L'Homme au masque d'or

est révélatrice de ce faux-fuyant par lequel le libertin prétend se dégager du corps social et vivre selon son bon plaisir. Mais de quelle nature se réclame ce gentilhomme ? D'un état primitif où le désir ne connaîtrait pas d'entraves ? D'un Âge d'or, limité au présent immédiat, d'où l'humanité se serait malencontreusement exilée ? Certes, non : Dom Juan ne vit que de transgression et on ne l'imagine que trop, virilité en berne devant femme qui s'offre. Sa liberté est destinée ainsi à se déployer

caractère essentiel du théâtre chinois est son incomparable palette gestuelle et vocale ; l'acteur est à la fois un danseur, un acrobate, un clown et un mime parfait. C'est surtout au Moyen Age et sous les Yuan, que le théâtre chinois atteignit son âge d'or. Le drame chinois est d'une longueur souvent inhabituelle. Son trait essentiel est l'importance accordée à la présence du poète sur la scène. Celui-ci chante les passages lyriques et dit des sentences morales ou politiques. Le langage employé était

s’il voulait éclairer le public en lui racontant des histoires. Des animaux habillés en costume de ville se trouvent sur la scène pour montrer qu’il existe une part d’humanité en eux et que le comportement de l’animal est souvent proche de celui de l’homme. Qu’en dites-vous ? Répondez aux questions du livre puis consultez les corrigés ci-dessous : — Les histoires dont sont extraites les citations ci-dessus sont tirées de récits imaginaires, de contes ou de fables que vous avez certainement lus dans

personnes négatives 31. Au contact d'un groupe de perdants, on en devient bientôt un 32. Discuter avec un sot, c'est faire preuve de sottise 33. La meilleure façon d'impressionner les autres c'est s'abstenir d'essayer 34. La gentillesse masque souvent un manque de bonté, tandis que la bonté est fréquemment dépourvue de gentillesse 35. Tout le monde est égoiste même vous et moi 36. Le manquement à un engagement entraîne 95 % de risque de récidive 37. On se rappelle rarement des

Entre l’éclair et le déracinement Assis seul sur le flanc d’un volcan inaccessible vit un petit prince mélancolique. Ses cheveux couleur d’or flottent au vent de la nécessité. Il est un objet éloigné cherchant à dévoiler mon existence. S’il éclaire mon visage, c’est que je suis devenu un voyeur en quête de lumière. Voilà une dure épreuve qui creuse l’angoisse du promeneur lorsque le plaisir quitte la brise du funambule pour venir caresser sa rêverie. Vous savez, ce mystérieux petit prince n’a

moi-même, parole de Yahvé ». Ce serment de Dieu scelle l’alliance avec Abraham juste après le sacrifice d’Isaac. Et d’ailleurs Moïse le rappellera à Yahvé alors que celui ci menace de détruire le peuple hébreu qui s’est livré à l’adoration du veau d’or : « souviens toi d’Abraham, d’Isaac et d’Israël à qui tu as promis en jurant par toi même »…en bref, on pourrait dire que Dieu, sans l’intervention de Moïse, a bien fallu être parjure !! En hébreu et en grec ancien, on ne dit pas comme en français

régnaient leur règne étincelant, Et, par l’intensité de leur vertu troublant Les Dieux et les Démons et Bhagavat lui-même, Augustes, s’élevaient jusqu’au Néant suprême, Ah ! la terre et la mer et le ciel, purs encore Et jeunes, qu’arrosait une lumière d’or Frémissante, entendaient, apaisant leurs murmures De tonnerres, de flots heurtés, de moissons mûres, Et retenant le vol obstiné des essaims, Les Poëtes sacrés chanter les Guerriers saints, Cependant que le ciel et la mer et la terre Voyaient

personne » qui est un livre d’or » (I, 1, p 11), un « docteur à quatre boules blanches » en « littérature, botanique, droit romain, droit canon » (I, 2, p.14). Mais, à l’opposé de Camille, Perdican efface l’image du jeune universitaire au moment où il refuse d’indiquer l’identité de la fleur dont le parfum il avait respiré, détailler « les phénomènes d ce brin d’herbe, depuis la racine jusqu’à la fleur » (I, 2, p.20). Pendant toute l’intrigue, les protagonistes utilisent des masques, pour cacher leurs véritables

Les Baigneuses ou les Demoiselles du bord de Seine de Courbet peignent des corps de femmes libres et alanguis qui n’est pas celui contraint et couvert de la bourgeoisie. - Prostitution présentée par Zola comme une menace biologique : La mouche d’or qui contamine les classes supérieure. - Menace biologique et menace sociale se recoupent dans le roman. II. Tradition du personnage de la courtisane et son renouvellement par Zola : a. Une tradition idéaliste et vertueuse : la

perte d’énergie. Translation des efforts de Raphael vers la peau de chagrin. Il veut que es désirs soient comblés sans vieillir, et passer sans transition de la jeunesse et la mort. Pacte faustien, le diable propose une seconde chance et en échange l'homme lui vend son âme. Vie exentée d’effort. Plus grand désir exaucée par la peau: la richesse, après laquelle il vieillit subitement. Au yeux des autres, côté monstreux, anecdote: va à la station balnéaire et tout le monde se réunit pour le faire partir