L'Homme au masque d'or

Astrée s’ouvre chronologiquement avec Céladon qui a 14 ans et Astrée 13. Il se faufile dans une cérémonie où trois jeunes filles (= Vénus, Minerve et Funon) se soumettent au jugement d’une quatrième (= Pâris) => réécriture de l’épisode de la pomme d’or. Résumé du procédé stylistique de réécriture : Pâris = Orithie (ou Céladon déguisé) Astrée = Vénus/Aphrodite Stella et Malthée = Athéna/Minerve et Héra/Funon 2. -Réécriture fantaisiste d’une mythologie grecque connue : lecteur voit un jeu littéraire

mais aussi sa curiosité. Il dit qu'il n’aperçoit juste une porte et se dirige vers elle. Hoover, trop corpulent, bouscule Higgins et celui-ci traverse un mur. Il est mort. Le petit groupe arrive à sortire. Ils enterre le technicien. Dans la boule d'or, ils découvrent une sorte d’œuf. Le signal venant de celui-ci, Hoover le perce. Il y fait très froid, c'est pourquoi Leonova et Simon s'équipe de combinaisons. Les images sont toujours retransmises a travers la planète. Une femme (Elea) et un homme

arme des assassins protègent l’homme de bien ». Quant au dernier acte Sire maurice apprenant ‘assassinat du duc, ne pense pas à Florence mais à sauver ses intérêts personnels «  «  toute cette hideuse affaire a transpiré, ns sommes morts si elle se confirme »( P 194,1,V) il se rebiffe à peine contre les manipulations politiques du cardinal Cibo et entérine finalement en précipitant le vote des Huit à une sombre mascarade politique. Il incarne lui aussi à terme l’homme qui ne fera suivre aucun de

une chambre. Zola, qui a adapté plusieurs de ses romans au théâtre, utilise ici des caractéristiques théâtrales pour rendre plus dramatique, plus solennelle encore la mort de Nana. Preuve ultime de la théâtralité du texte, le visage de Nana est un « masque » l.30, métaphore qui résume à elle seule le dernier portrait de l’héroïne. Un dernier portrait de l’héroïne La description reprend le thème de la pourriture déjà abordé dans le roman (cf. extrait B). Une fois encore la visée naturaliste est dépassée

jusqu’alors par l’atmosphère pesante dudrame romantique.1. Un triangle singulier fondé sur le ressort comique du quiproquo• Comique de situation : homme caché qui les observe et est témoin de l’aveu amoureux de Blanche, cependant Dame Bérarde sait que l’homme est là, elle s’adresse à lui en apartés, ce qui confère un dynamisme inattendu à la scène.Quiproquo et malentendu : le jeune étudiant pauvre dont parle la jeune Blanche esten réalité le

ténèbres une sphère rougeâtre dont le centre était occupé par un petit vieillard qui se tenait debout et dirigeait sur lui la clarté d’une lampe. Il ne l’avait entendu ni venir, ni parler, ni se mouvoir. Cette apparition eut quelque chose de magique. L’homme le plus intrépide, surpris ainsi dans son sommeil, aurait sans doute tremblé devant ce personnage extraordinaire qui semblait être sorti d’un sarcophage voisin. La singulière jeunesse qui animait les yeux immobiles de cette espèce de fantôme empêchait

s’impose constamment, je le répète, d’interroger les gens : « Qu’entendez-vous par là ? » Il est caractéristique que l’adulte se présente à l’enfant comme une « grande personne » et non comme un grand individu, c’est en effet d’un masque (la « persona », le masque de théâtre) qu’il est question et l’enfant sait très vite que la grande personne lui attribue un statut correspondant à leurs deux rôles respectifs. Théâtre. La mise en scène est dure. D’un côté, ceux qui ont tous les pouvoirs et l’autorité

écrivain de son temps (avec aussi Ruy Blas, un drame romantique). En 1841, Hugo entre à l'Académie française. Le 4 septembre 1843, sa fille aînée Léopoldine disparaît brutale au cours d'une promenade en barque sur la Seine et jette dans le désespoir l'homme de lettres. Il est nommé par le roi Louis – Philippe à la chambre des Pairs, puis élu député (où il défend dans ses discours la liberté des peuples opprimés et dénonce la misère). En 1848, il soutient Louis Napoléon Bonaparte qui est élu président

force, orgueil- et une dévitalisation de ces mêmes éléments : filles d’or, yeux de métal, sourire de givre, lumière sulfureuse, fûts livides, muscles d’acier (des immeubles !.). Même si le désarroi du poète s’inscrit en filigrane, avec des termes tels que confondu, timide, angoisse, son regard ne peut encore être qu’un regard de myope (« yeux de chouette »), incapable d’admettre que la victoire remportée sur les vieux ennemis de l’homme, -la nature déchaînée qu’évoquent les cyclones et la mort que semble

rigueur puisqu’il est assimilé à Moise : Les Juges sont obligés de suivre la rigueur des Lois, la rigueur des Canons. Cette loi s’oppose à celle de Grace qui stipule que seule la foi en Jésus, qui a triomphé de la mort par la résurrection, permettra à l'homme de se sauver. · C’est un personnage qui est donc sacré, bon, et respectable.L58-59 « ses petits yeux vert dénué de cils et de sourcils » · Les yeux verts symbolisent une influence maléfique (ex Les fleurs du mal