Kidal

a) Un constat alarmant Cette guerre asymétrique comme on la nomme, conduit le pays à être proie à un fanatisme redoutable. « Le mouvement islamiste « Ansar Dine » a pris le contrôle de 5 aéroports et des 3 métropoles du nord : Gao, Tombouctou et Kidal où ils imposent la charia par la force. Le MNLA est le mouvement le plus visible mais a finalement peu de poids comparé aux islamistes. », explique Ibrahima Coulibaly à alimenterre.org. L’intervention française n’y aura pas changé grand-chose. Au Nord

financement de l’Etat et un lycée scientifique devrait prochainement ouvrir sur financements privés. Marché : un financement d’Etat de 30 000 000 CFA va permettre le réalisation de 30 boutiques sur le marché de Ghataye. L’Eau : TransSahara quitte Kidal pour s’installer avec ses techniciens locaux à Adiel hoc où une extension de 5 km du réseau de distribution est prévue. Formation : le DDRK (Coopération luxembourgeoise) devrait financer un bâtiment de formation professionnelle dans le village.

N'Tokonasso, Molobala, Sougoumba, Kanico, Miéna, N'Tossoni, Zangasso, Karangana, Ourikéla, Tandio, N'Gorola, Mahou, Boura, Maréna. 3 - Transfert du central de Tombouctou à Kidal et le transfert de celui de Kidal à Bourem. Ce projet, autofinancé par la SOTELMA, consiste au transfert du central existant de Tombouctou à Kidal et de celui de Kidal (capacité 150) à Bourem. Le montant de ces transferts successifs et des équipements d'adaptation complémentaires est estimé à 70,2 millions F CFA. 4 - Installation

rebelles touaregs du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) et au mouvement salafiste de Ansar Dine, alliés à d'autres mouvements islamistes. Le MNLA revendique l'indépendance de l'Azawad qui correspond aux trois régions maliennes de Kidal, Tombouctou et Gao. Le gouvernement malien refuse ces revendications, défendant l'intégrité du territoire malien. Le mouvement Ansar Dine de l'ancien combattant touareg Iyad ag Ghali défend l'instauration d'une république islamique avec l'application

rebelles touaregs du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) et au mouvement salafiste de Ansar Dine, alliés à d'autres mouvements islamistes. Le MNLA revendique l'indépendance de l'Azawad qui correspond aux trois régions maliennes de Kidal, Tombouctou et Gao. Le gouvernement malien refuse ces revendications, défendant l'intégrité du territoire malien. Le mouvement Ansar Dine de l'ancien combattant touareg Iyad ag Ghali défend l'instauration d'une république islamique avec l'application

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processus d’indépendance étaient en cours. La France, ou des français caressèrent un moment, l’espoir de créer un vaste espace indépendant(4). Les Touareg refusèrent l’idée. Cependant, leur marginalisation croissante les incita à créer, en 1958, à Kidal, le Mouvement Populaire de l’Azawad (MPA)(5), qui caressa, un moment le rêve d’un Etat touareg. Mais, l’éclatement de la Fédération du Mali voit la proclamation de la République du Mali en septembre 1960, sous la présidence de Monsieur Modibo Keita

rebelles touaregs du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) et au mouvement salafiste de Ansar Dine, alliés à d'autres mouvements islamistes. Le MNLA revendique l'indépendance de l'Azawad qui correspond aux trois régions maliennes de Kidal, Tombouctou et Gao. Le gouvernement malien refuse ces revendications, défendant l'intégrité du territoire malien. Le mouvement Ansar Dine de l'ancien combattant touareg Iyad ag Ghali défend l'instauration d'une république islamique avec l'application

convoi d'AQMI transportant des armes de la Libye vers le Mali est intercepté par les Français au Niger. Trois tonnes d'armement sont détruites, 13 djihadistes tués et deux autres faits prisonniers. La nuit du 17 au 18 octobre, lors d'une opération à Kidal, les Français arrêtent trois personnes suspectées d'être impliqués dans une attaque au mortier qui avait fait un mort et deux blessés chez les casques bleus sénégalais. Le 18 octobre, l'état-major de Barkhane affirme que « plusieurs dizaines de terroristes

islamistes radicaux risquent de s’installer durablement dans la région sahélienne, de la Mauritanie au Nigeria. Pour s’assurer le succès, la France devait reprendre les villes les plus importantes du Nord du Mali, aux mains des terroristes, tels que Kidal (importante car possède un aérodrome), ou encore la région de Gao. François Hollande a de suite rappelé a l’ordre les journalistes en disant que : « La France n’a aucun intérêt économique au Mali, si nous intervenons c’est uniquement pour que le