Jansénisme Et Théâtre

morale janséniste ou la misère de l’homme : la résistance chrétienne contre moderne. Contre attaque la modernité point à point. Le jansénisme est issu des échanges d’ID qui ont eu lieu entre 1617 et 1635 entre l’Abbé de Saint-Cyran et Jansen évêque d’Ypres. Projettent une réforme de l’Eglise Kto. L’Augustinus de Jansen est condamné par le Pape en 1653. Le Jansénisme ne rencontre qu’obstacle sur obstacle mais se perpétue. Port Royal = monastère de femmes qui ont refusé de souscrire à la condamnation

Commentaire composé de la troisième scène (Acte I) Travail élaboré par : Zouine Abdelaziz Cette scène est extraite de la pièce de théâtre PHEDRE de Jean Racine, parue pour la première fois en 1677. Cette pièce met en scène la souffrance morale et aussi physique de Phèdre, une femme divisée voire même déchirée entre son cœur et sa raison. Cette scène est la troisième scène de l’acte I. C’est la première scène où apparaît l’héroïne éponyme accompagnée de sa nourrice Œnone. Dès cette

possède pour les vivre. Cette fin oppose donc les visions morales janséniste et jésuite de l’époque, souvent en désaccord durant la seconde moitié du XVIIe siècle. L’écriture de La Princesse de Clèves est en effet fortement influencée par le jansénisme, doctrine religieuse dont Mme de La Fayette était proche. Selon les jansénistes, l’homme est coupable du fait du péché originel et n’a que peu de chance de rédemption. Pour obtenir le salut, il doit mener une vie irréprochable et se tenir à l’écart

puisqu'elle sert d'exposition à la pièce mais exprime en même temps une sortie vers la mort Les personnages devront passer de vie à trépas au nom de l'honneur, la purgation des passions, mais aussi de la bienséance. Ouverture -- empreinte du jansénisme dans l'œuvre de Racine (le héros, prédestiné, n'échappe pas à sa fatalité) -- Naturistes (étude des tares familiales) -- Chronique d'une mort annoncée (Garcia Marquez) Place dans l'oeuvre -- Acte I : Scène 1 : Début in medias res, la scène

noirceur humaine → cour = ambition, rivalité, intérêt → lieu de mensonge où chacun porte un masque, art de la maîtrise de soi ( PDC ne le maîtrise pas art du mensonge → troubles et rougeurs récurrents mais elle feint souvent d’être malade)→ cour = théâtre → chaque perso joue un rôle + mises en scène → Mme de LF dénonce l’hypocrisie tyrannique qui étouffe l’homme + peint les mœurs pour corriger les vices 2. Coulommiers = un lieu hors du monde :→ lieu propice solitude, favorise repli sur soi → lieu

fragilité et par l’inconstance de toute chose. La poésie de Malherbe, notamment, reflète cette pensée. Ce courant se caractérise par les principes de la pensée baroque : relativité de toute vie humaine, dont la mort est un des passages obligés. Dans le théâtre, on remet en question la réalité de ce que nous croyons vivre : et si tout n’était qu’une grande illusion ? Si nous vivions au pays des faux-semblants ? (L’Illusion comique, La Vie est un songe). . Le XVIIe siècle met l’argumentation au service

considéré comme un des plus grands tragédiens classiques. La tragédie « classique » est née de la relecture des tragiques anciens. Son sujet est mythique ou historique, ses personnages sont de la très haute noblesse et son style est élevé. Comme dans le théâtre antique, la tragédie a une fin morale. Elle doit permettre aux spectateurs de s'améliorer sur le plan moral, en combattant certaines de leurs passions. La solide culture antique de Racine et le mouvement classique ont donc de l’influence sur ses écrits

excellente (hypermnésie), mais il est tout aussi apte à développer des raisonnements très subtils. Paradoxalement, c’est en prison que se fit son éducation, au contact du Janséniste Gordon, qui lui fit découvrir l’histoire, la littérature et le théâtre. « Je serais tenté, dit-il, de croire aux métamorphoses, car j’ai été changé de brute en homme ». Peu à peu, il abandonne ses mœurs primitives, mais conserve l’avantage qu’il en a tiré: celui d’une « cervelle sans nuages », donc, sans préjugés!

Cours de français (2010-2011) A. Racine et le théâtre Pièce de théâtre : Forêts - WAJDI MOUANAD Wajdi MOUANAD est un Libanais qui vit au Canada. Il a écrit des pièces telles que : a) Littoral b) Incendie c) Forêts d) Rêves Arbre généalogique Alexandre - Mathilde l l Odette - Edmond l l Ludivine l Luce - Achille l Aimée - Baptiste

la plante réputée pour calmer les fièvres. Il s'est essayé à la poésie satirique, avec Le Florentin (1686) et à la poésie de cour, avec Le Songe de Vaux, poème inachevé qu'il entreprend en 1660 à demande de Fouquet. Il a également composé pour le théâtre et collaboré à des spectacles de cour. L'expérience d'une vie Les Fables n'en doivent pas, pour autant, être noyées dans l'ensemble de la production. Elles apparaissent comme l'œuvre de toute une vie : elles sont progressivement élaborées et publiées