L'Épée de vérité

qui lui souriait [...]. C'était sa femme et ses larmes coulaient. » (p. 36-37) « Cette visite ne fut pas seule. Monsieur de Sainte Colombe, après avoir craint qu'il pût être fou, considéra que si c'était folie, elle lui donnait bonheur, si c'était vérité, c'était un miracle ». (p. 38) « Il lui semblait que c'était le même amour, le même abandon, la même nuit, le même froid. » (p. 77) (A sa femme) : « - Je ne sais comment dire, Madame. Douze ans ont passé mais les draps de notre lit ne sont pas encore

d'inhumanité et de cruauté , à l'exemple et patron de nos moeurs . Qui mit jamais à tel prix le service de la mercadence et de la trafique (3)? Tant de villes rasées, tant de nations exterminées, tant de millions de peuples (4) passés au fil de l'épée, et la plus riche et belle partie du monde bouleversée pour la négociation des perles et du poivre : mécaniques (5) victoires. Jamais l'ambition, jamais les inimitiés publiques ne poussèrent les hommes les uns contre les autres à si horribles hostilités

Autorité symbolisée par le gourdin et l’épée Devant l’inefficacité de ses propos, il enchaîne exclamations, menaces et questions rhétoriques Gérondif « badinant » donne le thème de la pièce •Avant/après AVANT : Arlequin était un valet discipliné AVANT : Ses paroles étaient l’écho de celles de son maître AVANT : Ses répliques étaient brèves APRES : devient insolent, refuse de lui obéir APRES : change de ton lorsqu’il apprend la vérité qui devient ironique, démasquant

derrière lui une oeuvre littéraire et philosophique considérable, notamment à travers ses Pensées. Lui qui avait consacré sa vie à Dieu après s'être converti au jansénisme s'était ainsi fixé à travers cet ouvrage de mener les incroyants vers Dieu et la vérité du christiannisme. Afin de parvenir à son but, Pascal avait un plan: il s'agissait dans les premières liasses de démontrer à l'homme la misère de sa condition sans Dieu, puis de prouver que la félicité est possible auprès de Dieu, etc,. Néanmoins

l'analogie entre l’œuvre et le jeu. Les deux mondes, celui du jeu et du film montrent la similitude entre ces deux héros : le cheval, la quête solitaire, l'arc et l'épée. Dans le jeu Ashitaka dans le film Cependant, de nombreux jeux vidéos pourraient faire penser à Princesse Mononoke car le thème du « guerrier solitaire en quête de vérité devant sauver le monde » est un thème abordé par de nombreux jeux, en particulier dans des RPGs, tels que la série des Final Fantasy ou des Elder Scrolls.

MENSONGE ET VERITE ROMANESQUES 1.L’ERE DU MENSONGE A.DEFINITION ET ORIGINE DU ROMAN Etymologie : « roman » vient de langue « romane », ancien français vulgaire (=populaire) issu du latin qui s’oppose au latin écrit par les clercs. C’est donc un récit en langue populaire. Romancier, romancer (verbe) : signifie d’abord traduire du latin en français roman, puis raconter en français, puis raconter des faits en les déformant de manière romanesque. Romanesque : qui tient du roman : merveilleux, fabuleux

abat sa fureur avant l’arrivée du héros car, déjà, la cité est ravagée par la peste. Ensuite, telle l’épée de Damoclès, il suit les pas du héros jusqu’à sa chute finale. Enfin, après que le rideau se baisse, il s’agite encore. Œdipe est l’un des rares héros tragique à ne pas mourir à la fin. Il choisit de se percer les yeux – puisque de toute évidence, il a toujours été incapable de voir la vérité – et de quitter la cité. Phèdre choisit quant à elle de prendre le poison… est-ce là une marque de libre-arbitre

prophète se familiarisait. c. Apoc 1 : 11. Ce que tu vois. Jean avait eu une vision des scènes panoramiques décrivant en symboles clairs et précis ce qu’aucun langage humain fini, ne pouvait concevoir. Beaucoup de ces symboles représentent des vérités infinies qui transcendent la pensée et l’expérience humaine. A ce moment, l’apôtre se trouve lui-même devant un certain manque de termes précis pour s’exprimer et décrire pleinement ce qu’il a vu. Pensons, par exemple, à sa contemplation du trône

le trône d'Attique, laissé vacant par la mort de Thésée, et lui avoue son amour. Leur entretien est interrompu par Phèdre, venue prier Hippolyte de prendre soin de son fils mais qui finit par lui révéler son amour. Comprenant son erreur, elle prend l'épée d'Hippolyte pour en finir avec la vie mais Œnone l’arrête. Théramène annonce qu’on a peut-être vu Thésée. Acte III (6 scènes) Thésée, qui n’est pas mort, arrive à Trézène et s’étonne de recevoir un accueil si froid : Hippolyte, qui envisage d’avouer

parler à Hippolyte. Scène 4 : Hippolyte, sur le départ, demande à Théramène de revenir écourter son entretien avec Phèdre. Scène 5 : La reine laisse éclater sa passion et déclare son amour à Hippolyte, qui la repousse. Elle arrache alors l’épée du jeune homme et essaie de se tuer. Oenone intervient et l’entraîne, à demi évanouie. Scène 6 : Théramène revient : tout est prêt pour le départ. La rumeur court que Thésée n’est pas mort. ACTE 3 : Scène 1 : Phèdre d’abord désespérée