Kant Introduction Logique

IPO Séquence 1 : INTRODUCTION - L'université sans condition ? - La question de l'homme et des Humanités séquence 2 : I ) Qu'est-ce que la psychologie ? - La psychologie générale ou l'unité de la psychologie : un mythe à déconstruire. séquence 3 : L'arrière-fond philosophique de l'histoire de la psychologie - Héritage de la philosophie antique : les philosophes de la nature et Aristote, premiers grands "rationalistes". - Héritage cartésien : Descartes et le doute méthodique -

l'expérience. C'est une proposition que l'on peut penser les yeux fermés et les oreilles bouchées. Exemple: un cercle carré, c'est absurde: pas besoin de savoir de quel cercle il s'agit. Ces notions définies, on peut formuler la question posée par Kant dans la première page de l'introduction. Il esquisse ce qui est la thèse centrale du kantisme. Il la présente comme une simple hypothèse ("il se pourrait bien que...") parce qu'il ne l'a pas encore démontrée. La démonstration, c'est la Critique de

Le vivant Expérimenter sur la matière, expérimenter sur le vivant, est-ce la même chose? introduction : première possibilité: Kafka, La métamorphose Mary Shelley, Frankenstein deuxième possibilité: Stephen Jay Gould, Darwin et les grandes énigmes de la vie 1977 troisième possibilité: Rousseau, Discours sur l'origine et les fondement de l'inégalité parmi les hommes "la plus utile et la moins avancée de toutes les connaissances humaines me parait être celle de l'homme' de quel

a-t-il une violence juste ? 5ème approche. Thèse : la non-violence radicale (Gandhi). Aucune violence n'est jamais juste (voir Les Justes, de Camus). Antithèse tout aussi radicale : toute violence est juste. Cette dernière idée transparaît dans la Logique de Hegel : la violence passivement subie (celle à propos de laquelle Platon argumente sur un plan moral, qu'il est meilleur de subir l'injustice que de la commettre) est la violence propre d'une « substance » sollicitée par une autre, activité et

de son expression, indépendamment de son contenu, de toute observation du monde. [Chez Kant, selon un critère logique ou formel] 4. Conformité d'un être ou d'un objet avec la pensée, avec son type idéal, avec la pensée divine. [Chez les Grecs et dans la tradition des scolastiques] Distinctions : – Vérité/Réalité La réalité est une catégorie ontologique (qui concerne l’être), la vérité est une catégorie logique et gnoséologique (qui concerne le langage et la connaissance). Les choses sont réelles

Introduction Etymologie : conscience vient du latin cum scientia qui signifie « avec science », « qui est accompagné de connaissance ». Rappel : l’opposition entre le désir et la conscience : désir conscience passions raison affects idées force pensée volonté représentation énergie structure matière forme Il y a deux genres d’êtres : les choses, qui existent en soi ; les êtres conscients, qui existent non seulement en soi, comme choses, mais qui ont en plus conscience de soi et existent

réalité), soit une proposition. -«Nous» renvoie au sujet de la connaissance, à l’individu qui saisit ou énonce une vérité, mais il peut renvoyer aussi à un «nous» collectif et désigner par là l’accord des esprits. -Dépendre établit une relation logique de cause à effet, et renvoie à l’idée que le «nous» serait une condition de possibilité de la vérité. L’idée de dépendance peut également, dans un sens moins immédiat, renvoyer à l’idée d’asservissement, d’as-sujet-issement. Problème : Ou bien

introduction Dans l'ouvrage duquel est extrait notre texte, les Prolégomènes à toute métaphysique future qui pourra se présenter comme science, le but de Kant est de se demander si la métaphysique est possible. La métaphysique est qualifiée de " prétendue science ". Elle ne progresse pas alors que toutes les sciences progressent. Le but de Kant n'est pas de ruiner définitivement la métaphysique mais de définir les conditions qui la rendent possible comme science, car la raison humaine ne peut

Introduction Croire, c'est étymologiquement « faire confiance à », c'est-à-dire « ajouter foi ». Ainsi, croire quelqu'un, c'est penser que ce qu'il dit est vrai, sans pourtant en avoir la preuve ; croire en un Dieu, ce n'est pas savoir que ce Dieu existe (en ce cas il ne s'agirait plus de croyance, précisément), mais être intimement convaincu de son existence, même si cette dernière ne devait être démontrée par rien. Or la raison nous recommande de ne rien tenir pour vrai, dont on ne puisse démontrer

de conditions. Quelles sont ces conditions ? La vérité sera relative au sens où il y a des conditions de la vérité, au sens où tout et n’importe quoi ne peut pas être dit vrai, où elle ne peut pas être absolument relative. Référence utile : Kant, Introduction à la Critique de la raison pure. Peut-on être libre devant la vérité ? Est-ce que Galilée était libre de dire que la terre tourne autour du soleil ? S’il était libre de le dire, était-il libre "en face" de cette vérité ? Est-ce que c’était