Justaucorps

XVIIe siècle. Elle se fait un peu plus discrète au XVIIIe siècle et semble se rééquiloibrer par rapport à la mode féminine pour obtenir des couplesvisuellement plus harmonieuses. "L'habit à la française" se compose d'une veste ou "habit" (appelé "justaucorps" au XVIIe siècle) dont la forme va progressivement évoluer- il se compose aussi d'un gilet qui est la pièce d'apparat la plus importante et d'une culotte. En dessous ils portaient une chemise blanche, une jabot et des bas de soie. Le costume

ceinture doit être nouée par un nœud plat assez serré pour tenir correctement la veste, et assez longue pour faire deux fois le tour du corps et laisser environ 15 cm de chaque côté du nœud. f. Les compétitrices doivent porter un tee-shirt ou un justaucorps totalement blanc sous leur jujitsugi.Les compétiteurs hommes ne doivent rien porter sous la veste de leur jujitsugi. g. Les compétiteurs doivent avoir les ongles des mains et des pieds taillés courts. h. Les compétiteurs ne doivent rien porter

signale et symbolise sa toute-puissance et son ascension. Enfin, sont fournis des détails sur la mise d’un valet – en opposition avec celle d’un grand –, par l’intermédiaire des indications données sur le costume de Ruy Blas – « haut-de-chausse et justaucorps […] surtout galonné ». ©HATIER [1.2. La nécessité et la fonction symbolique du décor et des costumes] La majorité des éléments de mise en scène signalés par les didascalies, mais aussi par les répliques mêmes (v. 1), ont pour fonction de créer

partielle. | Pesanteur : n.f | de ce qui a un poids | Petitesse : n.f | De ce qui est de petite dimension. | Poupin : adj. | Qui a les traits d’une poupée. | Pourpoint : n.m | Partie du vêtement d’homme qui couvre le torse (justaucorps). | Prestissimo : adv. | Très vite. | Régence : n.f | période de l’histoire de France pendant laquelle le pouvoir est assuré par le Régent Philippe d’Orléans. | Suave : adj. | Qui a une douceur délicieuse. | Tison : n.m |

de descriptions de bric-à-brac, — un tas de vieilles choses et de défroques de tout genre : — des armures, des vaisselles, des meubles, des auberges gothiques et des châteaux de mélodrame, où se promènent quelques mannequins à ressort, vêtus de justaucorps et de pourpoints bariolés ; — types connus, dont nul plagiaire de dix-huit ans ne voudra plus dans dix ans ; des châtelaines impossibles et des amoureux parfaitement dénués d’actualité, — nulle vérité de cœur, nulle philosophie de sentiments ! Quelle

être stressantes. Elles doivent être capables d'exécuter des mouvements techniques avec précision et de manières synchronisées avec la musique, si la discipline le nécessite. En compétition, une jeune gymnaste est obligatoirement vêtue d’un justaucorps ajusté pour mettre en valeur sa silhouette et pour que les juges puissent distinguer clairement ses mouvements. L’athlète sera évaluée selon des critères stricts tels que la technique, la précision, la créativité, la fluidité et la présentation

LA FLÈCHE.— Je ne nomme personne. HARPAGON.— Je te rosserai, si tu parles. LA FLÈCHE.— Qui se sent morveux, qu'il se mouche. HARPAGON.— Te tairas-tu? LA FLÈCHE.— Oui, malgré moi. HARPAGON.— Ha, ha. LA FLÈCHE, lui montrant une des poches de son justaucorps. — Tenez, voilà encore une poche. Etes-vous satisfait? HARPAGON.— Allons, rends-le-moi sans te fouiller. LA FLÈCHE.— Quoi? HARPAGON.— Ce que tu m'as pris. LA FLÈCHE.— Je ne vous ai rien pris du tout. HARPAGON.— Assurément. LA FLÈCHE.— Assurément

LA FLÈCHE.— Je ne nomme personne. HARPAGON.— Je te rosserai, si tu parles. LA FLÈCHE.— Qui se sent morveux, qu'il se mouche. HARPAGON.— Te tairas-tu? LA FLÈCHE.— Oui, malgré moi. HARPAGON.— Ha, ha. LA FLÈCHE, lui montrant une des poches de son justaucorps. — Tenez, voilà encore une poche. Etes-vous satisfait? HARPAGON.— Allons, rends-le-moi sans te fouiller. LA FLÈCHE.— Quoi? HARPAGON.— Ce que tu m'as pris. LA FLÈCHE.— Je ne vous ai rien pris du tout. HARPAGON.— Assurément. LA FLÈCHE.— Assurément

au cou. Par-dessus l’habillement noir, un riche manteau de velours vert clair, brodé d’or et doublé de satin noir. Épée à grande coquille. Chapeau à plumes blanches. Gudiel est en noir, épée au côté. Ruy Blas est en livrée. Haut-de-chausses et justaucorps bruns. Surtout galonné, rouge et or. Tête nue. Sans épée. Scène 1 DON SALLUSTE DE BAZAN, GUDIEL, par instants RUY BLAS. DON SALLUSTE 1 Ruy Blas, fermez la porte, — ouvrez cette fenêtre. Ruy Blas obéit, puis, sur un signe de don Salluste

au cou. Par-dessus l'habillement noir, un riche manteau de velours vert clair, brodé d'or et doublé de satin noir. Épée à grande coquille. Chapeau à plumes blanches. Gudiel est en noir, épée au côté. Ruy Blas est en livrée. Haut-de-chausses et justaucorps bruns. Surtout galonné, rouge et or. Tête nue. Sans épée. Acte I, scène 2 : Entre don César De Bazan. Chapeau défoncé. Grande cape déguenillée qui ne laisse voir de sa toilette que des bas mal tirés et des souliers crevés. Épée de spadassin. Acte