L Homme Peut Il Dominer La Nature

pilote, Fabien, affrontant un terrible orage dans le ciel argentin, et Rivière, son patron, méditant dans son bureau. Il s’agit d’événements survenus une certaine nuit sur le réseau en Amérique du Sud à une époque qui n’est pas précisée mais qu’on peut situer vers 1930, où les vols de nuit relevaient presque encore du domaine de l’aventure. Rivière, directeur de la compagnie de la Postale à Buenos Aires, s’est fixé un objectif, il veut prouver que l'avion est un moyen de transport plus rapide

plus que les simples animaux, celle-ci étant de se créer des besoins non naturels donc superflus; c'est le désir. L'homme serait donc un animal qui s'est accordé le droit de « se former lui-même » et de « se donner » d'autres besoins que ceux que la nature lui avait imposés. Weil construit ensuite son raisonnement sur cette théorie avec trois grands exemples de désirs humain, l'amour lié à l'instinct sexuel, la gourmandise (au sens d'en vouloir toujours plus et de vouloir différemment) qui vient

place aux désirs et aux plaisirs - Apollon : Dieu de la mesure, de la raison et de l’ordre. Domine à travers l’enseignement chrétien. Sagesse, retenue, soumission, refus du plaisir. - Dyonios : Dieu de la démesure, du vin, des alcooliques, des orgies. - Nietzsche dénonce cette attitude de l’Église chrétienne. Cette mortification du corps et de l’esprit s’appelle : le nihilisme = anéantir - Le nihilisme peut être néfaste : inaction, anarchie Fonder une morale : - La morale est basée sur 3 grands

Leviathan de Hobbes Un article de Philosophie. Aristote décrit l'homme comme un animal politique. Les sociétés politiques ne sont elles plutôt des constructions artificielles? Ne sont-elles pas contre-nature? Placer à leur base un contrat, c’est affirmer qu’elles sont issues d’une convention, donc d'un artifice. Le Frontispice du Léviathan souligne cet aspect. La première approche nous fait découvrir une multitude d’individus constituant une personne, apparemment un monarque coiffé de l’attribut

fait vivre des personnages donnés comme réels, dont elle raconte leurs histoire, aventures, psychologies, destins. Les romans se distinguent par l'importance relative des divers éléments qui coexistent dans la plupart d'entre eux : a) l'action, qui domine dans le roman d'aventures, policier, de cape et d'épée, le roman noir (genre venu d'Angleterre, très à la mode à la fin du XVIIIe s. et au début du XIXe : récit d'aventures merveilleuses et terribles dans des décors effrayants) ; b) l'analyse psychologique

chrétien, l'adultère de la femme a toujours été plus sévèrement sanctionné que celui du mari car il n'a longtemps pas été possible de vérifier la paternité. Jusqu’en 1975, l'adultère était une cause de divorce au tort du fautif. Depuis, cela ne peut plus être sanctionné, mis à part dans le cas d'un divorce pour faute. En Russie et dans l'ex-URSS, l'adultère n'a jamais été sanctionné, car la sanction était considérée comme obsolète et « bourgeoise » par les révolutions bolchéviques. La laïcité

s’accomplira plus tard, avec Kant. Elle est accomplie quand Napoléon rencontre Goethe à Erfurt en 1808. Le maître des hommes dit au maître de leur esprit : «Vous êtes un Homme» (autre interprétation, il aurait dit de Goethe: «Voilà un Homme». Ce mot a inspiré le commentaire suivant à Paul Valéry: «Vous êtes un Homme. Un Homme? C’est-à-dire une mesure de toutes choses et c’est-à-dire un être auprès duquel les autres ne sont que des ébauches et des fragments d’hommes, des hommes à peine, car ils ne

temps qui fuit. Ce poème fut en partie écrit sur place sur la colline de Tresserve qui domine le lac. ''Le lac'' de Lamartine publié en 1820 est l'une des oeuvres les plus de touchante, d’après le public. Le problème que vous m'avez posé est le suivant: En quoi ce texte est-il romantique? Nous verrons par deux parties la dimension romantique de ce texte: -Libération des sentiments du poète -Présence de la nature Lecture de l'extrait Je rappelle la question: En quoi ce texte est-il romantique

La conception de l’être humain chez Sartre  Pour Sartre, l’être humain est tout d’abord un être-en-soi, c’est-à-dire un objet au même titre qu’une voiture ou un crayon. C’est un corps qui peut être analysé et disséqué lors d’une chirurgie. «Le corps humain, cette incroyable machine !» est une expression couramment utilisée dans le monde scientifique qui illustre bien cette idée d’être-en-soi. Quand on croise quelqu’un dans la rue, nous ne voyons que la représentation de l’objet que constitue cette

en tant qu’état social elle s’oppose à l’état de nature. C’est-à-dire que l’homme qui vit dans un milieu organisé, milieu régi par des règles et des lois auquel il se doit d’obéir, se voit automatiquement bridé dans ses désirs et est donc contraint de réagir dans certaines situations autrement que ce qu’il aurait pu faire « naturellement ». Mais pourrait-on aller jusqu’à parler de dénaturation ? Cela supposerait que l'homme possède une nature propre. Ou bien au contraire, est-ce que ce n'est