L'Énigme sacrée

action puisse être érigée en loi universelle de la nature, et donc, nous oblige à agir de façon désintéressée, ainsi, si l’on accepte ce type d’obligation, on est un être moral. 10) Définissez les termes suivants : la religion, le profane et le sacré Le terme « religion » renvoie d’une part aux obligations et pratiques religieuses au sein d’une même communauté. D’autre part, le terme signifie l’idée d’une lien avec une divinité ou un Dieu : on peut donc dire que la religion est soit un lien d’union

contact de la nature et des saisons, or les progrès technologiques influencent les façons de pensée et le type de contact à la nature. De plus, l’évolution des sciences et des technologies modifie les valeurs qui reposaient auparavant sur un sens du sacré et une croyance religieuse. La généralisation : On passe du familial et du local au national, puis à l’international (via la démocratie). Avec cette vision internationale, les individus étendent leurs fonctions et intérêts. De la même façon, leur

paraît bien difficile. Ce n’est pas la croyance en un dieu, par exemple le bouddhisme, alors s’agit-il d’un rite collectif unissant des croyances et des pratiques ? Au-delà de l’aspect sociologique, nous sommes en présence d’une affirmation duale : sacré-profane, affirmation qui procède d’autres voies que le seul savoir rationnel. Par exemple la foi, l’expérience mystique, l’extase, l’accès direct – sans médiation - à Dieu. C’est l’institution d’une transcendance : ce qui est au-delà de l’expérience

TEXTE : Roger Caillois, L’Homme et le Sacré . […] Si la structure nouvelle des sociétés et la forme mécanique ou scientifique des combats substituent au héros attiré le combattant innombrable et anonyme, elles n’ont pas modifié la vieille attitude. La nécessité d’un discipline précise et les moyens de l’appliquer rigoureusement limitent sans doute la fantaisie des excès d’autrefois, mais la guerre gagne sans cesse en ampleur ce qu’elle perd en déchaînement instinctif. Elle acquiert ainsi un

Nous montrerons l'utilité du poète par l'intermédiaire de Dieu et les Hommes, puis dans un second temps, que le poète est ancré dans le temps. I- Le poète: intermédiaire entre Dieu et les Hommes 1) Un Homme différent des autres - « le rêveur sacré! » = Un homme bénie par Dieu → le « ! » accentue la force de cet Homme - « Lui seul » x2 = insistance 2) Le poète est un élu - « mène à Dieu » (dernier vers) - « Dieu parle à voix basse à son âme » (v. 9) - Anaphore: « lui seul a le front éclairé »

profane", qui peut contraster avec la dimension surhumaine créée par le lexique de la blancheur. La blancheur pouvant être associé à la religion chrétienne c'est-à-dire plus précisément à Dieu, et le mot "profane" étant en totale contradiction avec le '' sacré '', on peut imaginer que la population blanche s'est corrompue. L'utilisation quasi-imédiate du chiasme "les Palais des Gouverneurs, le pouvoir officiel, mais le pouvoir profond [...] les financiers" renforce encore plus ce sentiment de corruption

politique parce qu’elle propose une explication de la place de l’homme dans le monde. L’homme religieux croit qu’il existe une réalité absolue… Le sacré. Les rites religieux jouent le rôle essentiel dans le comportement de l’homme et dans sa conception du monde ; lui institut l’ordre sacré, l’interdit et la vie sociale. Les rites permettent l’accès au sacré en délimitant un espace et un temps propres avec des propriétés spécifiques, hors de l’espace temps profane. Les religions sont différentes, avec

fautes, gourmande-toi mais, si tu as bien agi, réjouis-toi. Travaille à mettre ces préceptes en pratique, médite-les ; il faut que tu les aimes, et ils te mettront sur les traces de la vertu divine, j'en jure par celui qui transmit à notre âme le sacré Quaternaire, source de la Nature dont le cours est éternel. Mais ne commence pas à prendre à tâche une oeuvre sans demander aux Dieux de la parachever. Quand tous ces préceptes te seront familiers, tu connaîtras la constitution des Dieux immortels

d’un monde où il ne se reconnaît pas. • Harmonie avec la nature : lieu de méditation et de communion, tour à tour protectrice et déchaînée, la nature est le fidèle reflet du « vague des passions » (Chateaubriand). • Spiritualité et aspiration au sacré : trouver dans la religion et les textes sacrés des réponses au « mal du siècle » (Musset) et aux incertitudes. • L’exotisme et le rêve : voyages réels ou rêvés (Amérique, Orient, Italie…) pour échapper à un réel désenchanté. OEUVRES MAJEURES

chanson Le deserteur. La religion : vénale(aime l'argent) : si pas d'argent : pas d'enterrement digne : cf : le cercueil de Chloé jeté dans la rue, son corps jeté dans une fosse commune. La perte du sacré : le mariage ressemble plus à une fête forain(course de voitures) qu'à une union sacrée : une "religion spectacle" Le prêtre : sadique, totalement indifférent au chagrin de Colin La police omniprésente L'idolâtrie que Sartre a créée : ses admirateurs se comportent en de véritables "groupies"