Jeu du loup

il arrive qu’on soit débordé par la peur et qu’on perde ses capacités. La peur fait partie intégrante du développement de l’enfant, elle est donc un passage obligatoire. Il existe des peurs innées (peur de l’obscurité, peur des monstres, peur du loup), et des peurs acquises qui font suite à une expérience désagréable (peur du chien par exemple). La peur est animiste chez l’enfant, elle peuple et transforme le monde. Des besoins non-satisfaits, une séparation trop brutale ou trop longue peuvent

Monsieur de la Fontaine n’est pas d’accord Avec Monsieur Descartes........................................................................... p. 6 Quelques bruits d’animaux........................................................................ p. 7 Le loup......................................................................................................... p. 8 Le renard...................................................................................................... p. 12 Le chien...........

représenté mi-homme, mi-bête « loup-garou » ► a un caractère monstrueux « scélérat », du latin scelus (=crime) ► a aucune morale et suit ses instincts Il ne respect pas la religion commune : → « hérétique qui ne croit ni ciel ni enfer » → « Pourceau d’épicure » ► celui qui crée libertinage au sens morale (= monde pas par religion mais par matière) → »Sardanapale » ►roi légendaire qui mène vie luxueuse (=libertinage d’idée) Comportement ≠ à « tout ce que nous croyons » ► jeu de DJ s’oppose aux autres

une unité de distance de l'Ancien Régime, d'environ 4 km. À la louche Approximativement, exagérément ou en grande quantité À la queue leu-leu En file indienne, l'un derrière l'autre, comme des loups en marche (leu, en ancien français, signifie loup). À la Saint Glin-Glin Dans un avenir si lointain qu'il faut comprendre jamais. L'expression viendrait de l'ancien français seing glin-glin, c'est-à-dire le signal qui glinge (sonne), désignant les trompettes du jugement dernier. À la six-quatre-deux

animaux est efficace car les animaux s’inscrivent bien dans la mémoire et sont des personnages familiers et facilement identifiables par le lecteur. Le pouvoir de la fable repose encore sur une situation d’énonciation simple et attrayante qui met en jeu quelques personnages. Souvent La Fontaine donne la situation initiale et le problème en une seule phrase « Dans Athènes autrefois peuple vain et léger, un Orateur voyant sa patrie en danger ». Dès le début du récit, La Fontaine déclenche la curiosité

Fontaine, ou implicite. L’apologue doit instruire, faire réfléchir le lecteur et modifier ses comportements ou ses opinions sur le monde dans lequel il vit. - Cependant cette morale est parfois « fragile » car le plaisir d’un récit divertissant, le jeu intellectuel du décodage des allégories, la distanciation imposée au lecteur, rendent parfois moins « lisible » le message transmis par l’apologue, rendant la morale secondaire. De plus, l’évolution des mœurs et des mentalités rendent certaines morales

« La guerre au Luxembourg », où le narrateur voit des enfants « jouer à la guerre », ce qui est une scène commune, à laquelle le lecteur pourrait assister, mais le jeu des enfants rappelle au narrateur l'époque où lui-même était à la guerre : des souvenirs se glissent dans son poème et rendent plus grave sa vision du jeu. Mais ce style de poésie n'est pas uniquement pour décrire la guerre, il permet

qui n’a rien de merveilleux contrairement à la vision de la fable chez l’enfant : Dans ce monde, les Animaux contractent la peste qui les décime, le Cerf tombe malade dans Le cerf malade, le Loup a faim dans Le loup et l’agneau, le Chien est privé de sa liberté et porte les marques du collier dans Le loup et le chien toutes ces fables sont de Jean de la Fontaine… Jean Anouilh, qui écrivit aussi des fables au XXe siècle, constate lui-même que l’image du monde qu’offrent ses propres fables est marquée

écrites dans les 3 graphies). Elle écrit ensuite quelques mots au tableau, dans différentes graphies et les élèves doivent épeler ces mots. Phase 2 : L’enseignante commence par faire réciter aux élèves l’alphabet en entier par l’intermédiaire du jeu du furet. Puis dans un second temps, elle interroge les élèves à partir d’une lettre autre que « A ». Phase 3 : A l’oral, l’enseignante dit une lettre, les élèves doivent proposer des lettres qui viennent après (ou avant) dans l'alphabet; Puis

comme exemple, "Le Loup et l'Agneau". Ici, les protagonistes sont la Génisse, la Chèvre, le Brebis et le Lion. Les trois premiers ne sont pas très différents les un des autres, tous trois sont herbivores et caractèrisent l'innocence, la fragilité. A contrario, le Lion est un animal carnivore, puissant et dominateur."en qualité de Sire". Nous remarquons donc la superiorité entre les différents "groupes" de protagonistes. La particularité de La Fontaine c'est aussi qu'il utilise le jeu de la personnification