La Chair et le Diable

reflétant le reste de l’humanité. Cependant, mise à part cet enjeu métaphysico-spirituel, n’y aurait-il pas un autre jeu que le créateur pourrait entamer avec le temps théâtral ? Anne Ubersfeld dit, par exemple : « […] lié au temps comme à sa propre chair, le théâtre est aussi un lieu de la provocation du temps »[4]. Mais dans quelle mesure peut-on parler de « provocation » au théâtre ? Est-ce que « un théâtre où une pièce serait jouée en continu, [où] il n’y aurait pas de début, de milieu et de fin

rouge et du blanc, le rose, couleur de la chair, de la rosée régénératrice, de la séduction, symbolise l’amour, la pureté, la fidélité (comme la fleur du même nom) Rouge : C’est la couleur du sang frais et du feu. Il symbolise la vie, la chaleur et la génération, mais aussi la destruction. Le rouge vif, ou clair est la force vitale, la richesse et l’amour. Mais, sous son aspect infernal, le rouge correspond à l’égoïsme, à la haine, à l’amour infernal au diable. Couleur des généraux, de la noblesse

grandes tables où une centaine d’ordinateurs avaient été alignés dos à dos. Ils n’étaient qu’une douzaine d’étudiants: c’était généralement ainsi le dimanche à une heure aussi matinale. Après avoir essayé plusieurs fois de rallumer en vain cet engin du diable, elle se leva, résignée; elle décida de revenir dans le courant de l’après-midi, lorsque les techniciens auraient enfin rémis le courant. En attendant, l’étudiante allait noyer sa frustration à la piscine. B/ Description du héros

passa, portée toute droite ; et cette hache unique, qui était comme l’étendard de la bande, avait, dans le ciel clair, le profil aigu d’un couperet de guillotine. — Quels visages atroces ! balbutia Mme Hennebeau. Négrel dit entre ses dents : — Le diable m’emporte si j’en reconnais un seul ! D’où sortent-ils donc, ces bandits-là ?  Et, en effet, la colère, la faim, ces deux mois de souffrance et cette débandade enragée au travers des fosses avaient allongé en mâchoires de bêtes fauves les faces placides

tiré de Introduction à la littérature fantastique de Todorov et vérifie si ta grille d’évaluation du genre est complète et suffisamment précise. Dans un monde qui est bien le nôtre, celui que nous connaissons, sans diables, sylphides, ni vampires se produit un évènement qui ne peut s'expliquer par les lois de ce même monde familier. Celui qui perçoit l'évènement doit opter pour l'une des deux solutions possibles: ou bien il s'agit d'une illusion des sens, d'un produit

mystérieux dont il est difficile de comprendre toutes les ramifications. La machine offre une image d’engrenage dangereux, de serpentins maléfiques, de pieuvres tentaculaires, comme si elle cachait à l’intérieur de son ventre, une sorte de cuisine du diable. Quand on constate en outre que l’alambic se situe « au fond, derrière la barrière de chêne », on a vraiment l’impression que pour Gervaise, cette machine ressemble à un monstre tapi dans l’ombre, un monstre qui se cache pour mieux guetter ses proies

foi en crise et violemment critiquée Š le catholicisme Dieu et Saint-François d’Assise énervés Dieu et Saint-François sont horrifiés de A par ce qui se passe sur Terre la façon dont les chrétiens pratiquent Le diable souffle à un moine dans une Le moine prêche un discours religieux B chaire le contenu de la messe qui s’écarte des « vrais » préceptes Des clercs et des laïcs derrière eux Les pèlerinages (ou processions) C tournent autour d’une église semblent inutiles à Cranach Des moines entourent

la vie. PendusFrançois Villon | Frères humains, qui après nous vivez, N'ayez les cœurs contre nous endurcis, Car, si pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tôt de vous mercis[1]. Vous nous voyez ci attachés, cinq, six : Quant à la chair, que trop avons nourrie, Elle est piéça[2]dévorée et pourrie, Et nous, les os, devenons cendre et poudre. De notre mal personne ne s'en rie ; Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! Se frères vous clamons[3], pas n'en devez Avoir

que Martin Luther a fondé en 1517. Dieu et Saint-François d’Assise énervés Dieu et Saint-Fran çois sont horrifiés de par ce qui se passe sur Terre la façon dont les chrétiens pratiquent Le diable souffle à un moine dans une Le moine prêche un discours religieux chaire le contenu de la messe qui s’écarte des « vrais » préceptes Des clercs et des laïcs derrière eux Les pèlerinages (ou processions) tournent autour d’une église semblent inutiles à Cranach Des

faut L'orgueilleuse mélancolie Qui vous fait marcher le front haut. Et, vengeant sur vous le blasphème Des vastes espoirs véhéments, Meurtrit votre front anathème Au choc rude des éléments. Les juins brûlent et les décembres Gèlent votre chair jusqu'aux os, Et la fièvre envahit vos membres, Qui se déchirent aux roseaux. Tout vous repousse et tout vous navre, Et quand la mort viendra pour vous, Maigre et froide, votre cadavre Sera dédaigné par les loups! PAYSAGES TRISTES A Catulle