L Humour Le Rire Et Ses Fonction

réflexion politique sérieuse (tel que celle de Figaro chez Beaumarchais). Ii/Lecture III/Annonce du plan : On est étonné à la lecture de ce texte par un renversement de situation dans une pièce écrite au 18è siècle. Marivaux pense-t-il que la fonction du théâtre est d’inciter à la remise en question de l’ordre social ? Ce qui ferait alors de Marivaux un précurseur très engagé des lumières ou bien ce renversement n’est-il qu’un jeu esthétique qui nous renverrait aux origines du théâtre, des saturnales

mettre en route, examine les notions de - comédie : genre théâtral qui a pu signifier d'ailleurs le théâtre, soit à la fois la comédie et la tragédie, ce qu'on retrouve dans l'expression "jouer la comédie", - le registre comique destiné à produire le rire, mais qui n'est pas réservé à la seule comédie : il peut y avoir des romans comiques par ex. - l'adéquation entre les deux : ainsi toute comédie n'est pas forcément comique, par ex. la comédie larmoyante, la comédie absurde, la comédie de moeurs.

des néo-humains et s’aventure parmi les sauvages. Le projet de supprimer une fois pour toutes la race humaine, a donc toutes les caractéristiques d’une anti-utopie. Houellebecq cherche à démystifier toute forme d’utopie. Il donne à l’utopie une fonction négative, développée avant lui par Huxley et Orwell. De fait, l’utopie houellebecquienne exploite jusqu’à la caricature les principaux clichés du genre. Dans Lanzarote, il parodie le récit de voyage imaginaire au bout duquel un narrateur découvre

Ecriture personnelle Le rire est un comportement réflexe, exprimant généralement un sentiment de gaieté. Le rire est essentiellement causé par l'humour, le chatouillement ou le rire lui-même. Paradoxalement, le rire est étroitement lié à son contraire émotionnel, les pleurs, avec qui il peut parfois se retrouver mélangé. Le rire est causé par le comique en général et par l'humour en particulier. Le rire est réputé pour être contagieux : une personne qui rit amène le rire. Le rire est le contraire de

décorent sa « braguette » avec des bouquets, des rubans et des guirlandes, et lui donnent des surnoms comme « ma petite quille », « mon épine » ou encore « ma branche de corail » et elles se disputent pour savoir à qui appartient sa braguette. Ce qui fait rire le lecteur c’est l’aspect absurde et insensé de la scène : qui donnerait des surnoms ou décorerait sa braguette ? Ensuite au chapitre XIII, Gargantua fait² une grande invention : le torchecul. L’effet comique du bas corporel est quand il explique à

l'humour en lui même a une action positive par tout ce qu'il peut apporter de bon, en offrant un moment de rire et de détente. Cet humour nous aide donc dans nos vie, à mieux en accepter les réalités. Après un évènement de gravité, chacun retrouve à son rythme, un équilibre qui lui convient. Ce temps varie certainement en fonction de l'individu, comme dit l'humoriste Pierre Desproges "On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde." Sara Etxeberria Darraidou 2B

Synthèse : Rire Et Liberté/Censure LA SYNTHESE DE DOCUMENTS   CORPUS   1.   P. SlANKOWSKI, « Peut-on rire de tout ? », Label France, n° 56, 2004.     .   2.   J.-G. fredet, « Gaspard Proust : Rire sans frontière », Le Nouvel Observateur, 14 au 14 avril 2010.   3.   V. BROCARD, « Stéphane Guillon ou l'humour du risque », Télérama, 31 décembre 2008.   4.   Plantu, Bonne année 2009 sur plantu.fr.     • Document 1 : Pierre siankowski, « Peut-on rire de tout ? », Label France, n° 56, 2004

LE RIRE CHEZ L’HUMAIN Définition On peut concevoir le rire comme un mode de communication non verbale, que l’on exprime par un mouvement de la bouche et des muscles du visages, accompagné d’expirations saccadées plus ou moins sonores. Il transmet des messages affectifs, comme la joie, le plaisir mais aussi l’hostilité ou l’angoisse, répondant à des stimulations sociales ou dépendantes du rieur. Universel, il relève d’un programme moteur génétiquement déterminé, élaboré au cours de l’évolution

surréaliste et de la science-fiction. L’humour féconde l’imaginaire et transforme ainsi l’amour en une fête de langage mais il témoigne aussi d’une inquiétude et d’un pessimisme profonds face aux forces de destruction qui menacent les protagonistes. Le rire, au départ euphorique et joyeux, se fait doux-amer, et cède progressivement la place à l’humour noir, Vian mêle l’humour à la mort. Après avoir lu Je voudrais pas crever au premier trimestre il m’était inconcevable

réalité qui est ici épinglée avec un humour désopilant tout particulièrement dans  les scènes amoureuses entre le père et sa fille répétées à plusieurs reprises par des acteurs différents avec en arrière fond des séquences vidéo où les personnages démesurément agrandis deviennent vraiment envahissants au point de nous submerger. Au cours de ces scènes dramatiques mises en perspective avec une habilité  et une ironie époustouflantes, nous ne pouvons nous empêcher de rire aux éclats tout en prenant conscience