J'ai tué ma mère

Il avait votre port, vos yeux, votre langage, Cette noble pudeur colorait son visage » (acte 2, scène 5). Racine a choisi d’écrire ce texte a la manière d’une poésie puisque l’on peut trouver des rimes. Cet amour est sincère mais impur puisqu’ une mère doit aimer son fils d’un amour maternelle et non pas d’un amour que l’on offre a son mari, or ses dits prouve qu’elle aime son beau fils d’un amour contre nature. Par la suite Phèdre éprouve de la peur lorsqu’elle apprend que Thésée est en vie, elle

J’ai saigné Première partie : 1. Présentation Nom de l’auteur: Blaise Cendrars Titre, éditeur et collection : J’ai saigné, Hatier, Classiques & Cie. Première date de parution : Sa première parution a u lieu entre 1349 et 1351 dans le recueilles de cent nouvelle de Boccace. Nombre de chapitre : Le livre se passe en trois chapitres. 2. L’auteur Présenter L’auteur : Né à la Chaux-de-Fonds - Suisse - le 1er septembre 1887, d'une mère écossaise et d'un père Suisse de son véritable nom Frédéric

1. Sa liberté d'action 1.1 La mort de sa mère Piste pour commentaire : Lors de la mort de sa mère, Meursault ne prit pas la peine de pleurer, même si les meurs et les croyance religeuses de son époque lui dictais d'être triste, il choisit alors de faire son deuil à sa façon et de ne pas respecter ses normes. 1.1.1 «J'ai eu alors envie de fumer.» et «J'ai réfléchi, cela n'avait aucune importance.». Il fuma à coté du lit de mort de sa mère. Cette action pour lui ne signifiait rien tendis

de la même famille : la mère Martial et une de ses filles Calebasse. Les Martial sont une famille d'assassins qui ont tenté de noyer La Goualeuse sous les ordres de Jacques Ferrand. En effet la chouette faisait du chantage au notaire : soit il lui donnait 10000 francs, soit la Goualeuse recevrait des papiers disant qu'elle avait été confiée, dans son enfance, aux soins du notaire. Lors de la présentation de cette famille, on découvre que le père est mort guillotiné, la mère Martial s'est alors retrouvée

De la lecture au sens des mots. * Huis Clos ; Jean Paul Sartre Le livre « Huis clos » de Jean-Paul Sartre est une pièce de théâtre. On peut y retrouver bon nombre de thèmes. Parmi ceux-ci, j’ai relevé trois thèses. Premièrement, chacun est l’enfer de chacun. Ensuite, les autres nous renvoient l’image de nous-mêmes, celle que l’on ne veut pas voir. Et enfin, chacun inflige une torture morale à l’autre. Toutes les trois sont basées sur la phrase « L’enfer, c’est les autres ». Garcin : « Vous

ce passage de texte est un point de vue interne, nous voyons tout de l’œil et de la pensée de Meursault. Ainsi, nous apprenons sa réaction lors du décès de sa mère qu'il ne croit pas immédiatement et qu'il prend à la légère sans le comprendre mais c'est lorsqu'il rend visite à ses collègues de travail, qu'il réalise qu'il n'a plus de mère. Après, il va voir le directeur de l'asile. C'est un début pour le moins brutal « aujourd'hui, maman est morte ».) Introduction : Ce roman est le plus connut

pourtant j’aurais dû être tué cent fois, et à chaque minute, pendant ces huit longs jours, j’ai cru ma dernière heure arrivée. Nous étions tous montés là-haut après avoir fait le sacrifi ce de notre vie, car nous ne pensions pas qu’il fut possible de se tirer de pareille fournaise. […] Huit jours sans boire et presque sans manger, huit jours à vivre au milieu d’un charnier humain, couchant au milieu des cadavres, marchant sur nos camarades tombés la veille ; ah j’ai bien pensé à vous tous durant

la mort de sa mère, - il n’a pas fréquenté le proxénète, c'est ce dernier qui est venu le voir et pour en faire son témoin et l’aider à écrire une lettre - il n'a pas tué par préméditation, mais plutôt par accident, par hasard.... etc. Tout au long le narrateur semble vivre à coté de lui-même, étranger à lui-même, aux autres, à la vie, tout semble lui tomber dessus Page 142: « Messieurs les jurés, le lendemain de la mort de sa mère, cet homme prenait

avec effets sonores. « Alors, j'ai commencé à faire une chose très bizarre : plusieurs samedis et dimanches de suite, j'ai commencé à construire de jolies petites roues en bois, bricolées comme ça, le long d'un ruisseau […]. Aucune idée d'art […]. Dans la forêt, j'utilisais un ruisseau : il faut dire que c'était une forêt de sapins qui formaient une sorte de cathédrale, avec les qualités sonores d'une cathédrale […], les sons s'amplifiaient formidablement bien. J'ai fait jusqu'à deux douzaines de

mais dans la société. Il fait ce qu’il croit qu’il doit faire, il ne s’interroge pas si c’est bien de faire quelque chose ou pas. Pourtant il a confiance dans la société, dans une société qui le va à juger pour n’avoir pas pleuré après la morte de sa mère. 2. Quelle sensation avez-vous eu à la fin de la lecture du livre ? Vous a-t-il apporté quelque chose (vocabulaire, syntaxe, civilisation, connaissances culturelles, scientifiques.. ? Avec la lecture de ce livre j’appris beaucoup. Principalement