La Bruyère De La Mode 2

Pour votre préparation ou pour compléter votre travail, vous pouvez utiliser l’outil Lytext : Lytext - Votre sélection (atilf.fr) · Contextualisation : Né à Paris, licencié en droit, Jean de La Bruyère s’inscrit au barreau. Un héritage lui permet d’acheter une charge qui lui procure l’anoblissement. Mais des revers de fortune le conduisent à devenir précepteur du duc de Bourbon, le petit fils du Grand Condé, prince de sang, Grand du royaume. Il

textes étudiés sont tous des textes à visée argumentative cherchant à convaincre le lecteur du message que veut faire passer l’auteur. Trois de ces textes sont formés par l’argumentation indirecte, ce sont ceux de Jean de La Fontaine, Jean de La Bruyère et de Voltaire. Diderot à utiliser l’argumentation directe pour son œuvre « Pensées philosophiques ». Dans un premier paragraphe nous allons étudier ces différents genres d’argumentation en s’appuyant sur les textes, puis dans un second paragraphe

nature de l’hypocrite ? Plan : I] L’hypocrite et l’Homme dévot : Un contraste. 1) Une apparence trompeuse. 2) La ruse de l’hypocrite. 3) Une double personnalité. II] L’être et le paraître. 1) Un camouflage parfait. 2) Un esprit analytique. 3) Le rôle de dévot. III] L’influence sur autrui. 1) Une dévotion démesurée et ridicule. 2) L’art de maitriser l’implicite. La Bruyère, moraliste du XVIIème siècle, est connue pour son seul ouvrage Les Caractères dont il a passé une moitié de sa

Les Caractères de J. de La Bruyère 1688 Manuel p. 167 Appréciations : 1. Faire des recherches sur l’auteur, le contexte d’écriture, l’œuvre, le texte, son genre et son sujet (notes) Biographie : (1645-1696) : moraliste Français du XVII s ( comme la Fontaine, La Rochefoucauld et le cardinal de Retz ) Précepteur du duc de Bourbon ( petit fils du Grand Condé ) de qui lui permet d'observer de plus près les mœurs et les travers de la noblesse de la cour. Les caractère

garant d’une âme bien remplie de douceur et de charité selon les mots de Jacob. Ses courts cheveux ordonnés se relèvent en demi boucles sans que celui qui les porte n’en prenne soin, comme si sa coiffure était naturellement celle des postiches à la mode de l’époque. Ses lèvres vermeilles et ses belles dents bien blanches (sans bien sûr qu’il n’y soit pour quelque chose, celles-ci ont une délicatesse pratiquement divine) nous rappellent le portrait que Molière faisait de son dévot personnage du Tartuffe

2) LES ETAPES DE L’ARGUMENTATION : 1° argument : Petitesse de l’homme dans la nature : Le premier argument du texte (l.1 à 6) est d’ordre physique. Face aux « montagnes voisines du ciel », face à l’éléphant et à la baleine, les « petits hommes, hauts de six pieds, tout au plus de sept » ne soutiennent pas la comparaison. 2° argument : Relativité du jugement humain : Le second argument (l.6 à 11) attaque l’homme sur sa prétention à la supériorité intellectuelle. « J’entends corner sans cesse

GITON ET PHEDON LA BRUYERE Double portrait construit à priori sur une opposition, opposition prise en compte par le lecteur dès le début du deuxième portrait. S’agit-il alors d’une critique des inégalités ? Faut-il lire ces portraits comme la démonstration du poids de la fortune ? Comment un portrait peut-il servir une argumentation ? Quelles sont les visées de La Bruyère ? Contre qui ou contre quoi est dirigée la satire ? 1 L’opposition qui charpente les portraits est trompeuse et insatisfaisante

Livres V à X, Caractères , 1688, Jean de La Bruyère : La comédie sociale. Jean de la Bruyère (1645-1696), est né dans une famille de juristes. Après des études de droits, et l’obtention d’un héritage qui va l’anoblir, il devient le précepteur du Duc de Bourbon. Sacrifiant à l’esthétique classique, en 1688, il fait paraître, seul, les Caractères ou les Mœurs de ce siècle , de manière

INTRODUCTION DU COMMENTAIRE « Ménalque, le distrait » est un extrait tiré du chapitre XI intitulé « De l'homme » et fut publié en 1696 dans l'ouvrage monumental de La Bruyère « Les Caractères ou les Mœurs de ce siècle » ; il met en scène un personnage plutôt loufoque qui n'arrête pas de se perdre et de multiplier les actes manqués. PB : [3° alinéa: annoncer le plan dans ses grandes lignes, les centres d'intérêt du texte proposé] Dans un premier temps, nous étudierions les caractéristiques

L.A. n°2. « Irène » Un portrait fait par un Ancien mise en scène de deux personnages tirés d’une Grèce de convention : o Irène : - étymologiquement, eirênê signifie la « paix » (antiphrase, cette femme étant au contraire inquiète) - nom d’une ancienne impératrice byzantine, usurpatrice quoique sainte (élément qui a pu aider les contemporains à reconnaître dans ce personnage une clef pour Mme de Montespan, maîtresse officielle du roi. o Esculape : - dieu de la médecine : « le dieu » répété