Jean-Jacques Schuhl

siècle, avec la philosophie des lumières. L'idée phare et la remise en cause de la monarchie. Deux courants se divisent dans les philosophies : la monarchie constitutionnelle où la mise en place d'une démocratie. Ce dernier courant est soutenu par Jean-Jacques Rousseau et l’Abbé Sieyès. Les auteurs comme Chateaubriand considère que l'idée de démocratique s'impose dans le temps, c'est quelque chose d'inéluctable. C) Les remises en cause, les autres formes de démocratie. -- La démocratie organique : régime

hommes et qui se traduit par les images de l’asile et la nécessité de protéger la nature [4]. De même, Nima, dans L’histoire pâle [5], fuit la corruption des villes (la religion, la politique…) pour se réfugier dans la nature et, à l’instar de Jean-Jacques Rousseau, admirer les vertus d’un homme primitif non corrompu par la "civilisation" [6]. En outre la nature est, pour plusieurs poètes du début de XIXe siècle, l’incarnation la plus tangible de Dieu. C’est par elle que le divin manifeste le mieux

Jean-Jacques Rousseau (1712 - 1778) Ecrivain et philosophe français, né à Genève dans une famille calviniste. Jean-Jacques Rousseau, qui est orphelin de mère, est abandonné par son père à l'âge de 10 ans et élevé par son oncle. Sa maîtresse et bienfaitrice qui influencera son œuvre s'attache à parfaire son éducation et le contraint à se convertir au catholicisme. Après un séjour à Venise, il retourne à Paris et se lie d'amitié avec Diderot qui lui demande d'écrire des articles sur la musique

considérable dans des opérations spéculatives ce qui lui permettra de s’installer en 1759 au château de Ferney entouré d’une cour de beaux esprits. Il est néanmoins chicanier et parfois féroce avec ses adversaires comme Jean-Jacques Rousseau. Considéré par la Révolution française - avec Jean-Jacques Rousseau, son adversaire - comme un précurseur (il entre au Panthéon en 1791, le deuxième, après Mirabeau), célébré par la IIIe République (dès 1870 à Paris un boulevard et une place portent son nom, puis un quai

philosophes anglais – où la liberté d’expression était plus grande qu’en France – il plonge au cœur d’une philosophie réformatrice de la société et, en particulier, de la justice.  En polémiste féroce, il s’opposera à plusieurs adversaires, dont Jean-Jacques Rousseau .  Toute sa vie Voltaire s’entoure de luxe, de bonne chère. Il aime aussi les plaisirs de la conversation. Il ne fréquente que les Grands et les monarques, les beaux esprits puisqu’il dédaigne le peuple. Soucieux de son aisance matérielle

un être bienfaisant celui qui le premier suggéra à l'habitant des rives de l'Orénoque l'usage de ces ais qu'il applique sur les tempes de ses enfants, et qui leur assurent du moins une partie de leur imbécillité, et de leur bonheur originel. Jean-Jacques Rousseau, Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, Première partie (1754).

1 La religion civile de Jean-Jacques Rousseau Conférence de Ghislain Waterlot (Université de Genève) donnée aux Charmettes, le 20 juin 2009. [Introduction] Je suis heureux de me trouver aux Charmettes ce soir pour réfléchir avec vous sur le concept de religion civile, dont Rousseau est le créateur. Je suis convaincu que ce moment théorique du Contrat social est capital1 si nous voulons comprendre, par exemple, ce qui est en jeu aux Etats-Unis d’Amérique, quand on parle de « religion civile

ean jacques RousseauJean-Jacques Rousseau Biographie: Jean-Jacques Rousseau est né à Genève le 28 juin 1712 et est mort à Ermenonville le 2 juillet 1778. 1728 mars Rousseau fuit Genève 1743 Rousseau se rend à Paris 1745 il épouse Thérèse Levasseur 1752 juillet Rousseau remporte le concours de l'Académie de Dijon 1752 18 octobre le Devin de Village est joué devant le roi 1765 victime

La démocratie est le régime politique ou, plus largement, un corpus de principes philosophiques et politiques dans lequel le peuple est souverain et détient le pouvoir collectivement. L’ORIGINE Cette idée est reprise par le contrat social de Jean-Jacques Rousseau (1712-1778, philosophe français) où il soulève une question importante : « Je veux chercher si, dans l’ordre civil, il peut y avoir quelque règle d’administration légitime et sûre (...) » Tout le long de son ouvrage, il propose différents

l’Homme est affublé de contraintes, il ne se connaîtra qu’à travers ces dernières, dans une certaine limite existentielle et non dans l’immensité des possibilités que la vie a à lui offrir. En effet, selon l’existentialisme athée incarné par Jean Paul SARTRE, l’essence de l’Homme, loin de déterminer l’existence, n’est fondée sur aucunes idées de Dieu. D’où cette liberté est nécessaire pour l’Homme afin de parvenir aisément à cette réalisation. Les hommes ne seraient donc pas tous forgés dans