Keynésiens Et Monétaristes

incluent une variable de vitesse de circulation : la vitesse-circulation (V) et la vitesse-revenu (1/k). Seule la vitesse-revenu est évaluable. L’analyse Cambridgienne est la première vraie analyse de la demande de monnaie. 3) L’analyse Keynésienne et ses prolongements Le premier apport de Keynes à l’analyse monétaire est qu’il va rentrer dans les détails de ce que sont les motifs de demande de monnaie. Les Cambridgiens ont le mérite d’avoir écrit noir sur blanc que les agents économiques

un mode de pensée dit « classique ». Ils étaient appelés les néo-classiques B. L’Ecole de Chicago après « sa création » ; les monétaristes Milton Friedman est souvent utilisé comme l'icône de cette école de la pensée économique, et la « Chicago School of Economics » n'est pas seulement réservée aux économistes monétaristes ; elle couvre également l'application du calcul stochastique aux marchés financiers, plus connue sous le nom de théorie moderne du portefeuille. Cependant

insignifiante 3 a. Origine de la théorie quantitative de la monnaie 3 b. La théorie quantitative d’Irving Fisher 4 c. L’analyse de l’école de Cambridge 5 II. L’ANALYSE KEYNESIENNE : Monnaie active 6 1. Le motif de transaction 6 2. Le motif de précaution 6 3. Le motif de spéculation 7 III. REACTIONS AUX ANALYSES KEYNESIENNES 9 A. L’ANALYSE DES MONETARISTES 9 B. LES NOUVEAUX CLASSIQUES 12 1) Les hypothèses des nouveaux classiques 12 2) La politique monétaire des nouveaux classiques 14 C. L’ECONOMIE DE L’OFFRE 14

économies de marché. Toute une série de transformations qui modifient le rôle de l’Etat et des relations internationales : essor important des fonctions économiques et sociales de l’Etat. Un consensus politique et économique va appliquer les idées Keynésiennes : l’Etat intervient dans la stabilisation de l’économie, l’Etat fait beaucoup d’investissements, et se donne pour objectif principal le plein emploi. Après la seconde guerre mondiale, les nations touchées entament une reconstruction et une reconversion

l’État disparaîtra et la richesse sera redistribuée « à chacun selon ses besoins ». La société sera alors « communiste », la propriété sera commune, il n’y aura plus de classes sociales et d’ « exploitation de l’homme par l’homme ». L’école Keynésienne « keynésianistes, années 30, puis années 50-70 » L’intervention de la puissance publique dans l’économie a été décisive à maintes reprises. En France, depuis Colbert, l’État a joué à plusieurs périodes un rôle moteur important dans l’économie

et les interventionnismes (Keynésiens). En résumé, les non interventionnismes croient que le cycle économique découle de l’exercice d’optimisation par les agents économiques de leur satisfaction ou de leur profit. Les marchés, laissés à eux-mêmes sont mieux à même de faire fonctionner l’économie à son optimum. Dans ce contexte, l’intervention de l’Etat sur le cycle économique n’aidera en rien et pourrait même empirer la situation en amplifiant le cycle. Les monétaristes sont les non interventionnistes

nationale augmente alors que la demande de monnaie nationale chute * L’effet multiplicateur de l’augmentation des exportations et de la baisse des importations sur le revenu national. 4. Equilibre de portefeuille : * Les monétaristes proposent un autre mécanisme de transmission : lorsque l’offre de la monnaie augmente, les ménages possèdent plus de liquidités cet excédent va être utilisé pour faire des transactions augmentation des prix actifs. Ce processus s’arrête lorsque

Baisse - le courant keynésien : vient de Keynes (théorie de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie) également appelé courant interventionniste. Doc 4. Pour Keynes le plein emploi (absence de chômage) n’est pas l’état naturel de l’économie. Un chômage élevé et durable est possible. Il propose l’intervention de l’état grâce à une politique budgétaire de relance (dépenses publiques et déficit budgétaire) La logique keynésienne + L’état intervient

domaines de recherche aussi bien théorique qu'appliquée, il fut à l’origine du courant monétariste ainsi que le fondateur de l'École monétariste de Chicago, ainsi qu'un commentateur politique et essayiste à succès. Un théoricien Milton Friedman initia une pensée économique d'inspiration libérale dont les prescriptions s'opposent de front à celle du keynésianisme. En réponse à la fonction de consommation keynésienne, il développa la théorie du revenu permanent. Avec cette théorie et l'introduction

financer l’effort de guerre. Il défend alors une politique keynésienne. En 1943, il rejoint l’université Columbia où il travailla comme statisticien et il y rend sa thèse de doctorat en 1945. En 1945, il enseigne une année à l’université du Minnesota. Puis, il accepta un poste de professeur d’économie à l’université de Chicago, où il y resta trente ans. Pendant ce temps, il y développa une école économique appelée l’Ecole monétariste de Chicago. A la meme époque il rejoint le National Bureau