L Existence N Est Elle Que Vanité

serait-il capricieux, errerait-il d’erreur en erreur, pour refuser la réalité, vouloir que le monde délire avec lui ? Ces exemples ne sont pas des exceptions : la religion chrétienne refuse de concevoir la mort comme la cessation définitive de notre existence, quand nous qui sommes pourtant des êtres vivants donc mortels. Et les autres religions également. Et il faut reconnaître qu’aucune civilisation ne s’est construite sans religion : toute civilisation humaine prétend dépasser la nécessité. L’évidence

capricieux, errerait-il d’erreur en erreur, pour refuser la réalité, vouloir que le monde délire avec lui ? Ces exemples ne sont pas des exceptions : notre civilisation chrétienne refuse de concevoir la mort comme la cessation définitive de notre existence -quand nous qui sommes pourtant des êtres vivants donc mortels. Et les autres religions également. Aucune civilisation ne s’est construite sans religion : toute civilisation prétend dépasser la nécessité. L’évidence de laquelle nous sommes partis

l’homme : elle est même qualifiée de « droit inaliénable » dans la constitution américaine de 1795. Cela paraît difficile d’imaginer que le bonheur n’existe pas si tous les hommes le recherchent depuis des siècles, on se serait rendu compte de la vanité de cette quête. Or nous continuons à chercher le bonheur, nous recherchons le bien-être dans ce que nous faisons. Que se soit l’amour, le travail ou encore le sport, nous recherchons tous une certaine forme de satisfaction à travers ces activités

cuvette de nos traits » ! encore pour quelques jours » s’oppose à l’éternité de « à jamais ». Face au crâne du Korvar, « nous nous souvenons que lui aussi a eu des « traits ». Comme nous l’avons vu avec le tableau de Philippe de Champaigne (« Vanité ») le crâne est l’occasion de se remémorer notre condition de mortels (cf. « Memento mori »). Pour un regard européen, celui des visiteurs de l’exposition à la galerie André Olive, un crâne est l’occasion de se souvenir que nous aussi nous mourrons

vers final, véritable pointe du sonnet, donne la clé, la cause première. C’est la solution et l’explication. A l’ensevelissement, oppose aux choses terrestres l’élévation, l’espoir, l’ouverture… à condition de sa propre fragilité et de la vanité de son existence. Par cette promesse d’éternité, placée de manière saisissante, à la fin du sonnet, le poème reprend la leçon biblique du salut offert aux humbles, pour la transmettre au lecteur.

de disponibilité des ressources5. Sur le plan philosophique, la recherche de bien matériels, quête sans fin, pousserait également selon certains au phénomène de surconsommation et s'interrogent sur la différence entre fin et moyens dans notre existence. Sur le plan scientifique, on évoque l'empreinte écologique de notre consommation : l'essentiel de nos déchets n'est pas traité, certaines ressources naturelles sont en effet épuisées ou en voie de l'être et l'agriculture intensive est un facteur

l'angoisse existencielle du temps qui passe est essentielle et est une des oeuvres majeures de la poésie moderne notamment par la volonté de créer une esthétique nouvelle grâce aux choix des thèmes. Il représente également le memento mori= origine de la vanité. il y a un thème celui du temps qui passe, référence à Ronsard mais repris par Baudelaire en plus Moderne en s'adressant directement aux lecteurs, allusion à plusieurs langues. Cette allégorie de l'horloge qui est représenté comme un monstre, et qui

tourmenté » mais aussi ses illusions et ses vanités : « Ce monde ce théâtre d’orgueil et d’erreur. » déictique qui rapproche monde/théâtre ( illusion… fait « d’orgueil et d’erreur. » ( discours apodictique (éloge/blame) ( cet H. qui se veut grand montre sa petitesse. V 34 : cet H. cherche un bonheur qui fuit devant lui car il a une représentat° trompeuse de lui-même. L’H. est indécis, il ne peut trouver le bonheur mais ne veut ni quitter cette existence, ni renaitre, cette absence de décision est

personnelle, et je dirais même charnelle. N'attendez pas avril pour écrire, peindre, composer de la musique, sculpter...). Le cours sur la conscience réfléchie et l'existence permettait de distinguer entre la "mort", état physique définitif de non-existence après une période de vie, et le "décès", interruption des processus métaboliques (également appelée "mort" dans la langue courante). La mort s'oppose à l'existence, à la vie, mais aussi à l'inerte (une pierre n'a jamais été vivante, aussi ne peut-on

représentent des sortent de gardiens pour éloigner l’homme de l‘erreur. Cela peut aider l’homme qui voudrait entrer dans le royaume de Dieu, lui donner les moyens d’améliorer sa conduite durant son existence. Les sept péchés capitaux sont tous liés car ils sont tous issus du sentiment d’orgueil et de vanité. Ce ne sont pas nécessairement des pêchés, l’appellation de vices leurs serait plus appropriées. C’est d’eux que découlent tous les autres pêché. «  Si la poésie n’a pas bouleversé notre