L'Homme sans qualités

/ culturelle ? L'auteur, John Stuart Mill, soutient que que les bonnes qualités présentes chez l'Homme sont le produit de l'éducation et que selon lui toute bonne qualité n'est que le résultat de la discipline, en affirmant que l'Homme de la nature n'était qu'un animal sauvage dispensé de qualités morales. Dans une première partie (l. 1 à 3), Mill expose un constat immédiat, qui constitue son point de départ : l'Homme de la nature ne possède rien de valeur, à part les aptitudes qui le constitue

texte évoque l’histoire de deux dieux (Prométhée et Epiméthée) qui ont eu la tâche de partager entre tous les êtres vivants (Animaux et Hommes) les qualités dont eux (les dieux) étaient pourvus. Les animaux ayant été pourvus les premiers de toutes les qualités, les hommes n’en avait plus, ainsi Epiméthée dut se résoudre à aller voler les qualités d’autres dieux comme celui de Athéna et Héphaïstos pour en doter les Hommes, mais la tâche ayant été confié à Prométhée, c’est lui qui dut rendre compte

et s'oppose au fondateur de l’utilitarisme sur un point : Bentham considère que le bonheur recherché dans l'utilitarisme est lié à la quantité des plaisirs. Cependant, Mill considère lui, que c’est autour de la qualité des plaisirs. La thèse tourne donc autour de l’utilité, de la qualité versus l’utilité lequel permet d’accéder au plus grand bonheur l'utilité = principe du plus grand bonheur = plaisir et donc manifeste une absence de douleur De fait, le malheur est associé et procure de la douleur

Philosophie de l’Argent. Il est en effet aisé de voir en l’argent le moyen absolu de tout posséder à condition d’avoir la somme d’argent nécessaire. Il ne fait alors aucun doute que l’argent devient valeur d’échange, étalon, de toutes les choses que l’homme peut vouloir. « Dès que l’argent devient l’étalon de toutes les autres choses […] [il] dévalue en un certain sens tout ce dont il est l’équivalent » propose en substance toujours Simmel dans ses Quelques réflexions sur la prostitution dans le présent

sur la prostitution dans le présent et dans l’avenir", Simmel écrit : " dès que l’argent devient l’étalon de toute les autres choses - une infinité d’objets extrêmement divers pouvant s’obtenir en échange - il montre une absence de couleur et de qualité qui dévalue en un certain sens tout ce dont il est l’équivalent." Sommaire PREMIERE PARTIE DEUXIEME PARTIE TROISIEME PARTIE CONCLUSION « Le choix qu’offre l’argent […] n’est pas spécifiquement limité ; le vouloir humain, quant à lui n’ayant

mortels, crée par les dieux, ces derniers ordonnent à Prométhée et à Epiméthée de distribuer à cette nouvelle race, les qualités qu'ils souhaitent leur attribuer. Epiméthée demande alors à son frère, de le laisser le soin de faire lui-même la distribution et donne à Prométhée la possibilité de contrôler ses actes. Epiméthée souhaite attribuer aux différentes races mortels ces qualités de façon à garder un certain équilibre afin d'assurer la survie de ces espèces. Par exemple, il donne à certains, la

c’est un mode de penser qui représente quelque chose, mode de pense représentatif. L’idée de Dieu a pour qualité d’être parfaite car elle enveloppe et contient tous ce qui est. L’idée de Dieu pour Descartes représente une substance infinie, éternel, toute connaissance de toute puissance (l’idée de parfait). D’où peut venir cette idée d’excellence et de perfection en moi ? Est-ce que l’homme en tant que substance finit peut être la cause d’une idée aussi parfaite ? pour répondre à cette question

temps que la personne ne se caractérise pas par ses qualités ; il montre ensuite que le moi est insaisissable ce qui mène à une énigme sans réponse. Enfin, Pascal arrive à la conclusion que la vie sociale n'est qu'une comédie. Afin de montrer que la personne ne se caractérise par ses qualités accidentelles, Pascal utilise d'abord l'exemple du passant puis il établit la distinction de l'homme par ses qualités physiques et enfin par ses qualités morales. "Qu'est ce que le moi ?" La question

contrainte ; associé à la souffrance permanente Solution ( vacances toute l’année. Mais en même tps, nécessaire, pas une option. Faut-il considérer que le travail est un fardeau ? L’homme se plaint de travailler mais celui qui ne travaille pas se plaint de ne pas travailler. ( N’est-ce pas un bien ? I - L’homme, oubli de la nature Texte de Platon, extrait de Protagoras qui raconte le mythe d’Epiméthée et de Prométhée. Cette histoire est une idée de Protagoras, c’est inventé par Platon.

comportement ou la nature générale de l’homme peut faire l’objet de nombreuses réflexions. D’ailleurs, au XX ème siècle, Albert Camus disait : « Il y a, dans les hommes, plus de choses à admirer que de choses à mépriser. » Or, on peut se demander quelles sont ces choses à admirer qui sont majoritaires chez l’homme. Nous montrerons que l’abnégation est une grande qualité humaine. Ensuite, nous démontrerons que l’intelligence est une caractéristique chez l’homme qui est exaltante. Enfin, nous expliquerons