Keynes Et Le Mercantilisme

Montchretien J.b Colbert (colbertisme ou mercantilisme français pour designer l’intervention de l’état dans l’économie). Le mercantilisme est l’opposé d’une doctrine libérale. C’est l’intervention musclée de l’Etat dans l’économie. Il va orienter la répartition des ressources dans la société. A propos du Com international, les mercantilistes pensaient que le commerce extérieur doit participer à l’enrichissement du royaume sans appauvrir les sujets. a- Le mercantilisme espagnol  Au début du 16e siècle

font des mercantilismes une troisième voie entre le marché et le socialisme, leurs caractères communs sont : la pratique de taux d'intérêt bas pour faciliter les investissements et ne pas encourager l'épargne nuisible aux débouchés pour les produit, l'instauration des droits de douane sur les produits manufacturés étrangers. Les différences entre les mercantilismes tiennent principalement aux spécificités nationales. - Le mercantilisme ibérique. On peut définir cette forme de mercantilisme par le

fabriquer moins. L’offre va stagner, le demande ne cesse d ‘augmenter. Montesquieu parlait de l’Espagne comme une « misère dorée ». C’est pourquoi le mercantilisme est assez absurde. L’Italie a su s’arrêter a temps. Mais assez rapidement ils ont changé de politique, ils ont cessé d’être bullionistes et ils se sont engagés dans une version du mercantilisme varié. L’Espagne a pris un tel retard qu’elle est rentrée très tardivement dans le Révolution Industrielle. Elle est a la traine. Elle ne sera pas

naturelles mais la proposition de mesures concrètes, directement applicables. La finalité est l’enrichissement du Prince et pour se faire il faut encourager les activités commerciales. Il existe différentes formes de mercantilisme dont 2 sont dominantes. _ Le bullionisme : selon ce mercantilisme « primitif » la richesse provient de l’or ce qui nécessite un protectionnisme monétaire. Mais le résultat en sera une récession économique. _ Le colbertisme stipule que la disponibilité des métaux précieux facilite

paradoxes de sa théorie. Contrairement à une longue lignée de commentateurs, pour qui Quesnay ne s’intéresse pas à la monnaie, nous pouvons montrer, à la suite de Joseph Schumpeter2, qu’il est au contraire un maillon essentiel qui, de Boisguilbert à Keynes, constituent la filière de l’analyse monétaire. Entre les théories pré-monétaires des mercantilistes et la domination, à partir d’Adam Smith, du système classique anglais et de son analyse en termes réels, nous voulons montrer ce qui constitue la

politique et a élaboré le tableau de l’état économique de la France en 1610. Jean BODIN : est un philosophe et magistrat français, il était le procureur du roi de l’époque. Les anglais Thomas MUN, Josiah CHILD et William PETTY Le mercantilisme doit son appellation à l’économiste classique Smith, de l’italien Mercante veut dire marchand. Les principales idées des mercantilistes sont :  L’enrichissement est une fin louable ;  L’intérêt personnel conduit à la prospérité générale et

de rareté. Conséquence : L'homme doit effectuer des choix. C. Les notions de la science économique Quatre principes fondamentaux : - la notion de besoins. Les individus ont des besoins qui les poussent à agir pour les satisfaire. Keynes distingue les besoins absolue : Ils sont ressentie qu'elle que soit la situation des autres (boire, manger, ...) et les besoins relatifs : C'est un besoin éprouvé au contact des autres (imitation, différenciation, ...). - la notion de biens. Les

elle-même et par les rapports sociaux entre les hommes correspondant aux dotations en matériels entre eux. Ces rapports sociaux antagonistes doivent conduire à l’effondrement de l’économie capitaliste et à son remplacement final par le communisme. Keynes, lui, adopte une vision holiste critique à l’égard du libéralisme. Il considère que le marché est incapable de garantir durablement le plein emploi d’où la nécessité d’une intervention de l’Etat. Son objectif, à l’inverse de Marx, est de sauver le

politique » en 1615 par A. De MONTCHRETIEN. Dans son ouvrage, il indique que l’économie politique sert à conseiller le prince, cela consiste en l’étude de l’environnement pour faire rentrer de l’argent dans les caisses. Le 1er courant : le mercantilisme (XV° ; XVI° ; XVII°) avec BODIN , COLBERT, PETTY qui avaient pour objectif : comment enrichir le Prince ? Il s’est alors défendu plusieurs recommandations appartenant à différentes écoles : * Le bullionisme espagnol : ne font pas de différence

incarne une réaction structurée au mercantilisme. Les physiocrates vont prendre aux philosophes de la première moitié du 18e siècle, les fondateurs de l’ordre social, des lois naturelles. Ils vont lever les fondements philosophiques du libéralisme. Chaque individu est maître de lui-même, possède des droits fondamentaux qui découlent de sa condition d’homme, un droit à la liberté, à la propriété. Par contre, ils vont rejeter la vertu du philosophe (héritage du mercantilisme, rôle social de l’état). Mot