Là-bas si j'y suis

je saisissais mon archet, et le cri "aie, aie, aie !" qu'il poussait alors, en portant les deux mains à ses oreilles, est encore présent à mon esprit. Je crois que c'était un être qui souffrait infiniment de l'absence d'harmonie universelle dans ce bas monde, une absence d'harmonie dans laquelle je dus jouer, au cours des trois semaines que durèrent mes leçons, un rôle éminent*.Romain Gary, La Promesse de l'aube, © Gallimard, 1960.Lire et analyser1. Qui est l'auteur de ce texte ? Qui en est le narrateur

L et je l’informe, que comme convenu je viens l’aider à faire son change. J’en profite pour me frictionner les mains pendant trente secondes avec une solution hydro-alcoolique (afin d’éliminer les micro-organismes présent sur mes mains), je vérifie si la protection et souiller, (en l’occurrence oui) et le matériel nécessaire. Dans un premier temps, je vais effectuer la désinfection et organisation du matériel. Je commence par me frictionner les mains avec une solution hydro-alcoolique, deux doses

fente, un livre : j'en vois le dos, je m'écorche les ongles à essayer de le retirer. Enfin, avec l'aide de la règle, en cassant un pupitre, j'y arrive ; je sens le volume et je regarde le titre : ROBINSON CRUSOÉ Il est nuit. Je m'en aperçois tout d'un coup. Combien y a-t-il de temps que je suis dans ce livre ? quelle heure est-il ? Je ne sais pas, mais voyons si je puis lire encore ! Je frotte mes yeux, je tends mon regard, les lettres s'effacent, les lignes se mêlent, je saisis encore le coin d'un

profondément jouissant. Parce que sa peau se mélangeait à la mienne et que j'y posais mes doigts pour les transformer en de fines caresses. Et parce que ses lèvres rosées murmuraient de fructueux « embrasse - moi », je leur obéissais, les mordants avec douceur parfois. Ma langue était une danseuse folle que je ne maîtrisais plus et qui dévorait avec passion les parcelles les plus infimes de son corps dénudé. Puis ses doigts, qui savaient si bien apposer leurs tendresse aux endroits les plus défendus, intensifièrent

habitait avec ses quinze chats. Sa vie se déroulait paisiblement, jusqu’au jour où l’un de ses chats disparu. Elle le chercha dans tous les recoins de sa demeure, partout au village, en vain. La femme fortunée alla en parler avec son voisin Raoul. Mais là-bas, elle trouva porte close. Elle décide alors de se rendre au marché du village. Arrivée à destination, elle rencontra son vieux compère de voisin. « Mon cher Raoul, pourquoi ne m’as-tu pas prévenue que tu allais faire des provisions ? » - Vieille

objectifs. Pour réagir à cela, de nombreux sites internet tels que Arrêt sur image ou MédiaPart se mettent au service de la parole contestataire. Leur but est de nous livrer une information la plus réaliste et la plus actuelle possible. Grâce à Là-bas si j'y suis et à Daniel Mermet, le café repaire a pu voir le jour. Ces réunions permettent donc une libre expression des auditeurs et un partage d'information. Et comme nous le dis Thierry le Roy, « le débat citoyen doit continuer car la population en

je passe ma main sur sa joue pour lui faire une petite caresse. Je me dirige ensuite vers la salle de bain et j’allume pour que ses yeux s’habituent à la lumière et ne soient pas éblouis quand j’ouvrirais les volets de la chambre. Je vérifie si le poste d’après midi à préparé le linge de toilette, sinon je prend dans l’armoire de la chambre, deux serviettes , un gant de toilette et un gant jetable pour la toilette intime. J’ouvre déjà le robinet d’eau chaude du lavabo car cela met du temps

Commençons avec François De Malherbe. Auteur du XVI/XVIIème siècles, il rédige un recueil de poème nommé « Sonnet » qui s'adresse à la vicomtesse d'Auchy. Nous avons choisi l'un des poèmes extrait de celui-ci qui est « Caliste, en cet exil j'ai l’âme si gênée. » Il contient quatre strophes : deux quatrains et deux tercets. Le poète écrit ce poème pendant l'absence de sa bien-aimée. Il y exprime sa souffrance à l'aide de mots tels que « dépité », « souffre », « douleur », ou encore « piteux état ».

être invisible et décida de le tuer. Il enferma la créature qu’il appelait « Horla » dans sa chambre et mis le feu à la maison. Il avait oublié que ses domestiques étaient restés dans sa maison, mais la seule chose qui le préoccupait, était de savoir si le Horla était bien mort. E. Personnages principaux et secondaires Le personnage principal est le narrateur, le héros de ce livre, homme sur lequel nous n’avons que très peu d’information puisque ce roman est une nouvelle. Pour seule description

les yeux de honte Je suivis ce mauvais garçon Qui sifflotait mains dans les poches Nous semblions entre les maisons Onde ouverte de la Mer Rouge Lui les Hébreux moi Pharaon Oue tombent ces vagues de briques Si tu ne fus pas bien aimée Je suis le souverain d’Égypte Sa soeur-épouse son armée Si tu n’es pas l’amour unique Au tournant d’une rue brûlant De tous les feux de ses façades Plaies du brouillard sanguinolent Où se lamentaIent les façades Une femme lui ressemblant C’était son regard d’inhumaine