L'Homme de la rue

Bruxelles-Capitale.Les organisations européennes indépendantes de l'Union européenne * Conseil de l'Europe A ne pas confondre avec le Conseil de l'Union européenne, le Conseil de l'Europe a pour mission principale de renforcer la démocratie, les Droits de l'Homme et l'Etat de droit au sein de l'espace constitué par ses membres. Il valorise aussi le patrimoine culturel européen. Le Conseil de l'Europe entretient bien entendu des contacts avec l'Union européenne. Le Conseil de l'Europe a son siège à Strasbourg

ruelle ainsi qu’un homme. L’homme attend contre le mur de la ruelle, il fume, les cendres rougeoyantes dévoile seulement le bas de son visage puisque le haut est recouvert de l’ombre de son chapeau haut de forme. Une femme arrive vers la ruelle sombre. L’homme mystérieux l’observe, elle continue d’avancer, l’homme l’attrape et l’envoie dans l’ombre. La chaussure voyant cela s’élance du balcon pour atterrir dans la rue du dessous. Elle s’avance jusqu’à la ruelle où était l’homme mystérieux. SEQUENCE

ver) Hiatus : rue assourdissante et moi hurlait : dissonance Allitérations : R (vibre) – D – T (dentales dures) : vacarme assourdissant Assonances : U – OU : nasalisation Le sujet est le décor ; l’objet c’est le moi qui est placé dans le vacarme : « autour de » : il est enfermé : faiblesse de l’homme B) L’Agression Faiblesse de l’homme « moi » après « autour de » : enfermement Sentiment d’agression car impossibilité de s’échapper Personnification de la rue qui s’anime («

Exercice de style : Notations : Un camion bloque une rue bordée d’arbres. Ses portes sont grandes ouvertes et laissent voir un ensemble de meuble et autre. Des automobilistes impatients klaxonnent. Un homme plutôt rondelet et transpirant à grosses gouttes apparaît d’un immeuble, il porte un lourd fauteuil. Une jolie femme dans une robe légère s’arrête sur le trottoir pour le laisser passer. Quelqu’un en profite pour lui voler son sac à main. L’homme assez fort au camion s’empresse de lui courir après

un homme âgé entre 50 et 70 ans, habillé d'une manière assez élégante on peut même supposer qu'il vient juste d'une soirée, fête…portant sur lui le gilet promu par cette publicité. Pour le deuxième plan sur le visuel ; c'est apparemment le soir une rue en plein compagnie, un triangle rouge c'est le deuxième produit promu par cette publicité marque l'empanne d'une voiture garé à droite, plus haut à gauche sur fond gris foncé le message linguistique écrit en blanc, plus bas un autre message linguistique

description C'est une photographie d'une rue, ou un homme est assis par terre, seul, à coté de lui, on peut y distinguer un chat qui le regarde. C'est un homme anonyme, on ne voit pas son visage : ce qui peut être une façon de s'y comparer. Il semble fatigué, triste et désemparé. Par ailleurs en regardant bien, l'immeuble qui se trouve en face de lui cache un mot qui se termine par « pagny » qui peut être la fin du mot « compagny » en anglais. L'homme paraît désœuvré, c'est peut-être un « homeless »

l’image (~description) 3) Cadre (portrait, paysage) / cadrage de l’image (point de vue) 4) Point de vue du photographe 5) Connotation / interprétation 6) Conclusion Henri Cartier-Bresson: Manhattan, Downtown, New York, 1947 1) Scène de rue, de la vie quotidienne d’une année précise (Manhattan, NY, 1947, USA). C’est une photographie sociale, d’une société. La photo est en noir blanc (il n’y donc pas de couleur mais des jeux de nuances avec le blanc, le noir et le gris) 2) Ce que l’in

Il est presque midi. La rue de Chazelles semble déserte, comme si la multitude qui se pressait aux aurores sur ses pavés, n’avait, en réalité, jamais existé. Une silhouette, une ombre vêtue de noir de la tête aux pieds arpente pourtant ses trottoirs, telle une âme égarée. Je suis cette ombre. Je file, aussi vite que me le permettent mes jambes et mon souffle, je marche, d’un pas alerte mais souple, je me fais discret, me convaincs que je suis invisible. Je remonte la rue à vive allure mais je me

il démontre pas a pas ce qu'on fait les politiciens en insistant surtout sur ce qu'il n'ont pas fait. Jaque Prévert lui raconte l'histoire d'un homme vivant dans la rue qui ne peut pas manger, il essai ainsi de toucher le publique quant à la misère de l'homme. Et il essai de faire culpabilisé le publique à la fin quand l'homme tue pour pouvoir se nourrir car si il a commis l'acte c'est parce que personne ne la aidé. 2-La thèse que défend V.Hugo est que personne autant chez les politiciens que

mots les usines prennent la place de l’homme tant sur leur