L'Homme sans qualités

imposture ? Introduction : On peut se demander si les hommes n’ont pas inventé une idée d’égale dignité en se leurrant eux-mêmes ce nous oblige évidemment à définir les termes qui s’y trouvent : la dignité, désigne un principe moral selon lequel l’Homme ne doit jamais être traité comme un moyen mais comme une fin en soi, qu’il ne doit jamais être employé comme moyen sans tenir compte de ce qu’il est. Etant un principe moral, on peut donc se questionner sur son existence et son bienfondé. Et s’il

créateur des animaux: alors que Zeus s’apprêtait à faire apparaître la Lumière, il fallait embellir les divers éléments terrestres, or Épiméthée supplia que l'on le laisse faire, il réparti fort bien les qualités et défauts parmi les animaux, si bien qu'à la fin, il ne restait plus rien pour l'homme, qui se trouva donc nu et faible3. Il forme avec Prométhée (« le Prévoyant »), dont il est l'exacte antithèse, un couple. Cependant, après avoir combattu heureusement Zeus par deux fois, Prométhée comprend

travail. La Thèse développée par l’auteur est que le travail de l’homme est sa propriété, que personne d’autre que lui-même ne peut se l’approprier. Mais peut on réellement utilisé le critère de « travail » pour définir le droit de propriété ? Dans un premier temps je tenterai d’expliciter le texte de façon linéaire, puis dans un second temps je commenterais ce texte. Au début du texte l’auteur traite des relations entre l’homme et la nature : « Bien que la Terre et toutes les créatures inférieures

elles toutes les qualités dont elles avaient à être pourvues. Épiméthée demanda à Prométhée de lui laisser le soin de faire lui-même la distribution: " Quand elle sera faite, dit-il, tu inspecteras mon œuvre." La permission accordée, il se met au travail. Dans cette distribution, ils donnent aux uns la force sans la vitesse; aux plus faibles, il attribue le privilège de la rapidité; à certains il accorde des armes; pour ceux dont la nature est désarmée, il invente quelque autre qualité qui puisse assurer

En effet, compris sous le rapport de sa pensée, l’homme n’aura « point davantage en possédant des terres », c'est-à-dire que son être ne sera pas grandi par ses conquêtes matérielles. L’avoir ne fait pas l’être, notamment quand cet être est défini par la pensée. La pensée et la matière sont incommensurables, posséder ne peut donc pas apporter quelque chose à un être pensant. Il y a une disproportion infinie entre les biens matériels et les biens de l’esprit, posséder ne peut augmenter notre être

comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature l'aurait pourvu du langage. * nature : 1° L'inné par opposition à l'acquis (nature opposée à culture, ou chez les anthropologues anglo-saxons nature opposée à nurture); 2° Essence, ensemble des propriétés qui caractérisent un objet ou un être (la nature de l'homme par exemple); 3° L'ensemble des

elle qui nous dit comment nous devons agir. L’état de nature : L’état de nature est ce qui définit l’homme, qu’il est libre et qu’il a des droits naturels (libre, droits de propriété, l’égalité, etc.) La sociabilité : C’est le « droit » de fonder une famille et d’appartenir à une communauté. La raisonnabilité : L’être humain est doué de la raison à la naissance. La liberté naturelle : L’homme nait avec le droit d’indépendance. Il est indépendant dans ses choix et il dispose des droits et des

  PASCAL, TABLEAUX SYNOPTIQUES DES LIASSES II – VIII Tableau synoptique liasse "Vanité" 11 Nous sommes incapables de comprendre nos réactions 12 L'asservissement aux "folies" : l'homme est vain car il est déraisonnable 13 Vanité des grandeurs-> la grandeur déchue 14 La vanité des grandeurs 15 La contradiction travail/pouvoir 16 La vanité des apparences 17 idem 18 La vanité de la coutume 19 La vanité du point de vue et de l'angle de vue 20 La vanité de notre être 21 La vanité du savoir

-plan libre -façade libre -toit terrasse -fenêtre en longueur. -Il inventa le «Modulor»: qui est une notion architecturale fondée sur « le nombre d'or»qui permet de trouver l'espace parfait pour un confort maximum de l'homme. -Le mouvement: Le Corbusier fut un des représentants du Mouvement moderne en architecture, dit aussi le Modernisme apparu après la première guerre mondiale en Europe. L'architecture moderne est pure, simple et géométrique, une architecture

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