Keynésianisme Fondements

Chapitre 1 : les approches théoriques de la monnaie - section 1 : l’offre de monnaie - Définition de la monnaie : l’ensemble des moyens de paiements immédiatement utilisables pour acquérir des biens et services ou régler des dettes. - L’offre de la monnaie : c’est la qualité de monnaie mise à moment donné à la disposition de l’économie par les banques commerciales et la banque centrale. - L’offre réelle de la monnaie : M/P (n’es pas constante, varie selon les orientations de la politique monétaire

et n’achèterons pas au prix du marché. On observe donc que le mécanisme de marché en asymétrie d'information ne permet aucun échange si le prix ne baisse pas et élimine les voitures de bonne qualité. L'intervention de l'état peut ainsi prouver un fondement dans le cas présent par exemple en imposant un contrôle technique au moment de la transaction. Pr sa part, la théorie des jeux permet de souligner que la poursuite d'intérêt individuels de conduit pas tjr à l'intérêt grl ou que l'équilibre obtenus

de ces deux marchés détermine le niveau d'équilibre de la demande et du taux d'intérêt. Il existe un troisième marché implicite, celui des titres, qui est ignoré parce que l'équilibre des deux premiers force le troisième. Un apport essentiel du keynésianisme (et d'IS/LM) est l'existence potentielle de chômage à cet équilibre, qui est alors un équilibre de sous-emploi ; la cause en est une demande effective insuffisante. Ce modèle reste très enseigné et demeure propédeutique pour les modèles macroéconomiques

w/p suite à une montée de l'inflation symbolisée par une hausse de p est pour lui possibleN 1. Cela conduira le courant de la synthèse néo-classique à utiliser la courbe de Phillips dans le cadre d'arbitrages entre inflation et chômage. Le keynésianisme est l'une des plus importantes théories macroéconomiques. Il désigne la doctrine développée par John Maynard Keynes, notamment dans la "Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie". Keynes y défend l'hypothèse que la demande est

La crise économique qui a frappée le monde en 2008 a soulevée de nombreuses questions. Comment était t’elle survenue, comment allait elle évoluer et que faire pour y remédier ? Le prix Nobel d’économie, Paul krugman a alors proposé l’utilisation du modèle IS /LM pour comprendre cette crise. Et malgré les doutes de ses nombreux détracteurs, il a démontré que les taux d’intérêts n’augmenteraient pas, même avec une augmentation de la masse monétaire, information qui s’est montrée juste avec le temps

les offreurs II - Fonctions actuelles de l’Etat dans les économies développées contemporaines. 1) Le système capitaliste Les 2 écoles sont d'accord sur l'existence du système capitaliste comme système de fonctionnement de l'économie. Fondements du système : - Propriété privée et libertés économiques (liberté contractuelle, libre échange, …) - Moteur de l'activité économique : recherche de l'intérêt individuel des agents. A -- Mais alors que les idées libérales mettent en pratique :

satisfaction de l’intérêt général. Ainsi, à l’occasion de l’élaboration du budget, l’Etat doit recenser les dépenses d’intérêt général, c’est-à-dire les dépenses facteurs de croissance B- L’explication keynésienne du principe Sous les influences du keynésianisme de l’après Seconde Guerre Mondiale, une approche nouvelle du principe d’équilibre se diffuse, en rupture avec la vision purement comptable des classiques. C’est l’équilibre économique et financier, transposé dans des règles juridiques plus ou moins

Les multiples orientations de la recherche Au cours des dernières années, la recherche s'est orientée dans plusieurs directions : une nouvelle école libérale est apparue en France avec Jacques Rueff, pour lequel la propriété privée est le fondement de l'ordre social, tandis que les relations internationales devraient être basées sur le retour à l'étalon-or. L'école de Chicago, avec Milton Friedman, s'est acquis une grande notoriété, à la faveur des difficultés traversées par l'économie américaine

Opposition entre keynésiens et marxistes : années 1970 : optique keynésienne qui parle d’une crise de la D, alors que pour les marxistes c’est d’abord une crise de l’offre. 2) Apparition de l’école de la régulation : à la confluence du marxisme et du keynésianisme, mais aussi d’autres concepts : problème + de l’O que de la D. 3) 1990-2000 : éclatement des interprétations de la crise : retour des libéraux, et de la théorie du surendettement (Fisher) : alternance entre surendettement et désendettement.

enfin comparer le plan le plan de relance de manière générale entre l’UE et des Etats Unis. 1° Naissance du keynésianisme Avec la Théorie générale, Keynes a développé l'hypothèse que la demande est le facteur déterminant pouvant expliquer le niveau de la production et par conséquent de l'emploi. Aujourd'hui de nombreux courants et partis politique se revendiquent du keynésianisme en n'en retenant que l'idée d'interventionnisme. Keynes, lui même homme d'affaires, se disait pourtant du coté