Jeu de levées

peux pas, ce n'est pas moi ça. J'ai mal, je souffre. Je suis morte de peur, chaque fois que je me lève, j'ai peur d'être blesser, que quelqu'un me blesse. Pourquoi moi je devrais subir tout ça pendant que d'autres sont heureux? Pourquoi tout ce malheur se retourne vers moi? Pourquoi c'est toujours à moi de souffrir? Tant de questions que jamais je ne trouverais les réponses. Je ne peux plus jouer à ce jeu, je n'ai plus la force. En parler? Ça fait longtemps que j'ai oublié ça, je ne veux pas que le

nager,lesmanèges,les mangas,les jeux vidéo,les voitures. Mais je n'aimes pas les courses de chevaux,le rose, le patinage,les gros livres, les noix, les œufs, la danse,la nuit, les araignées, les jeux de société. et pour me qualifier, je connais le jeu du portrait chinois , donc je vais vous présenter le mien : .si j'étais un animal, je serai un chien .si j'étais un personnage historique, je serai Charle de gaule .si j'étais un artiste, je serai Picasso .si j'étais une couleur, je serai Bleu

MARCEL PAGNOL TOPAZE SCÈNE I Quand le rideau se lève, M. Topaze fait faire une dictée à un élève. M. Topaze a trente ans environ. Longue barbe noire qui se termine en pointe sur le premier bouton du gilet. Col droit, très haut, en celluloïd, cravate misérable, redingote usée, souliers à boutons. L'Élève est un petit garçon de douze ans. Il tourne le dos au public. On voit ses oreilles décollées, son cou d'oiseau mal nourri. Topaze dicte et, de temps à autre, il se penche sur l'épaule

se lève (...) l'orage gronde. » (v.16). – Dans les deux cas, les auteurs se soucient de ne laisser aucun temps mort dans l'action et font intervenir le vent juste après les dernières paroles échangées : « Comme il disait ces mots... » LF v.24 et « Le vent se lève sur ses mots... » A v.16. – Cette dramatisation du dénouement est en outre rendue sensible par l'accumulation des verbes d'action : « accourt », « tient bon », « plie », « redouble », « déracine » (LF v.25-30), « se lève », «

d'exposition, indispensable à la compréhension de la pièce. Le choix de cette scénographie permet aussi de renforcer le réalisme de la pièce, et de nous figurer son cadre spatial, la ville mais aussi temporel, une société contemporaine. Puis le mur se lève et laisse place à une scène spacieuse, sur laquelle des musiciens jouent, en interaction avec les personnages de la pièce, qui eux même s'emparent du micro pour chanter leur monologue au rythme de la guitare. Ce choix permet d'intensifier les ambiances

surtout l’affrontement futur. Plusieurs, dont notamment Joanny, ancien soldat aux ordres du général Hugo, et qui désirait ainsi rendre hommage au fils en interprétant Don Ruy Gomez, étaient cependant enthousiastes de briser les carcans ampoulés du jeu classique. Les censeurs épluchèrent le manuscrit jusqu’en janvier, la pièce étant retardée par le succès de l’Othello de Shakespeare mis en scène par Vigny, coupant certains passages (mais pour des raisons politiques ou religieuses, les censeurs se

connu sous le titre de Les montres molles. C’est une oeuvre surréaliste, représentant la plage de Portlligat accompagné de montre à gousset qui fondent. Cette oeuvre met en avant les avancés du temps et de la mort. Le haut, du tableau représente le levé du soleil, l’horizon marin est utilisé ici en tant que point de fuite et c’est aussi le seul élément lumineux de la toile. La partie inférieur de la toile quand à elle représente une plage, où se trouvent les trois montres molles et dures. Chacune

"Le masque des uns et des autres, dans la pièce, est le seul moyen de parvenir à ses fins et se mettre à l’abri de la vérité de soi-même" Dans la pièce de théâtre, « Lorenzaccio » écrite en 1830 par Alfred de Musset, le jeu du masque, au sens propre comme au sens figuré, est utilisé d’une façon ou d’une autre, par de nombreux personnages qui cherchent à parvenir à leurs fins. L'action se déroule à Florence en janvier 1537. Le Duc Alexandre de Médicis mène une vie débauche et règne sur la ville

« pousse avec les jambes » Finition (déclenchement du tir) « fouetter du poignet » (relâchement du poignet) Index et majeur sont les derniers à toucher le ballon Epaules relâchés et face à la cible Chercher à aller vers le haut, expression « lève ton shoot » Remarque Parler du regard important sur la cible partie  comment organiser tous ces éléments techniques quand on est entraîneur ? Il faut faire des choix Toutes les situations d’adresse et d’apprentissage de tir doivent

tiers central. Les instruments des musiciens sont pour la plupart des cuivres hormis le pianiste à lunettes de l’angle supérieur gauche et le percussionniste noir. Le piètement tubulaire d’un portique placé dans l’angle inférieur gauche accentue ce jeu des obliques du parquet et est repris par l’angle de la trompette bouchée. L’angle ainsi formé ouvre sur la droite de la composition. Le couple central danse apparemment le charleston. Lui porte un costume noir un nœud papillon noir et une chemise