Keynes Et Le Mercantilisme

relance? Keynes va révolutionné la pensée économique car l'équilibre n'est pas la question prioritire pour lui mais la croissance. Il introduit l'idée du plein-emplois (croissance entraine emploi) Keynes se base sur la demande (offre avant): rôle de la consommation devient fondamental( nouveauté) But : augmenter emplois pour augmenter consommation + instauration de salaires correcte Eléments fondamentaux de la politique de Keynes : _la place de la monnaie _le rôle de l'état Keynes est synonyme

volonté. Chacun est totalement libre de contracter. Section 2 : Les théories interventionnistes du Marché Paragraphe 1 – le mercantiliste une théorie de l’organisation du marché Le mercantilisme est une théorie qui est bien est favorable à l’interventionnisme est favorable au marché. Le mercantilisme vient de l’italien mercante = marchand et que la marchandisation de l’économie et donc l’enrichissement des marchands est la finalité des marchands finalité de l’activité économique. Historiquement

partir d'Adam Smith un important corpus analytique qui est généralement scindé en deux grandes branches : la microéconomie ou étude des comportements individuels et la macroéconomie qui émerge dans l'entre-deux-guerres, avec l'ouvrage majeur de John M. Keynes, intitulé Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie[]. De nos jours, l'économie applique ce corpus à l'analyse et à la gestion de nombreuses organisations humaines (puissance publique, entreprises privées, coopératives etc.) et de

pauvreté des débats vers 1990 sur la transition des pays ex socialistes ou des problèmes fondamentaux comme l’économie de marché suppose t-elle au préalable la démocratie ? ou inversement, ont été survolés sans conclusions utilisable. Le passage du mercantilisme au libéralisme s’est fait par étapes, d’ailleurs certains auteurs anglais français ou italien de la période 1690-1780 peuvent aussi bien être considérés comme mercantiliste tardif que des précurseurs du libéralisme. C’est à cette époque qu’apparaît

société qui se doit de corriger ces inégalités « à chacun selon ses besoins ». Cette conception va influencer les conceptions libérales égalitaristes de la justice, mais sans donner à l’Etat cette capacité à corriger les inégalités (contrairement à Keynes) mais grâce aux comportements des agents. L’économie et les positions de l’Eglise chrétienne Sous l’Antiquité, il y a des bases lancées par Aristote mais pas d’unité de réflexion économique = elle est ultérieure et lente. C’est en reprenant

2 Les grands courants de la pensée économique Historiquement, on peut successivement distinguer le mercantilisme, le libéralisme de l’école classique, le marxisme, le courant libéral néoclassique, le keynésianisme et enfin des développements contemporains de la pensée libérale néoclassique. 1 LE MERCANTILISME Favorables à l’intervention de l’État, les mercantilistes élaborent, au cours des XVIe et XVIIe siècle, des règles de politique économique visant à attirer et à conserver sur le territoire

des autres pays, ce qui sert son pays. La conséquence est que les importations seraient propices à l’écoulement des produits nationaux : chez Say, le commerce international représente donc un débouché formidable. Il convient donc de condamner le mercantilisme. Une autre conséquence de la loi des débouches chez Say concerne le fait que la consommation n’est pas directement responsable de la richesse du pays. Il convient d’insister sur la nécessité pour un produit de contenir un « surcroît d’utilité »

– Pour les économistes classiques de la fin du XVIIIème et du XIXème siècle, l’Etat doit être un Etat minimal 1. L’Etat minimal d’Adam Smith Smith s’oppose au mercantilisme (Antoine de Montchrestien ou Jean Bodin), courant qui pense que l’Etat doit intervenir pour favoriser le cumul des richesses. Smith affirme que le mercantilisme est peu efficace et même dangereux. Il est nécessaire de laisser jouer la « main invisible ». L’Etat doit être un Etat minimal, un Etat gendarme comme le nomme Antonio

s'intéresse à la production des matières, la répartition des revenus et la consommation. A l'époque, on s'est intéressé à l'État (fascination) notamment avec le mercantilisme, le pré-classique et le néo-classique. On a vu cependant apparaître des critiques avec par exemple deux célèbres contestataires : Karl Marx et John Raymond Keynes On a donc eu souvent des ruptures évidentes dans la théorie économique mais cela a permis la progression de la pensée  synthèse entre les différentes époque =

l’école classique. Cependant, deux écoles précédèrent l’école classique, les mercantilistes et les physiocrates. Ces deux écoles se proposent d’analyser l’économie chacune selon ce qu’elle conçoit comme la source de richesse économique. En quoi le mercantilisme et la physiocratie ont-ils joué le rôle de précurseurs de la pensée économique classique malgré leurs différences ? Pour répondre à cette question, nous exposerons dans un premier temps les théories mercantilistes, puis dans un second temps la