La Beauté Dans Le Regard

leurs regards (jeu de regards). D’abord a travers le regard de victor Hugo qui dit clairement « je cru voir une fée » il évoque également la « beauté » de la jeune fille (v6) et la même idée se retrouve au vers 15 avec « la belle fille ». Le fait de parlé de fée traduit bien l’idée de coup de foudre car il s’agit là d’un vision embellie par le sentiment amoureux naissant de victor Hugo. Ce coup de foudre s’emble réciproque puisque la jeune fille le regarde a deux reprise v5 et v10 ce regard est qualifier

au bec crochu. MET EN SCENE (métaphore) : l'albatros >< poète (= sent aliéné/incompris : la société) Quatrain 1 :description de l'albatros en pleine mer, où il est libre et à l'aise. Description : sa beauté/ grâce en volant au-dessus des vagues. Lorsqu'il est ramené à terre : l'albatros devient l'objet de moqueries/mépris de la part des marins. Quatrain 2/3 :souffrance/tristesse du poète. = ailes = avirons/rames qu’il traîne

un enfant de Poros, [203c] s'alla coucher auprès de lui, et devint mère de l'Amour. Voilà d'abord comment, ayant été conçu le jour même de la naissance d’Aphrodite, l'Amour devint son compagnon et son serviteur, outre que de sa nature il aime la beauté, et qu’Aphrodite est belle. Maintenant, comme fils de Poros et de Penia, voici quel fut son partage. D'un coté, il est toujours pauvre, et non pas délicat et beau comme la plupart des gens se l'imaginent, mais maigre, [203d] défait, sans chaussure

(Claude de France). Mme de Clèves, récemment mariée ( et ne partageant pas l'amour de son mari), quine le connaît que de réputation y est également présente. Les deux personnages se rencontrent au cours d'une danse sans avoir été présenté, sous le regard de la cour dont ils constituent les joyaux comme l'attraction. Lecture du passage Caractérisation du passage: Ce récit du bal et de la rencontre est une scène cruciale dans le roman: une scène attendue et préparée (rencontre des deux personnages

1833Exposition :* Thème : regard, argent, commérages* portrait de Grandet : lié à un lieu, avare* Eugénie : héritière, pas individualiséeIl y a X * Situation : anniversaire d'Eugénie* Jeu de regards : Charles: examine un milieu inconnu, Joueurs: considèrent Charles avec curiosité, Grandet: concentré sur la lettre, Eugénie: regarde Charles amoureusement =>focalisation interne, surprise et ravissement=> féminisation de Charles* Charles : contraste à travers les regards, contraste entre lui et le

qui le rend apte à créer cette beauté. Or, lorsqu’une chose belle est admirée, elle est souvent considérée comme œuvre d’art, produit du travail de l’artiste. Est-il alors possible d’être induit en erreur quant à (et par) la beauté d’un objet observé ? Le beau et la définition même d’œuvre d’art semblent reposer sur une considération subjective. Mais devant une œuvre d'art, peut-on dire : « à chacun son goût » ? De plus, une œuvre d’art semble comporter une beauté universelle, reconnue par chacun

réflexion morale sur l’importance du paraitre à la Cour.L2 : « Lorsqu'elle arriva, l'on admira sa beauté et sa parure » Ie pronom indéfini« On » désigne la totalité de la cour qui regarde sa « parure » qui est un indicateur de la qualité de la personne : La PdC est vu comme un Idéal de la Beauté : Arrivée de la princesse déclenche le bal => relation de cause à effet, Lexique mélioratif : “beauté”, “parure” ceci montre les valeurs liées à l’apparence physique de la société de la courL3-4 : « il

interrogations bien distinctes. L’homme qui s’est mis à la fenêtre pour regarder les passants s’est-il mis là pour me voir ? Évidemment non. La réponse est évidente, mais quel est le lien avec la question initiale ? Il ne viendrait à l’idée de personne de confondre ce qu’on est avec le fait d’être un passant. Alors pourquoi cet exemple ? Le deuxième exemple paraît moins étonnant, mais bien banal : je ne suis pas ma beauté ; ma beauté peut passer, je demeure « moi » ; sans doute pas « le même », mais

Rênal s'attend à découvrir un maître exigeant et sévère. 1ère recontre entre Mme de Rênal et Julien On pourra donc s'intéresser aux jeux des regards et à la manière dont Stendhal conduit ce double portrait en faisant ressortir le choc affectif. 1. Le jeu des regards Les temps verbaux - champs lexical: « ne la voyait pas s'avancer, regardait, (se regarder,) elle voyait » → l'imparfait souligne les actions qui durent. Les sujets des verbes - « Julien, tourné vers la porte, ne la voyait pas

La beauté, une question d’époque ? La beauté, une question d’époque ? Présentation. Page 1 Sommaire. Page 2 Introduction. Page 3 I. Qu’est ce que la beauté? 1. Définition de la beauté. Page 4 2. Beauté physique, beauté morale. Page 5 II. Vénus, déesse de la beauté. Page 6 1. Représentation de la Vénus. Page 8 2. Existe-t-il une Vénus masculine aujourd’hui ? Page 17 III. La beauté, une mode 1. Subjectivité de la beauté. Page 19