Johannes Itten

 six chefs d’œuvres de son répertoire, rassemblés par un des plus grands compositeurs de tous les temps pour le marquis de Brandebourg, devenus les concertos les plus acclamés et les plus joués du monde. Ces concertos ont établis la popularité de Johann Sebastian Bach à travers le monde. Évidemment, de si grands classiques comportent une multitude d’éléments qui les ont amenés au sommet.  Entres autres, deux aspects sont particulièrement innovateurs et originaux. L’instrumentation originale unique

1 En Littérature Le Classicisme est un Courant littéraire qui ce développe dans le deuxième moitié du XVII siècle (17ieme). Il se définit par des valeurs et de critères qui désigne un idéal s'incarnant dans l'honnête homme et désigne une esthétique fondée sur une recherche de perfection d'ordre et de raison. Le terme Classicisme appelé notamment Néo-classicisme et en latin sous le sens de « classicus » . Ce genre littéraire a été utilisé pour la première fois par Corneille Racine et Molière (montrer

Genève, et Lausanne. Les exhibitions du jeune musicien impressionnaient les auditeurs et lui permettaient de capter de nouvelles influences musicales. Il fait ainsi la rencontre de deux musiciens qui vont le marquer définitivement : Johann Schobert à Paris, et Johann Christian Bach, fils cadet de Jean-Sébastien Bach, à Londres. Ce dernier lui fait découvrir le pianoforte, inventé au début du siècle, et l'opéra italien, il lui apprend également à construire une symphonie. En 1767, à l'âge de onze

basse continue » très stable. ● Beaucoup de contrastes : les oppositions notes tenues/notes courtes, graves/aiguës, sombres/claires ●Jean-Baptiste Lully (Te Deum)  ; Marc-Antoine Charpentier (Médée)  ; Jean-Sébastien Bach (L’Art de la fugue) ; Johann Pachelbel (Canon) ; Antonio Vivaldi (Les Quatre Saisons).

voient des signes avant-coureurs de l'impressionnisme. Même si le début du xixe siècle vit le retour du néo-classicisme, un vent de liberté avait soufflé sur la peinture dans le choix de thèmes ou dans la manière de traiter le dessin avec par exemple Johann Heinrich Füssli ouGeorge Romney. Au début du xixe siècle, William Blake ou Francisco de Goya et même Eugène Delacroixavaient déjà posé les bases d'une nouvelle façon de peindre.

liens invisibles. » Johann Gottlieb Fichte Les documents que nous avons à présentés traite tous trois de la vision allemande de la nationalité. Le premier est un extrait de le Rhin, fleuve allemand et non frontière allemande d’Ernst Moritz Arndt datant de 1813. Le deuxième document que nous avons à traiter est tiré de lettres sur le progrès de l'humanité de Johann Gottfried von Herder. Enfin nous étudierons un extrait des discours à la nation allemande de Johann Gottlieb Fichte se basant

traduire dans ce cycle, écrit pour diverses formations (duo de bois, grand orchestre, soliste et ensemble de violoncelles…), la communion qui existe entre la musique traditionnelle du Brésil et l’art musical de Bach. A la source de l’inspiration… Johann Sebastian Bach Le titre même de ce cycle Villa Lobos reprend le nom du maître allemand et lui rend ainsi directement hommage. La traduction littérale n’est pas très satisfaisante mais elle se rapprocherait néanmoins de « bachantes brésiliennes »

Histoire des arts Johann Heinrich Füssli Sommmaire 1)Son époque 2)Ses œuvres 3)Mouvement pictural 4)Analyse 5)Conclusion Son époque ( Biographie) Johann Heinrich Füssli, né dans une famille zurichoise (Suisse) en 1741, est le deuxième des dix-huit enfants que ses parents ont eus. Son père, Johann Caspar Füssli, peintre de portraits et de paysages destinait Füssli à la prêtrise, et il l'envoie donc à l'université Caroline de Zurich, où il reçoit une excellente éducation

1859, le peintre expose sa première toile au Salon à Paris. Ses atmosphères et ses pastels originaux sont remarqués, il reçoit conseils et hommages du poète Charles Baudelaire. Il se lie également d'amitié avec Gustave Courbet, le peintre hollandais Johan Barthold Jongkind et Claude Monet, qu'il initiera à la peinture en plein-air. En 1863, Eugène Boudin épouse Marie-Anne Guedes. En 1874, il participe à la première exposition « impressionniste », qui se tient à Paris dans les studios du photographe

Algérie. Sa tante havraise, Mme Lecadre, accepte de l'en faire sortir s'il prend des cours d'art à l'université. Il quitte donc l'armée, mais n'aime pas les styles traditionnels de peinture enseignés à l'académie. En 1862, il se lie d'amitié avec Johan Barthold Jongkind, lors de son séjour à Sainte-Adresse et à Honfleur. De sa période honfleuraise en compagnie de ces deux peintres, Monet conservera un attachement et ils auront une influence essentielle dans la genèse de son art.