Je l'aime à mourir

amoureux. Marie part à son rendez-vous à destination de Steph, quand dans une rue déserte Marie entend des coups de feu, Marie est blessée par la balle d’un soldat. Un couple d’octogénaire (Anya et Anton) passe dans la rue car ils voulaient fuir la ville mais quand ils aperçues Marie ils décident de la secourir. Le mari étant médecin tente de lui porter secours mais au vue de la gravité des blessures, il ne peut rien faire, seulement l’accompagner dans le couloir de la mort. Marie confit à Anya un message

en 1897 à Paris, Aragon vécu dès son enfance un roman familial compliqué : son père refusa de le reconnaître et sa mère se fit passer pour sa sœur. Malgré lui, il fit des études de médecine et fut médecin pendant la guerre 14-18. Il fréquenta les artistes de l’avant-garde et adhéra au parti communiste. Son amour déçu avec Denise Kahn lui inspira Aurélien en 1944. Dans cette longue rêverie sentimentale, Aragon décrivit le sentiment de l’absolu. Au chapitre LXI, on aperçoit Bérénice, seule, à la campagne

négociant ( son père lui a légué plus de cent mille livres de rente). Personnage assez rusé puisqu’il n’hésite pas à mettre à l’épreuve son mariage avec Angélique pour être persuadé que la jeune fille l’aime pour lui-même et non pour son argent. -Angélique:jeune fille innocente, sensible, elle défend la pureté de son amour inavoué avec courage (« j’y vais de tout mon coeur » dit-elle à Frontin à la scène 16) -Frontin: est le valet de Lucidor. Il est droit(Il n’hésite pas à mettre entre parenthèses

Collin : Physique : surnommée la Belle à cause de sa grande beauté, yeux mauves, petite et frêle, dite né pour éblouir Psychologique : confiante, grande présence (elle envahit l’espace), pas très gênée, perspicace, aimait avoir peur et se sentir vivante en faisant des activités exaltantes, sensible (elle s’émoie facilement), parle sans-cesse et n’écoute pas beaucoup. Sociale : ai aimé de tous, plusieurs garçons sont fous d’elles, plusieurs rumeurs colporter à propos d’elle et de sa famille Liens/relations :

Les deux œuvres influencés du symbolisme montrent beaucoup de styles différents ; d’une part, Apollinaire qui est connu pour sa renonciation a la ponctuation, son propre style d’intonation et de rythme et un ensemble de poèmes de contenus très différents, et d’autre part, le poète belge flamand, d’expression française, Verhaeren qui est poussé par la politique à évoquer les grandes villes, notamment visible dans son recueil Les Villes Tentaculaires publié en 1895. Il se pose alors

position et obtient du roi un duel entre don Sanche, qui l'aime aussi, et Rodrigue. Elle promet d’épouser le vainqueur. Rodrigue victorieux reçoit du roi la main de Chimène : le mariage sera célébré l'année suivante. Résumé par actes Acte I Acte 1 Scène 1 - Elvire et Chimène : Elvire retranscrit son entretien avec le père de Chimène. Elle lui annonce qu'il accepte son choix d'épouser Rodrigue. Chimène est agréablement surprise, mais elle a de mauvais pressentiments concernant cette union. Acte

Français ; commentaire composé sur Andromaque de Jean Racine. Jean Racine naquit à la Ferté Milon le 22 décembre 1639 , dans l'Aisne. Issu d'une famille bourgeoise, il fut orphelin très jeune, et fut ainsi envoyé à Port Royal, chez les jansénistes. Ne souhaitant pas s'engager dans une carrière religieuse, Racine commença à écrire ses premières pièces au cours des années 1660 . Mais c'est véritablement en 1667, avec la pièce Andromaque, que le jeune homme rencontra le succès. Les pièces qui suivront

Iseut : l’amour entre féodalité et courtoisie, l’invention de l’amour passion (Désir/besoin/raison) I - Ce que dit la légende bretonne, son contenu manifeste...   - L’Orphelin : Tristan naît orphelin : son père vient de mourir, sa mère Blanchefleur ne survit pas à sa naissance, d’où « Tristan ».   - L’orphelin recueilli par son oncle : Il est recueilli par le roi Marc de Cornouailles son oncle ( frère de Blanchefleur ) qui l’éduque.   - Le preux et la mort annoncée : Tristan accomplit

BARTHES, un écrivain et critique français du Xxeme siècle, a définit le théâtre de Racine comme un «théâtre de la Violence». Après avoir confirmé que les deux pièces, Andromaque et Iphigénie, représentent la violence sous toutes ces formes, nous analyserons les causes, puis les conséquences de celle-ci. Dans le théâtre de Racine, il y a trois formes de violence. Effectivement, il y a non seulement de la violence au sens propre, mais il y a également de la violence des passions et puis de la violence

30) 2.2.2 Caligula est aimé par son entourage «Cet empereur était parfait.» (page 18) «Oui, ton absence a duré longtemps.» (page 24) «Je l’aime. Il était bon pour moi. Il m’encourageait» (page 30) «Je n’ai pas besoin de jurer, puisque je t’aime.» (page 42) 2.2 Empereur bienveillant envers les autres 2.3.3 Caligula constate que la vie n’est pas ce à quoi il s’attendait et que les gens sont malheureux «Les choses, telles qu’elles sont, ne me semblent pas satisfaisantes