Je ne suis pas coupable

mari sont presque des viols ?5) En quoi voit-on que cette société est principalement régie par des hommes ? A votre avis, était-ce facile de s’épanouir en tant que femme à cette époque ?6) Pourquoi peut-on dire que Thérèse est à la fois victime et coupable ?7) Pourquoi les sentiments que Thérèse éprouve envers Anne sont-ils ambivalents ? Lorsqu’elle apprend que son amie a une liaison, quels sentiments éprouve-t-elle ? De l’envie ? De la colère ? Du mépris ? De la curiosité ?8) Quels sentiments Thérèse

animalière qui met en scène la Cour et qui dénonce indirectement le pouvoir absolu du roi. Dans un procès expéditif, un pauvre âne est désigné comme responsable de ‘épidémie de la peste en lieu et place des puissants de la Cour qui sont les vrais coupables. Comment La Fontaine utilise-t-il des ressources du tragique pour faire une satire de la Cour ? Dans un premier temps nous aborderons le sujet du récit tragique, puis celui d’un procès injuste qui relève d’une parodie du procès et enfin quelle est

s’agit d’obliger l’épouse à ne pas demander le divorce à un mari coupable d’adultère. C’est le Cadi qui va heureusement tempérer les menaces de Helem et le ramener à la raison. Ainsi tout au long de cette partie nous avons démontre que la première image de la femme qui se dégage est celle d’une femme victime. Mais il apparait, d’une manière plus subtile, que la femme soit responsable voire coupable. II) L’image de la femme coupable D’une manière beaucoup plus subtile, il apparait que la femme a

Cruche Cassée, voire celle d'Oedipe Roi? La Cruche Cassée est la seule comédie de Kleist et il s’agit du juge Adam qui vive dans un petit village de la province d’Utrecht. Il se charge de trouver le coupable quand une cruche est cassée mais au bout de la pièce, il est en fait révélé d’être le coupable. Il y a certainement les ressemblances entre les personnages d’Adam et d’Œdipe (Œdipe Roi) mais il est utile de remarquer que La Cruche Cassée n’est pas vraiment une parodie d’Œdipe Roi. Une différence

juges, vous comprendrez très rapidement, aux vues des arguments que je vais) présent énumérer et défendre, que nous ne pouvons considéré mon client, Monsieur Jacque Randel, comme coupable de vol à effraction et viol !Nous plaiderons donc coupable pour le vol à effraction avec circonstance atténuantes : la survie, et non coupable pour le viol.La défense :Messieurs les juges, passons maintenant au sujet du vol à effraction. Mon client Jacque Randel a très faim, marchant depuis 40 jours, il sent une odeur

première minute de leur discussion, tous vote coupable sauf un. Ce dernier reproche aux autres de ne pas puiser assez loin dans les hypothèses de sa possible innocence. Peu à peu il finira par tous les convaincre par diverses arguments. Contexte : Voilà que les "plaidants coupables" ne sont plus qu'à 8 contre 4 "plaidants non-coupable". Le protagoniste va avancer un autre élément qui en dissuadera 2 autres : Un des principaux alibis des "plaidants coupable", sont les témoins. Figure majoritaire de

Jean Racine écrivait des préfaces pour ses œuvres. Dans son œuvre de Phèdre, il décrit Phèdre en étant «Ni tout à fait  coupable, ni tout à fait innocente.» En effet,  sa culpabilité demeure bien ambigüe. Pourtant, on peut soutenir que le personnage de Phèdre porte à être plus coupable qu’innocente. Phèdre laisse sa passion s’emparer de sa raison. D’ailleurs, pour l’époque, une liaison entre une femme et son beau-fils est de l’inceste. Elle nuit au bien-être de sa famille, en plus d’être dans une

également la mort à : • Michel Bodin, en 1977, coupable de l'assassinat d'un retraité en 1977. • Mohamed Yahiaoui, en 1978, coupable du meurtre d'un couple de boulangers en 1973. • Michel Rousseau, en 1978, coupable du meurtre d'une enfant de sept ans. • Jean Portais, en 1979, coupable du meurtre d'une femme lors du braquage d'une bijouterie, puis du meurtre d'un brigadier de gendarmerie lors d'une interpellation. • Norbert Garceau, en 1980, coupable du meurtre d'une jeune femme le 14 juin 1979

appartenait bien à Mme. Marchal, mais qu’il se mélange avec l’ADN d’un homme, dont on ne trouve pas l’identité. De même pour l’arme utilisée lors du meurtre, un chevron de bois avec lequel le coupable a frappé Mme Marchal 4 fois. Aucune procédure fut mise en place pour essayer de trouver des traces génétiques que le coupable aurait éventuellement laissé dessus. Un autre élément encore plus choquant est que lors de l’autopsie on ne révéla aucune trace de sang sous les ongles de la victime, qui se serait servi

donc il cherche d’éventuels complices. Puisque Jean Calas est trop faible pour tuer son fils seul, alors il a des complices. Ce soir-là, il dînait avec sa famille, la servante et un ami ; ils ne se sont pas quittés un moment, donc si Jean Calas est coupable, ils le sont tous aussi. Or Voltaire veut nous montrer qu’aucune des personnes présentes n’avait de mobile suffisant pour tuer le fils Calas. Pour cela, il pose une série de questions rhétoriques qui visent à disculper chaque suspect. Le lecteur