Je t'aime… moi non plus

voix lorsqu'elle crie mon nom dans un gémissement purement orgasmique. Par ton nom. Lavi. Mon doux Lavi. Mon amour, mon amant. Ou devrais-je plutôt dire ex-amant ? Non. Tu m'appartiens et tu m'appartiendras toujours. Et non à ce type. Une rose bleue pour un amour à sens unique. Pour la tristesse, et pour la jalousie. Je t'aime. Ça, j'aurai pu te le dire bien avant. Mais disons que Lord Tyki était toujours dans tes pattes, à se pavaner auprès de toi. Et le pire, c'est que tu l'admirais, ce

appris à se taire ? Que vois-je ? Vous craignez de rencontrer mes yeux ! Néron vous plairait-il ? Vous serais-je odieux ? Ah ! si je le croyais !... Au nom des dieux, madame, Eclaircissez le trouble où vous jetez mon âme. Parlez. Ne suis-je plus dans votre souvenir ? JUNIE Retirez-vous, Seigneur ; l'empereur va venir. BRITANNICUS Après ce coup, Narcisse, à qui dois-je m'attendre ? 2ème texte : Molière, Les Fourberies de Scapin, acte II scène 6 SILVESTRE, déguisé en spadassin:

d’école corrigeant son élève Christian. C’est elle qui mène le dialogue par les interrogations « Qui donc m’appelle ? »(v1), « qui, moi ? » (v3), « C’est vous ? » (v5). C’est également Roxane qui se permet de juger la façon de parler de Christian « Non ! Vous parlez trop mal » (v10), « Tiens ! Mais c’est mieux ! » (v13)…La déclaration d’amour de Christian semble voué à l’échec. Nous assistons cependant à un renversement dès que Cyrano prend la parole à la place de Christian. En effet, nous noterons

L'homme estSalut à tous, J'ai un gros problème, l'histoire est très compliqué, je vais essayer de vous raconter ça, Attention c'est très long... Il y a un peu plus d'un mois, j'ai rencontré une fille qui prend le même bus que moi, qui habite dans la même ville que moi, et qui est également dans le même lycée. Au début elle me plaisait simplement, et puis j'en suis tombé amoureux... Un jour je me suis lancé pour aller lui parler, je suis extrêmement timide, j'ai tremblé comme jamais et j'ai

reconnaît, j’arrive même plus à savoir ce que tu veux, ce dont t’as envie. J’veux pas vivre tout ça pour rien. Alors je prends mon courage à deux mains. Mais dis moi quelque chose, une réponse, claire, s’il te plaît, que je sache à quoi m’attendre et pas perdre mon temps. Je te demande juste ça, c’est trop demandé? Je t’aime à un tel point que ça me dévore ! Je t’aime tellement. Je donnerais tout pour toi, toutes mes fringues, mes bijoux, mon argent, mes peluches, mes plus beaux draps, et même mon

Dulong, jolie jeune femme de vingt et un ans. Elle et ses parents avaient emménager à Verdun, un été de mille neuf cent cinq, alors qu'elle n'était qu'une enfant. Son village, non loin de l'Allemagne, obligé son père à faire ses livraisons de papeterie dans ce pays, qui la fascinait tant... D'ailleurs, son rêve le plus cher était d'aller faire ses étude là-bas. Elle avait beaucoup d'amis. Elle connaisait tout le monde dans son village, et tout le monde la connaissait. Madame Labris, petite grand-mère

J'avais beau lui faire valoir les mérites des pauvres délaissées, la grâce de celle-ci, le charme de celle-là; il haussait les épaules, blasé. Autant il était cavalier avec ses maîtresses, autant il était dévoué envers ses amis. J'étais d'autant plus heureux d'être son meilleur ami ; je dois avouer qu'il m'ar-rivait d'être fier de sa muflerie envers la gent féminine : cela exaltait en moi un sentiment de fraternité, de solidarité virile entre mauvais garçons. Moi qui n'avais pas tant de succès

Danvilliers, puis le ministre des Finances. Flavie est une jeune bourgeoise issu d'une famille réputé, elle deviendra par la suite la femme de Nantas. Quant à son père, il est encore dans le monde des affaires quand Nantas épouse sa fille, quelques années plus tard, il se retire du monde du « business » et jouit d'une retraite paisible dans son hôtel particulier. La narrateur est externe à l'histoire car le récit est raconté à la 3ème personne du singulier. Le type de point de vue adopté dans ce récit

TRADUCTION ; [El Chojin] Je sais que je ne plais pas à tes parents, mais qu'est-ce qu'ils en savent eux ? Tu n'es pas si petite et je ne suis pas si grand, Je t'ai démontré que je t'aime pendant tout ce temps, Accepte mon alliance, épouse-moi. [Lydia] C'est mignon, bien sûr que j'accepte mon amour. [El Chojin] Oh tu me rends si heureux, je sais que tu es à moi, Tu étais destinée à moi je l'ai su dès le premier jour, Prends-moi dans tes bras, partage mon bonheur. C'est ainsi que commença

elle décida de lui écrire une dernière lettre afin qu’il sache ce qu’elle a enduré pendant tout ce temps. Dans l’éventail des amours possibles, il y en est un de la pire espèce. Sa cruauté est telle qu’il tue ses victimes. On l’appelle l’amour non partagé. Celui là je le connais, je suis experte en la matière. Dans la plupart des histoires d’amour, les sentiments sont réciproques, et dans les autres ? Et nous alors ? Les laissées pour compte ? Nous qui aimons sans retour, tout seul, dans notre