Il est aussi connu pour ses romans Le Rouge et le Noir mais aussi La Chartreuse de Parme, qui peint une vision réaliste de la société de son temps. Nous allons donc voir comment l'auteur altère le réalisme de son temps. Pour cela nous allons observer la vision onirique de l'auteur vis-à-vis du palais et de ses composants puis ensuite

s'ennuie et part voyager. Un congé de 1836 à 1839 lui permet de rentrer à Paris. Il ne réussit pas à terminer les œuvres qu'il commence (Souvenirs d'égotisme, Vie d'Henry Brulard, Lucien Leuwen...). Après avoir achevé son dernier chef-d'œuvre, La Chartreuse de Parme, en 1839, il meurt dans la nuit du 22 au 23 mars 1842 d'une attaque cardiaque. Sa dépouille est enterrée au cimetière de Montmartre à Paris. Il avait été fait chevalier de la Légion d'Honneur par Guizot.

culture et les nouveaux moyens de diffusion permettent au roman de rencontrer un grand succès. On retrouve : Balzac (La Comédie Humaine), Hugo (Les Misérables, Notre Dame de Paris), Zola (Les Rougon-Maquart), Stendhal (Le Rouge et le Noir, La Chartreuse de Parme), Maupassant (Bel-Ami), etc. Le succès rencontré par le roman au XIXème siècle se poursuit au XX° siècle. Il subit une profonde remise en question après la seconde guerre mondiale et se fait plus critique et parfois plus pessimiste. II-

sur portable exemple Marie Despléchin et Didier Van Cauwelaert. Cependant par le passé quelques auteurs écrivaient rapidement sans aucune difficulté ni pression et sans presque aucun brouillons. Au XIXe siècle, Stendhal a écrit « La chartreuse de Parme » en seulement 53 jours en ne relisant que les dernières lignes qu’il avait écrites la veille. Et son livre est un des romans phares de la littérature française D’autres écrivains eux mettent beaucoup plus de temps à écrire et à peaufiner

Dernier jour d’un condamné ; Notre-Dame de Paris ; Les Misérables (en partie) MAUPASSANT, Une Vie ; Bel-Ami ; Pierre et Jean ; Fort comme la mort SAND, Indiana ; Lélia ; La Mare au diable ; La Petite Fadette STENDHAL, Le Rouge et le noir ; La Chartreuse de Parme VALLES, L’Enfant ; Le Bachelier ; L’Insurgé VERNE, Le château des Carpathes ; Voyage au centre de la terre VILLIERS DE L'ISLE ADAM, L'Eve future ZOLA, Les Rougon-Macquart : la Curée ; Le Ventre de Paris ; Son excellence Eugène Rougon ; Nana

avec plusieurs autres écrivains populaires de l’époque. Notamment avec Stendhal qui doit son succès à ce dernier. En effet, alors que les romantiques n'avaient pas repéré le génie de Stendhal, Balzac fut le seul à reconnaître la valeur de La Chartreuse de Parme, un roman signé Stendhal, dès sa publication alors que les journaux boudaient ce roman. Balzac fait part de son enthousiasme écrivant une critique très positive du roman de Stendhal à mais aussi à madame Hanska. Suite à cette lettre, Henri

partager son indignation face à la guerre. Voltaire ne nous présente ni vainqueur, ni vaincu, car la guerre ne produit que des morts et de la souffrance. • Voltaire ne fut pas seul à dénoncer les atrocités de la guerre : La Bruyère, Stendhal (La Chartreuse de Parme).

auquel il donne le titre général de La Comédie Humaine. - Stendhal, de son vrai nom Henri Beyle (1783-1842) « De l’amour » 1822 ; «Le Rouge et le Noir » 1830 ; « Début de Vie de Henry Brulard.Lucien leuwen » 1834-1836 ; « La Chartreuse de Parme » 1839. - Flaubert Gustave (1821-1880). Il a marqué la littérature par son regard lucide sur les comportements des individus et de la société. « Madame Bovary » 1857 ; « Salammbô » 1862 ; « Trois Contes » 1877.

orné de Chateaubriand et que le Code civil est pour lui l’antidote aux longueurs et langueurs rhétoriques de ses contemporains, ainsi qu’il l’écrit à Balzac en 1840, répondant aux éloges que ce dernier avait exprimés pour La Chartreuse de Parme : « En composant la Chartreuse, pour prendre le ton, je lisais de temps en temps quelques pages du Code civil. »1 Il justifie ce qu’il appelle le style un peu trop âpre du Rouge et le Noir par sa hantise de la verbosité inutile. Dans son Journal, il parle

peuvent par leur force morale, et hors de toute thématique guerrière (sauf pour Jeanne d'Arc, chez Michelet), accéder à leur tour au rang d'héroïne : courage d'Andromaque, héroïsme d'Antigone, virtu de Clélia Conti et de la Sanseverina (La Chartreuse de Parme). 2. Héros et antihéros Dans tous ces exemples, le héros est forcément positif. Mais comment ne pas voir que, aussi bien représentée qu'elle soit dans la tradition littéraire, cette figure d'exception parée de tous les mérites, non seulement