La Belle Verte

Le Relais En voyage, on s’arrête, on descend de voiture ; Puis entre deux maisons on passe à l’aventure, Des chevaux, de la route et des fouets étourdi, L’œil fatigué de voir et le corps engourdi. Et voici tout à coup, silencieuse et verte, Une vallée humide et de lilas couverte, Un ruisseau qui murmure entre les peupliers, Et la route et le bruit sont bien vite oubliés ! On se couche dans l’herbe et l’on s’écoute vivre, De l’odeur du foin vert à loisir on s’enivre, Et sans penser

l’herbe verte, il s’est couché, face contre terre, sous lui il place son epée, il se trourne vers l’Espagne, d’une main il frappe sa poitrine : « Dieu, c’est ma faute. » il dit. Troisième partie : victoire sur Marsile, Charlemagne est à Roncevaux, sur les mort qu’il a trouvé il commence à pleurer. Il cherchait son neveu, il reconnait les coups de Roland sur trois rochers : sur l’herbe verte, il voit son neveu gisant, il est très triste et malheureux, nous voyons aussi la mort de la belle Aude,

toute la chambre comme une atmosphère phosphorique, comme un poison lumineux; et toute cette lumière vivante pensait et disait: "Tu subiras éternellement l'influence de mon baiser. Tu seras belle à ma manière. Tu aimeras ce que j'aime et ce qui m'aime: l'eau, les nuages, le silence et la nuit; la mer immense et verte; l'eau uniforme et multiforme; le lieu où tu ne seras pas; l'amant que tu ne connaîtras pas; les fleurs monstrueuses; les parfums qui font délirer; les chats qui se pâment sur les pianos

la dernière strophe où on signale que son «âge fleuronne/ en sa plus verte nouveauté» et où le poète en joint fortement la jeune fille : «cueillez votre jeunesse». Outre cette analogie entre la jeune fille et la fleur, le champ lexical de la beauté contribue aussi à l’importance de ce thème : «beauté», «beautés», «Mignonne», «pourpre», «pourpré», et surtout le mot «rose», parce que la rose est souvent considérée comme la plus belle des fleurs. Même les sons prédominants dans la première strophe rappellent

mouvements : 1) (L1 à L15) de « Gervaise dura… » à « déjà verte, dans sa niche. » J’ai nommé cet extrait, L’expérience de la mort. En effet, on a ici une description péjorative du personnage qui nous explique la déchéance entrainant sa mort. Le CL de la mort y est omniprésent et on a CL péjoratif, une description presque scientifique parfois qui fait appel aux sens du lecteur. 2) (L15 à la fin) de « Justement » à « Fais dodo, ma belle ! ». J’ai nommé cet extrait, La réhabilitation de Gervaise.

l’immeuble, le petit atroupement qui c’était créée se dissipa .Au moment ou elle dit ces mots, j’ai compris, j’ai compris que c’était-elle, elle était belle, encore plus belle que dans mes souvenirs. Je m’apprété à partir quand quelque chose m’interpella, je m’approchais et m’accroupis pour examiner les débris du pot de plus près et j’aperçus une petite tige verte au milieux de la terre et des vielles racines ,c’était comme si il n’avait jamais était mort ou qu’il venait de ce ressuscité. Je parti en me disant

--------------------------------- 3- Leprince de Beaumont : La belle et la bête ---------------------------------------------- I- Le recours au conte séduisant --> Le registre pathétique -> Champ lexical : « pauvre », « monstre », « chagrin », « helas » -> Tournure exclamative marquée par une accentuation forte. -> Lexique riche et diversifié Le registre pathétique permet aux lecteurs de s’identifier à la Belle et d’éprouver de la compassion pour le monstre. --> Utilisation

chevaux chassait ; Déjà le ciel aux Indes rougissait, Et l'aube encor de ses tresses tant blondes Faisant grêler mille perlettes rondes, De ses trésors les prés enrichissait : Quand d'occident, comme une étoile vive, Je vis sortir dessus ta verte rive, O fleuve mien ! une nymphe en riant. Alors, voyant cette nouvelle Aurore, Le jour honteux d'un double teint colore Et l'Angevin et l'indique orient. Présentation de l’auteur : Joachim Du Bellay est un poète français né vers 1522 à Liré

à Capesterre-Belle-Eau, la SCEA Les Hauts de Cambrefort s’étend sur une superficie de 220 hectares, seulement 85 hectares sont cultivables, les 140 hectares qui restent constitue une foret domaniale. Sur un hectare 1850 pieds de banane sont cultivés de bananes toute fois seul 1700 pieds par hectare sont fiable à cause de la cercosporiose qui sévit sur une bonne partie des parcelles. La surface cultivable restera la même pour les années avenir car le domaine est en contacte avec le parc national

splendeur du monde et je m’afflige de ne pouvoir remercier son créateur. Mais, tant de roses me consolent, tant de lèvres s’offrent aux miennes ! Laisse ton luth, ma bien-aimée, puisque les oiseaux se mettent à chanter. Au milieu de la prairie verte, l’ombre de cet arbre ressemble à une île. Passant, reste où tu es, là-bas ! Entre la route que tu suis et cette ombre qui tourne lentement, il y a peut-être un abime infranchissable. Luths, parfums et coupes, lèvres, chevelures et longs yeux,