Keynes Et Le Mercantilisme

Histoire de l’analyse économique I- Les mercantilistes : Le mercantilisme est apparu entre le 16e siècle et le 18e et marque une période de transition entre le moyen âge et le capitalisme industriel, Adam Smith est le premier à avoir utilisé ce mot. Ce courant n’a porté ses fruits qu’entre le 19e et 20e siècle. 1) L’Europe du Moyen âge : Chute de l’empire romain et de l’économie marchande entre le 5e et 10e siècle ce qui va engendrer des transformations à partir du 11e siècle qui se renforceront

peut plus aujourd'hui, embrasser l'ensemble des domaines de la connaissance mais doit se contenter d'un domaine spécialisé. Ainsi, la science économique s'est détachée du religieux (rupture avec la scolastique) puis du politique (rupture avec le mercantilisme) pour aborder un objet spécifique, la croissance économique, avec les auteurs classiques. Depuis lors, elle s'est perfectionnée tant au niveau des outils que des thèmes ce qui montre que la rationalisation de la connaissance suppose une spécialisation

permis aux Etats-Unis d’affirmer leur hégémonie monétaire au moment même où les bases économiques et géopolitiques de cette hégémonie devenaient progressivement de plus en plus discutables et discutées. Ceci constituait un facteur d’instabilité, ce que Keynes avait prévu dès 1941 et qu’il avait tenté justement de prévenir par l’idée d’une unité monétaire commune internationale. Ce phénomène d’instabilité a été amplifié par la mutation des institutions qui avaient été mises en place à l’époque, le FMI et

Petty, Cantillon Entre le XVème et le XVIIIème siècle, après la Renaissance. Le mercantilisme est présent dans toute l’Europe. Remplacée par la doctrine classique au XIXème. A. de Montchrétien : rôle économique de l’Etat est celui de l’enrichissement du royaume, il à un concept politique de l’économie. L’économie mercantiliste est une économie administrée et en partie étatique. Les prix sont fixés par l’Etat. Le mercantilisme est l’alliance du Prince et des marchands. Les marchands concourent à l’enrichissement

pensée keynésienne 5. La controverse Keynes - Ohlin, Rueff et l’approche monétaire de la BP 5.1 La question des réparations allemandes et la solution keynésienne 5.1.1 Première phase : de la guerre au plan Dawes 5.1.2 Deuxième phase : la solution keynésienne 5.2 Les objections radicales d’Ohlin et Rueff 5.2.1 La preuve par les faits selon Rueff 5.2.2 L’analyse théorique d’Ohlin 5.3 La réplique de Keynes et l’issue de la controverse 6. La controverse Keynes - Hayek ou l’équilibre monétaire 6.1 Les

néoclassique : on peut comprendre la globalité en s’intéressant aux comportements individuels. Analyse keynésienne : ce qui se passe au niveau global n’est pas applicable au niveau individuel. Le point de départ de la macroéconomie, c’est l’ouvrage de Keynes, «  la théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie », publié en 1936. En 1936, c’est la plus grande crise économique de l’histoire née en octobre 1929, a la bourse de NYC. Cela débute par un effondrement des cours de bourse (Krach)

instrument de la domination capitaliste................16 Section2–Les analystes contemporains XX° siècle.........................................................................17 2.1 Justification macroéconomique de l’intervention publique chez Keynes ........................17 2.2 L'apport de Beveridge ............................................................................................................................ 18 2.3 L'économie du bien être :une analyse libérale des défaillances

la sphère financière (la demande de monnaie Md). La monnaie n'est qu'un voile qui sert juste comme instrument d'échange sur un marché et ne peut être désirée pour elle-même, ce qui sera remis en cause en premier lieu par les cambridgiens, puis par Keynes. La demande de monnaie Alfred Marshall et Pigou, deux économistes classiques de l'université de Cambridge vont créer l'équation de Cambridge. Elle traduit une fonction de demande de monnaie : c'est une légère rupture avec la pensée classique orthodoxe

même titre que toutes les sciences humaines, est loin d’être aboutie. La tentation existe donc de rationaliser à posteriori, en faisant parader les idées en ordre. Or, les ouvrages les plus célèbres sont remarquablement désordonnés (Ricardo, 1817; Keynes, 1936). Par ailleurs, si nombreuses sont les théories antérieurement ébauchées qui nous reviennent remaniées et affublées du vocable néo-… que certaines hypothèses du passé appartenant à des courants d’idées obsolètes, nous apparaissent parfois étonnement

réfutable. Une démarche scientifique peut s’appuyer sur une démarche positive : expliquer pourquoi les comportements sont ainsi (Courant Néoclassique). démarche normative : chercher à définir ce que les comportements devraient être (Keynes, Marx, courant Classique). ( Pour les économistes Keynésiens, Marxistes et Classique, l’économie est une science où interviennent les jugements de valeur donc il n’y a plus de neutralité de l’économie. La seule finalité de l’économie