Jeu de levées

l’aumônier, jusqu'à ce que celui-ci décide de venir le voir en temps qu’ami. Arrivé au jour fatidique, leur relation n’a toujours pas changé. Étrangement, les deux hommes se ressemblent par quelques points dont un. « Il s’est levé à ce mot et m’a regardé droit dans les yeux. C’est un jeu que je connaissais bien. » (L’étranger p.178) On peut aussi remarquer que les deux sont entêtés et que leur conviction se rejoignent d’un certain sens, comme l’extrait ou l’aumônier dit à Meursault que les hommes sont tous

notamment, à l’exagération du jargon employé par les paysans « queuque »,  « stapandant »,  « morquenne »,  « jergniguenne » augmentant le ressort comique. Lors de la scène 4, lorsque Don Juan s’amuse des sentiments de Mathurine et Charlotte, le jeu d’acteur permet une meilleure compréhension et amuse le spectateur. De plus au-delà de l’ouïe, la représentation fait appel à un autre sens : la vue. En effet le ravissement des yeux est une partie non négligeable de la magie du spectacle. La description

Route à la campagne, avec arbre. Soir. Estragon, assis sur une pierre, essaie d'enlever sa chaussure. Il s'y acharne des deux mains, en ahanant. Il s'arrête, à bout de forces, se repose en haletant, recommence. Même jeu. Entre Vladimir. ESTRAGON (renonçant à nouveau) : Rien à faire. VLADIMIR (s'approchant à petits pas raides, les jambes écartées) : Je commence à le croire. (Il s'immobilise.) J'ai longtemps résisté à cette pensée, en me disant, Vladimir, sois raisonnable. Tu n'aspas encore

Route à la campagne, avec arbre. Soir. Estragon, assis sur une pierre, essaie d'enlever sa chaussure. Il s'y acharne des deux mains, en ahanant. Il s'arrête, à bout de forces, se repose en haletant, recommence. Même jeu. Entre Vladimir. ESTRAGON (renonçant à nouveau) : Rien à faire. VLADIMIR (s'approchant à petits pas raides, les jambes écartées) : Je commence à le croire. (Il s'immobilise.) J'ai longtemps résisté à cette pensée, en me disant, Vladimir, sois raisonnable. Tu n'as pas encore

un coup de théâtre qui provoque une chute dès l’incipit. I. Un incipit in medias res a. Un personnage symbolique : Katabolonga La marche habituelle, fréquente : un pers. ayant une honorable tâche La journée qui commence (l.1,5,25) : le premier levé du palais Répétition d’ « aujourd’hui est le jour » (dernier paragraphe) Récit au passé : imparfait duratif et descriptif b. Indice de réalité Nom propre : ambiance étrangère => Afrique imaginaire Répétition => « massaba » x6

Microsoft Word - Eugene IONESCO - Les Chaises _1952_.docEugène IONESCO (1912-1994) Eugène Ionesco, Les Chaises, Paris, Gallimard, 1952. 1 Les Chaises Le rideau se lève. Demi-obscurité. Le Vieux est penché à la fenêtre de gauche, monté sur l'escabeau. La Vieille allume la lampe à gaz. Lumière verte. Elle va tirer le Vieux par la manche. LA VIEILLE : Allons, mon chou, ferme la fenêtre, ça sent mauvais l'eau qui croupit et puis il entre des moustiques. LE VIEUX : Laisse-moi tranquille ! LA

le narrateur dessine le portrait de Vénus, tandis que M. de Peyrehorade offre des roses à la statue. Il les dispose aux pieds de la déesse et lui demande de protéger le nouveau couple. Arrive Alphonse, déjà habillé pour la noce. Il assiste à une partie de jeu de paume opposant l'équipe locale à une équipe d'espagnols. Les espagnols prennent rapidement l'avantage. Voulant venir au secours des siens, Alphonse se jette dans la partie. Mais sa bague de diamants le gêne dans ses mouvements. Il la retire, et pour

personnages sont dépeints physiquement et moralement. Le comédien n'a plus qu'à endosser le rôle ainsi défini. Les didascalies externes sont aussi plus précises: on sait que le décor est "neutre", on visualise sans mal la scène lorsque le rideau se lève jusqu'au moment où le plateau se vide. Il semble plus facile de monter un spectacle où l'auteur a envisagé les gestes, les déplacements, les costumes et le décor. Pourtant, si les metteurs en scène se bornaient à appliquer ces directives, les reprises

sentent pas bien dans leur peau, se trouvent trop grosses ou trop minces. D’autres pensent qu’elles sont moins capables que les autres et qu’elles ne peuvent rien accomplir, par exemple lors des travaux ou une activité en classe. Si elles perdent dans un jeu, elles abandonnent et s'acharnent sur elles-même. Elles vont ensuite fuir ou éviter certains travaux par peur d’échouer ou de se ridiculiser. Si d’autres élèves émettent des commentaires désagréables ou inconfortables à leur sujet, cela vient chambouler

adieux du vieillard, et le long Entretien de l'aumônier et d'Orou. Chapitre 1 : Jugement du voyage de BougainvilleAu moment où il commence, le dialogue a l'air d'être la suite d'une conversation. Les deux personnages attendent que le brouillard se lève pour continuer leur périple. B est en train de lire le Voyage autour du monde de Bougainville. A, qui n'a pas lu cet ouvrage interroge B sur la personnalité de Bougainville (« un homme curieux qui passe d'une vie sédentaire et de plaisirs au métier