Keynes Et La Crise De 1929

macro-économiques : des crises se produisent, le niveau des prix s’envole, le déficit extérieur se creuse, le chômage croit etc… En particulier, la production et l’emploi sont souvent inférieurs à ce qu’ils pourraient être. C’est particulièrement le cas depuis la crise de 2008. Le taux de chômage s’élève ainsi en France à 10% de la population active aujourd’hui. Le Produit Intérieur Brut (qui mesure le volume de la production totale sur le territoire pendant 1 an) a, quant à lui, reculé de 2,7% en 2009 par rapport

EPE – Dissertation Sujet : La configuration des politiques économiques en Europe est-elle propice à la sortie de crise ? Intro : Accroche sur les crises (celle issue des « sub-primes » ou une plus théorique représentée par un effondrement de la production et de l’emploi) et l’impératif de bien user des politiques économiques (introduire la notion de « policy-mix ») afin de stabiliser l’économie. Au gré des traités, l’intégration européenne a abouti à une forme de gouvernance des politiques

Les cycles et crises économiques Les phases d’un cycle Avant la révolution industrielle les crises économiques étaient d’origine agricole. De mauvaises récoltes (sous-production) → augmentations de prix des biens alimentaires. La crise se propageait aux autres secteurs. -Ensuite les crises ont eu des caractéristiques inverses, elles sont devenues des crises de surproduction accompagnées de baisses des prix. Les différents cycles → Les cycles longs ou cycle Kondratiev

L’endettement est d’abord néfaste à une bonne efficacité économique. Les classiques et les néoclassiques considèrent l’endettement comme une source d’appauvrissement. Celui-ci peut néanmoins être favorable au bon développement de l’efficacité. Selon Keynes, l’endettement est source de croissance favorisant ainsi l’épanouissement économique des différents agents. I. L’endettement nuit à l’efficacité économique a. Théorie néoclassique et classique : La Stagflation Pour les néoclassiques

politique pour la France. I. La politique économique A. Définition de la notion de politique économique Depuis la crise de 1929 puis la diffusion des idées de John Maynard Keynes, l’État a été amené à intervenir dans l’économie. D’ailleurs, les différentes théories et mécanismes développés au cours du XXe siècle ont permis d’éviter le retour d’une crise de l’ampleur de celle de 1929. L’État a donc la possibilité d’intervenir dans l’économie grâce à des politiques économiques, c’est-à-dire qu’un gouvernement

rentes et profits, qui servent par la suite à acheter les produits sur le marché. Ainsi, les sommes distribuées lors de la production sont égales aux sommes demandées pour consommer, il y a un équilibrage spontané des flux économiques. L’économiste Keynes définit l’école classique par l’adhésion à la « loi des débouchés ». Cette thèse de Say sera reprise par les néoclassiques qui tentent de montrer qu’il existe un équilibre général sur tous les marchés. On considère que l’économiste John Stuart Mill

et interventions, laisser concurrence créer équilibre  KRASH boursier/La Grande Dépression 1929 Leçon : réglementer marchés financiers Seconde Guerre Mondiale  Tournant gouvernance des États Vision libérale  Vision capitaliste (Keynes – Keynésienne) Cercle vicieux (Diminution de la demande) Économie ↓ donc Consommation ↓ donc Production ↓ donc Salaire/Main d’œuvre ↓ donc Économie ↓ donc … Keynes dit : Intervention de l’État nécessaire Engagement grands projets infrastructures  Équilibre

économiques = Etat circonscrit Crise 1929 = crise majeure du capitalisme avec chômage massif, déflation. Donc pour résorber le chômage, il faut l’intervention de l’Etat 1945/1970 = compromis sociaux avec intervention massive de l’Etat (politique budgétaire et monétaire, planification à titre indicative, développement d’un secteur public productif où l’Etat devient lui-même le patron ) = insertion de l’Etat dans l’économie = Etat inséré 1973/1980 = crise majeure avec la stagflation. Problème

économistes classiques qui on fondé le libéralisme. Si l'apport théorique des mercantilistes ne sont pas décisive, leur politique économique depuis violemment condamner par le courant libérale, à fait recette et on reconnaît certain thème mercantiliste chez KEYNES. 2. Les physiocrates : La richesse vient de la Terre, liberté du commerce. Les 4 physiocrates sont : François Quesnay 1694-1774 Victor Nirabeau 1715-1789 Pierre Dupont de Nenours 1739-1817 Robert Turgot 1727-1781 Les idées des physiocrates

Grande dépression) ; 1896-1929 = A (Belle Epoque + Années Folles même s’il y a eu le coup d’arrêt de 1914-1918) ; 1929-1939 = B (la dépression des années 1930). 3) Le passage d’une phase A à une phase B est marqué par la crise. Mais il s’agit de crises industrielles, très différentes de celles qui existaient avant l’industrialisation (« les économies ont les crises de leurs structures », Ernest Labrousse). La crise industrielle de surproduction industrielle remplace la crise d’ancien régime de sous-production