L Homme Est Déterminé Marx

faut travailler pour vivre et qui ne travaille pas meurt. Le travail est à la fois une contrainte naturelle, par le poids des besoins indéfiniment renaissants qui pèsent sur l’homme et une contrainte sociale, par la logique de la productivité que détermine la dépendance de chacun à l’égard de tous. Le travail semble inséparablement liberté et nécessité, source d’indépendance et de servitude. Cette contradiction est-elle constitutive de la réalité du travail ou est-elle contingente et donc provisoire 

l’esclavage, coupant l’humanité en deux : les sous-hommes (les esclaves) et les citoyens qui n’étaient pas contraints au travail. Finalement, le travail est une obligation pour l’homme, qui l’utilise pour ses besoins élémentaires et nous pouvons citer Marx, afin d’illustrer cet aspect du travail :  « Le travail est donc une marchandise que son possesseur, le salarié, vend au capital. Pourquoi le vend-il ? Pour vivre. » Mais de nos jours, le travail n’est plus réservé aux esclaves et tout individu se

certaine action, intrigue, histoire. Une place (lieu). Un rhinocéros s’y balade un dimanche matin. Au fur et à mesure de la pièce deviennent rhinocéros sauf un. Il y a une action mais elle est limitée. A l’acte I on ne sait de quoi il s’agit, on ne détermine pas le sujet et ne savons pas vers quoi on voit on ne sait pas qui il faut cibler dans les personnages. On va devoir attendre l’acte 2 Acte 2 pour voir le tandem Bérenger/Jean et l’acte 3 pour avoir Bérenger qui parle car Jean est devenu rhinocéros

et liberté positive 5 3. L’esclave et l’enfant 5 4. La liberté d’expression 6 C. Travail et liberté 6 1. La libération par le salaire 6 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 7 3. La libération par la technique (Marx) 7 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) 8 II. La liberté intérieure 9 A. L’origine du concept de liberté intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance

sentiment d’insécurité et la réelle insécurité. Il vaut mieux que les individus se sentent une sécurité et qu’il y ait danger que le contraire. Bentham calcule ces intérêts sur la base d’une dialectique simple : la douleur et le plaisir. Il faut déterminer tous les plaisirs susceptibles d’être tirés d’une activité donnée, pour tous les individus ou le plus grand nombre des individus concernés, et l’ensemble des souffrances qui pourraient en résulter. Décomposition de toutes les peines et tous les

classes laborieuses sont en effet considérées comme le foyer de « maladies sociales » (alcoolisme, prostitution, délinquance…) ou d’idées dangereuses (socialisme), dont il faut éviter la propagation. Dans une optique opposée, Friedrich Engels, l’ami de Marx, est lui aussi l’auteur, en 1845, d’un tableau célèbre sur La Situation des classes laborieuses en Angleterre où il dénonce violemment leur sort. Ces premières enquêtes sur le monde ouvrier, dont celle de Frédéric Le Play sur Les Ouvriers européens

restreint. D’après cette définition, on ne peut pas faire d’économie sans faire de social. Les économistes se sont beaucoup disputés sur la notion de la valeur d’un bien. Qu’est-ce que la valeur d’un bien ? Répondre à cette question revient à déterminer les mécanismes du marché. Les économistes s’accordent à dire que le marché est un lieu où l’on échange des biens. Il y a deux natures de prix : le prix absolu et le prix relatif. Le prix absolu correspond au prix monétaire (en € par exemple). Le

réalisation apporte nécessairement avec elle la fin du processus historique. Cette fin de l’homme et de l’humanité est ce qui rend tous les événements particuliers potentiellement intelligibles. » (Fukuyama Francis, La fin de l’histoire et le dernier homme, Champs-Flammarion, 1992, p. 28.) Nous sommes alors confrontés au double sens du mot « fin » comme finalité et comme arrêt. Une fois la fin de l’histoire revenue à Dieu, n’est-il pas nécessaire qu’elle prenne fin ? Cette fin de l’histoire demeurant

II. La construction de soi a. par rapport a autrui par rapport au monde exterieure III. Descarte et l'emmergence du sujet transcendant conscient de lui meme. IV. Les illusion de la conscience. a. les illusion du je. b. nietzsche c. marx V. Freud et la psychanalysme   I.  La conscience psy. Est definie comme la faculte d'etre present de moi meme,la capacite de connaitre mes etats interieures. Elle s'opere par une forme de dedoublement qui instore un distence entre moi et moi

cause de l'erreur doit se trouver en nous. Volonté et liberté (57) Descartes croit que nous utilisons mal notre volonté a 2 occasions: -Porter un jugement sur les choses dont la vérité ne m'est pas clairement connue. -Etre détermine a agir de telle façon sans réflexion. -La connaissance de l'entendement doit toujours précéder la détermination de la volonté. De l'existence des choses matérielles -Comment prouver que les choses matérielles existent hors de l'esprit.