Jean Moulin

l’assassinat du général Ritter (qui était le chef du Service de Travail Obligatoire en France) par le réseau Manouchian. Contexte : En 1944, la résistance est organisée et active, elle est structurée par le Conseil National de la Résistance fondé par Jean Moulin et dirigé par le général de Gaulle. A Paris, des résistants communistes d’origine étrangère sont réunis dans la Main d’Œuvre Immigré dont la section appartient aux Francs-Tireurs Partisans. Bien qu’ils soient d’origine étrangère, ils souhaitent

du Veld’Hiv). Par opposition à cette collaboration des Français entrent en résistance. Jusqu’en 1943 elle sera l’œuvre de groupuscules autonomes. A partir de 1943 elle va se structurer et prendre de l’ampleur grâce à l’action entre autres de Jean Moulin et la création des FFI (Forces françaises de l’intérieur) en février 1944. La mélodie du « chant des partisans », hymne de la Résistance française, a été composée en 1943 par Anna Marly de son vrai nom Betoulinsky, et les paroles françaises sont

tentaculaire et le vide des relations humaines dont souffre son personnage. Comme son propriétaire, le python Gros-Câlin est marginalisé et tombe dans la catégorie des mal-aimés. Cet anti-héros voudrait s'identifier à des héros de la Résistance, Jean Moulin et Pierre Brossolette, et lutter contre le racisme, dont l'absurdité est soulignée lorsqu'il parle de Mlle Dreyfus: « je suis sûr et certain que Mlle Dreyfus est capable de franchir la distance d'une personne à une autre avec python, et qu'elle

venaient d’horizons politiques divers : les communistes et les socialistes étaient majoritaires mais il y avait également des hommes de droite. C’est par l’intermédiaire de Jean Moulin, préfet révoqué par Vichy qui rejoint Londres en 1941, que De Gaulle parvient à unir peu à peu les différents mouvements. En 1943, Jean Moulin réunit clandestinement leurs délégués en un Conseil National de la Résistance (CNR) qui adopte un programme commun. Cette coordination rend plus efficaces les actions entreprises

résistante dans son ensemble. Pour confirmer l’ancrage de cette mémoire, on peut voir que pendant près de 30 ans après la seconde guerre mondiale, c’est la mémoire Gaulliste qui domine. En effet ce récit est prolongé lors de la panthéonisation de Jean Moulin, qui glorifie sa mémoire, celle de qui a unifié la résistance intérieure et la France Libre, développe cette idée d’unité au sein de la résistance. Cependant, dès les années 70, on peut voir que certains mythes disparaissent que de nouvelles mémoires

Résistance durant la guerre, et l’affiche montre qu’il a été mis sur disque à la Libération, et qu’on le considérait comme la « nouvelle Marseillaise ». Enfin, vingt ans après la Libération, ce chant a été interprété lors du transfert des cendres de Jean Moulin au Panthéon. 

multiplie les actions et cachent des opposants dans les maquis. Charles de Gaulle est rapidement convaincu de la nécessité d'unifier ces différents mouvements, qui appartiennent à des camps politiques distincts. Dans cet objectif, en 1942, il envoie Jean Moulin en France. Ce dernier réussit à unifier la Résistance en 1943 en créant le Conseil national de la Résistance (CNR), qui inspirera les réformes de la France d'après-guerre. Les formations militaires des différents mouvements de résistance sont regroupées

hommes et des femmes, de tous horizons politiques et religieux, qui n’ont pas hésité à sacrifier leur vie pour lutter contre l’occupant nazi, exemples : Danièle Casanova, Marie-Claude Vaillant-Couturier, Raymond et Lucie Aubrac, le groupe Manoukian, Jean Moulin De la même façon Rouget de Lisle dans la nuit du 25 au 26 Avril 1792 avait crée le «  Chant de guerre pour l'armée du Rhin » qui est à l'origine un chant de guerre révolutionnaire et un hymne à la liberté. Il deviendra hymne national en 1795

des 75 000 fussillés chiffre grossi slmt 30 000 civils on été fusillé par les Allemands, C Le concensus résistencialisme -Degaulle → Homme du 18 juin, →incarner la mémoire de la résisstance avec la figure d'1 martyr. Transfert des cendre Jean moulin au Panthénon : 19 décembre 1964 → Héros par éxellence, homme q a rallié le général degaulle aprés avoir été revoqué par le gvnmt de vichy →unifié mvmt de Résistence mort ss la torture Partie communiste → récupére son image en insistants sur son

mémoire collective et déstabiliser l’opinion publique. Pour la première fois la réalité était montrée et la réalité était bien différente de celle enseignée jusque-là. En 1987, le procès de Klaus Barbie, chef de la gestapo à Lyon et tortionnaire de Jean Moulin (héros de la résistance et inhumé au Panthéon en 1964 avec le célèbre discours de Malraux) est pour la 1ère fois accessible au public et surtout dans le cadre scolaire pour que l’image d’une France résistante soit remplacée par celle d’un tortionnaire