Je l'aimais

chaque jour comme le dernier, attendant patiemment que quelqu'un ou quelque chose l'aide à s'en aller d'ici. Pendant ce temps, je l'observais. Je me perdais dans sa beauté indéfinissable. Je l'aimais chaque jour un peu plus. Je l'aimais dans ses moments de joie comme dans ses moments de tristesse. Je l'aimais à travers ses mots, ses rires, ses erreurs et ses souvenirs. Lorsque j'étais à ses côtés, je me perdais également dans mes rêves. Je m'aventurais dans mes pensées, puis, silencieusement

appelle un acte désespéré par ici. Mais ce n’était que de l’amour. Le doigt sur la gâchette, je tire, et je le tue. Et je l’aimais, Je croyais que je l’aimais. Personne ne m’a dit que ce n’était pas une chose qu’on faisait. J’ai tout bonnement observé. Mais je suis quoi moi

Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas. « Pourquoi m'épouser alors ? » a-t-elle dit. Je lui ai expliqué que cela n'avait aucune importance et que si elle le désirait, nous pouvions nous marier. D'ailleurs, c'était elle qui le

Marie est venue me chercher et m'a demander si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avait déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas." Pourquoi m'épouser alors ?" a-t-elle dit. Je lui ai expliqué que cela n'avait aucune importance et que si elle le désirait, nous pouvions nous marier. D'ailleurs, c'était elle qui le

Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal, et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rienmais que sans doute je ne l'aimais pas. « Pourquoi m'épouser alors? » a-t-elle dit. Je lui est expliqué que cela n'avait aucune importance et que si elle le désirait nous pouvions nous marier. D'ailleurs, c'était elle qui le

Vera d’une voixrauque.Ses doigts étaient agités d’un tressaillement spasmodique.Elle eut soudain peur, peur de ce vieux militaire taciturne.— Voyez-vous, j’aimais Leslie, reprit-il d’une voix rêveuse.Je l’aimais infiniment…— Leslie, c’était votre femme ? l’interrogea Vera.— Oui, ma femme… Je l’aimais. J’étais fier d’elle. Elle étaitsi jolie… si gaie.Il resta silencieux une bonne minute, puis il reprit :— Oui, j’aimais Leslie. C’est pour ça que j’ai fait ce que j’aifait.— Vous voulez dire… ? murmura

charmants où mon âme ravie Passait à contempler Silvie Les tranquilles moments si doucement perdus. Que je l'aimais alors ! Que je la trouvais belle ! Mon coeur, vous soupirez au nom de l'Infidèle : Avez-vous oublié que vous ne l'aimez plus ? C'est ici que souvent, errant dans les prairies, Ma main, des fleurs les plus chéries Lui faisait des présents si tendrement reçus. Que je l'aimais alors ! Que je la trouvais belle ! Mon coeur, vous soupirez au nom de l'infidèle : Avez-vous oublié que

de madame rosa («  je voyais bien qu’elle ne respirait plus mais ça m‘était égale je l’aimais même sans respirer »).PARTIE 2 ; cependant tout n’est pas sombre dans ce roman premièrement on peut observer des lien d’amitié forts entre les différents personnage par exemple entre momo et le docteur Katz («  « )Il a aussi cette belle amitié entre momo et son chien Super, c’est un amour incommensurable (« je l’aimais tellement que je l’ai meme donné ») deuxièmement on est spectateur d’une très belle histoire

Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas. "Pourquoi m'épouser alors ?" a-t-elle dit. Je lui ai expliqué que cela n'avait aucune importance et que si elle le désirait, nous pouvions nous marier. D'ailleurs, c'était elle qui le

positive, enjouée par les liens sacrés du mariage qui à cette époque encore est une convention sociale. Selon Marie, le mariage est « une chose grave » ligne 12. Le terme « grave » exprimé ici est juste car le mariage est une preuve d'amour : « je l'aimais » ligne 4 et une preuve de confiance et d'engagement de l'un envers l'autre. Marie, en voulant se marier avec Meursault, suit les normes et les valeurs de la société dans laquelle elle vit. Marie n'hésite pas à montrer ses sentiments à Meursault