L Art Grec Egyptien

b-Certains tats de lEurope de lest et de louest vont codifier leur D.I.P c- Des rgles codifies existent dans de nombreux tats arabo-musulmans. Par exemple, un chapitre consacr aux conflits de lois dans le code civil egyptien de 1949 a inspit les codes civils de Syrie, dIrak et du Koweit d-Au Maroc Le DCC du 12 Aout 1913 constitue la source principale du D.I.P. Il constitue ainsi le premier code de D.I.P paru en langue franaise, il traite essentiellement

inventé le vocabulaire du pouvoir. Le mot « politique » dérive du terme grec « polis » qui signifie « cité ». Ils ont conçu les notions fondamentales de Constitution et de citoyenneté. L’histoire du monde grec antique s’étend sur 2 millénaires et plus précisément sur 3 grandes périodes : La période Archaïque qui s’étend du début du 2ème millénaire jusqu’au 7ème siècle av J-C. C’est la période qui est chanté par le poète grec Homère où il y décrit les relations entre Dieu et les Hommes notamment

Socrate, un petit homme bavard « torpilleur » des idées reçues • Le Socrate historique (469-399) : né à Athènes, d’un père sculpteur (Sophronisque) et d’une mère sage-femme (Phainarète), ainsi que le raconte Diogène 4 Laërce (poète et doxographe grec) il a été éduqué par le savant Anaxagore qu’il abandonne vite car il ne conçoit pas que la philosophie ne s’occupe que de la nature. Il voyage peu, sauf obligations militaires (le service accompli à Amphipolis, la bataille de Protidée). Il se suffit

pavé mosaïque, reflète en partie les étoiles tracées sur cette voûte. A partir de cette proposition, le “voyageur” doit évoluer à la manière égyptienne du neter Chou (représentant l’air) et trouver comment ouvrir ses perceptions à une dualité de construction qui trouve sa résolution vers un orient éternel, et donc dans un éternel recommencement. Pour ces Égyptiens, le ciel était du genre féminin. Le neter Nout était la Ciel, la mère céleste. Leur riche iconographie livre une représentation symbolique

J-C. « Comme Auguste1 jugeait important de maintenir le peuple romain sans mélange et intact de toute intrusion de sang étranger […], il ne distribua que chichement le droit de cité romaine […]. A Tibère2 qui demandait la citoyenneté en faveur d’un Grec de ses clients, il écrivit : “Je ne la lui attribuerai que si vous me démontrez de vive voix à quel point votre demande est justifiée” ; de même, il le refusa à Livie3 qui sollicitait le droit de cité pour un Gaulois qui payait un impôt, mais il offrit

justifier devant le sénat. Jamais il n'y entra que seul. Un jour qu'on l'y porta malade, dans sa litière, il fit retirer sa suite. XXXVI. Contre les superstitions étrangères (1) Il interdit les cérémonies des cultes étrangers, les rites égyptiens et judaïques. Il obligea ceux qui étaient adonnés à ces superstitions de jeter au feu les habits et les ornements sacrés. (2) Sous prétexte de service militaire, il répartit la jeunesse juive dans des provinces malsaines. Il exila de Rome le reste

ses devoirs comme guide et défenseur de la chrétienté suffit à éclairer sa politique. Politique aux larges vues s’il en fut jamais, qui, du haut du trône pontifical dressé à Clermont-Ferrand, embrassait aussi bien Jérusalem où les guerres entre Égyptiens et Seldjoukides avaient abouti à de nouveaux massacres de chrétiens, que la question des Détroits, « le bras Saint-George », comme on disait alors, toujours sous la menace d’un coup de main turc. Le 27 novembre 1095, dixième jour du concile de Clermont

n’est plus de convaincre les cités grecques, mais il faut en plus de produire un ensemble de représentations et de croyances, de justification qui conviennent encore aux populations perses, égyptiennes et autres. Alexandre se trouve face à deux conceptions de légitimation totalement opposées. Dans le monde grec, au-delà de toutes les différences qui pouvaient exister entre les constitutions des cités, il y a cette idée que le pouvoir politique émane de la cité et est nécessairement au service de

par les hommes et les femmes artistes pour raconter en image. Le soucis étant d'informer, d'éduquer, d'émouvoir soit simplement, soit en combinant tout cela. Ex : - Papyrus Egyptiens : Livre des morts d'Osiris (livre pour sortir au jour) datant d'environ 4400 av. JC. Il vient du musée Egyptologique de Turin. - Bas relief grec (Athènes), frise du Parthénon de Phidias (Ve siècle av. JC). Elle représente les Panathénées. - La geste du guerrier Mochica, raconte l'histoire d'un guerrier légendaire Inca

même masqués. » I - EVOLUTION DU COSTUME En Egypte   Le costume de théâtre a pour origine le costume rituel des cérémonies religieuses. On a trouvé en Égypte les traces de costumes rituels et ornementaux qui datent d’il y a 5 000 ans. Les Égyptiens disposaient de fines fibres végétales (lin, coton), de colorants, huiles et fards nombreux (le khôl, tiré de l’antimoine). Les danseurs portent de simples pagnes pour mettre en valeur la beauté des corps, et les musiciennes des robes arachnéennes