L'Oreille en coin

la création d’ordre divin, nous renvoyant à la confusion du chaos primitif. Et il passe au café haussmannien dans Les Yeux des Pauvres (Spleen de Paris) : Le soir, un peu fatiguée, vous voulûtes vous asseoir devant un café neuf qui formait le coin d’un boulevard neuf, encore tout plein de gravois et montrant déjà glorieusement ses splendeurs inachevées. Le café étincelait. Le gaz lui-même y déployait toute l’ardeur d’un début, et éclairait de toutes ses forces les murs aveuglants de blancheur

simple titre de «documents humains») les quelques notes suivantes, crayonnées place de la Roquette, sous les fumeuses lanternes de notre instrument de supplice, au cours de la dernière exécution : celle d'un anonyme. * ** A cet angle de la rue, au coin d'une guinguette en lumières, se boucle, d'un poste, la ceinture de gardes à cheval qui enserre la place. Quelle foule depuis minuit ! L'inspecteur de service prend nos cartes : - Nous entrons. Autour de nous la place est déserte et obscure. Sous

et satyrique (plus encore que chez la fontaine) les mœurs social de son époque notamment l’individualisme et l’égoïsme. ainsi dans la fable des « deux chauves » Florian nous présente deux chauve qui se battent pour un objet brillant aperçu dans un coin, finalement à la fin d’une rixe où le gagnant perd le peu de cheveux qu’il y restait, on découvre que ‘l objet en question était un peigne. Ici Florian adopte un style plus sombre et violent que la fontaine, la morale y est sans concession satyre féroce

nocifs,             Il y a « l’Hygiène » de la guerre aux microbes et aux insectes à grands coups de désinfectants et de pesticides, tous plus ou moins dangereux pour l’être humain et toujours mauvais pour la planète.             Et, blottie dans son coin  depuis qu’elle a été terrassée par Esculape, le dieu des médicaments, reste l’humble Hygéa, petite déesse de la santé, avec son Hygiène méconnue, une hygiène vraie au service de la vie.         Au nom des fausses « hygiènes », on n’hésite pas à

Interviews d'Alain Gerber avec le Professeur Alfred A. Tomatis Publiée dans la revu «SON Magazine» Paris, (France) de 1972 à 1977 Numérisation, et mise en page, par Christophe Besson, Juin 2010 Le rôle de l'oreille dans le développement de l'être humain. Alfred A. TOMATIS : "NOUS PARLONS AVEC NOTRE OREILLE". (Magazine "SON" - nº30 - Septembre 1972). Il apaise les angoissés, calme les nerveux, équilibre les instables, aide à assimiler les langues étrangères. Il combat le surmenage

ainsi qu’il l’a prêché, Et se laisse appeler bonhomme à l’évêché, Sans s’étonner et sans que son zèle en décroisse. Comme le cimetière est près de la paroisse, Qu’il est bien seul, qu’il aime à deviser un peu En se chauffant les pieds, le soir, au coin du feu, Et comme il n’entend rien aux choses maritimes, Le fossoyeur et lui sont devenus intimes. Car c’est, à la campagne, un causeur assuré Qu’un soldat vétéran auprès d’un vieux curé. Celui-là, revenu dès longtemps au village, Invalide vaincu

je n’en ai aucune idée. 9 Les gens n’arrêtent pas de me parler, de me parler, de me parler encore. Plutarch Heavensbee. Son assistante, Fulvia Cardew. Toutes sortes de personnalités du district. Des hauts gradés de l’armée. Mais pas Alma Coin, la présidente du Treize, qui se tient en retrait. Elle a la cinquantaine, avec des cheveux gris qui lui tombent en cascade sur les épaules. Je suis fascinée par ses cheveux : ils sont si lisses, sans le moindre défaut, sans une mèche de travers

leur adresse son plus beau sourire. Fernand le lui renvoie avec plaisir, tandis que Michel est occupé à cacher la bosse qui se profile sous son pantalon. Daniella, sur un dernier déhanché à faire pâlir la plus souple des contorsionnistes, disparaît au coin d'une rue et laisse nos amis à leurs profondes réflexions... Analysons maintenant les pensées de chacun d'entre eux. Michel se dit « Putain, elle est trop belle... Elle m'a souri... Est-ce que ça veut dire que j'ai une chance ? Non, non, c'est impossible

qui les animent (bagarre, bisous, simulation de discussion). Après quelques secondes, comme sortant de la caméra, apparaît, une chevelure de fillette (ROMANE), volumineuse, bouclée, brune et dorée. Romane, âgée d’environ 8 ans, marche de dos vers le coin gauche de la pièce tout en continuant à jouer avec ses deux personnages et s’assoit au sol toujours de dos. Après un moment, Romane se retourne, se redresse, laissant les figurines au sol et vient se placer juste devant la caméra. On découvre alors

passant par les soins esthétiques. Melle Sandrine est une jeune femme âgée de 22 ans qui souffre d’un handicap à la naissance. Elle a subi une intervention chirurgicale quelques jours après. Elle souffre d’encéphalite et a une valve derrière l’oreille droite. Elle est souriante et agréable. Melle Sandrine est timide et parle très doucement. Elle est très lente dans tout ce qu’elle entreprend. Il faut la stimuler et la mettre en confiance. Lorsqu’on n’entend pas ce qu’elle dit, il faut insister