L'Homme qui aimait les femmes

n'était point d'ailleurs un artiste résolu et sûr de lui, mais un inquiet dont l'inspiration indécise hésitait sans cesse entre toutes les manifestations de l'art. Riche, illustre, ayant conquis tous les honneurs, il demeurait, vers la fin de sa vie, l'homme qui ne sait pas encore au juste vers quel idéal il a marché. Il avait été prix de Rome, défenseur des traditions, évocateur, après tant d'autres, des grandes scènes de l'histoire ; puis, modernisant ses tendances, il avait peint des hommes vivants

dangereuses. [] Il n’est pas, comme on l’a dit parfois, l’auteur d’une seule œuvre, puisqu’il a composé dans des domaines très variés : traités de stratégie militaire, poésie, galante ou érotique, un opéra-comique, des essais sur la condition des femmes ou des comptes rendus littéraires. Mais il est bien l’auteur d’un chef-d’œuvre, les Liaisons Dangereuses. Le roman a l’ambiguïté de son auteur. Bibliographie : 1766 : Parution du poème « A Mlle de Saint S*** » 1772-1776 : Parution de poèmes dans

autre tremblement de terre fit surface. Candide, ayant purgé sa peine, se remémorait ses amis qui avaient péri (P et J), quand une vieille dame lui demanda de la suivre. Chap. 7 : Comment une vieille prit soin de C et comme il retrouva ce qu’il aimait Cette femme âgée mena C dans une maison et s’occupa de le nourrir et de le soigner durant plusieurs jours. Elle ne répondait pas à C quand il voulait connaître son identité. Puis un jour elle le fit sortir de la maison pour l’amener dans une autre

Il s'investira dans l'affaire Calas : Jean Calas un protestant d'une 60 d'années, est accusé d'avoir tué son fils Marc Antoine et d'avoir maquillé le meutre en suicide, mais son fils aurait voulu se convertir au catholicisme, il est exécuté & les femmes de sa famille envoyées au couvent & les hommes exilés. Mais Calas était paralysé donc impossible pour lui de tuer un jeune & fort. Voltaire va écrire des ouvrages sur la tolérance, & les autorités finiront par reconnaître qu'il n'était pas coupable

Résumer: quatre femmes se trouvent dans un château délabré en Normandie. Anciennes victimes de Don Juan convoquées par la duchesse de Vaubricourt pour faire le procès du séducteur. Pour châtiment, il devra épouser sa dernière victime, Angélique (filleule de la duchesse). Arrive Don Juan qui vient de vivre une expérience avec un jeune homme. Don Juan se défend jusqu’à faire pleurer l’une d’elles mais il accepte son sort. Le procès se prépare, Don Juan se question à Sganarelle qui joue le rôle de

indéfinis. » p16. L’homme sait qu’il est mortel, il sait qu’il devra un jour mourir et quitter ce monde. Seulement, il ne lui appartient pas de savoir à l’avance le moment de sa mort. C’est contre nature de fixer la date de la mort de quelqu’un. Pour qui que ce soit, qu’il s’agisse d’un homme bon, d’un voleur, d’un prêtre ou d’un criminel, il est ignoble et barbare de décider de la mort de quelqu’un. - (3) « Se sont-ils jamais seulement arrêtés à cette idée poignante que dans l’homme qu’ils retranchent

de Giovanni, Jean en l'honneur de l'apôtre homonyme, dans la cathédrale d'Assise. De retour de son voyage en France, son père lui donne le nom de Francesco, François en français, nom qu'il gardera et par lequel il sera mondialement connu.Enfant, il aimait la vie de plaisir et de luxe, mais il a eu une série d'expériences spirituelles qui l'ont conduit à renoncer à sa vie de richesse pour se consacrer à Dieu. En 1205, Saint François a eu une vision qui l'a conduit à renoncer à toutes ses possessions

qu'elle veut rester son ami et rien de plus, Arthur ne veut rien savoir et il reste patient. Après quelque mois le père de la jeune fille écrit au roi Arthur pour qu'elle revienne mais il ne lâcha pas prise ce qui consternait Viviane car c'était l'homme qu'elle détestait le plus au monde. Il traverse la mer et arrive en Bretagne sur les terres du roi Ban. Viviane voulait la mort de Merlin et elle trouva que c'était le bon moment car après sa sera trop tard. Elle disait que Merlin était le fils

fallait en extraire chaque année douze cents francs pour lui. L'aspect de cette constante détresse qui lui était génèreusement cachée, la comparaison qu'il fut forcé d'établir entre ses soeurs, qui lui semblaient si belles dans son enfance. et les femmes de Paris, qui lui avaient réalisé le type d'une beauté révée, l'avenir incertain de cette nombreuse famille qui reposait sur lui, la parcimonieuse attention avec laquelle il vit serrer les plus minces productions, la boisson faite pour sa famille

rempli un être d’émoi met a l’étroit sa raison. C’est donc une limite pour l’homme et sa prise de conscience car de l’émotion on glisse vers l’extrémisme qui tue en lui toute capacité de résistance pour prendre objectivement position. Seul les pensées qui développent par la raison crée des espace de compétition rationnelle et sont balisé par des principes partagés par la multitude et élimine les polarités qui déterminent l’homme à savoir l’acceptation de la différence. Nous voulons souligner la démarche