J'ai tué ma mère

encore André Chénier dans ses diverses poésies. Viennent ensuite les artistes peintres tels que Eugène Delacroix avec «Médée furieuse», Frederick Sandys avec “Médée la Magicienne”, Henri Klagmann, Victor Mottez, ou encore Van Loo ou Médée tue ses enfants. Mère et femme trahie avant d'être une meurtrière, Médée est la fille du roi de Colchide Aétès, et magicienne comme sa tante, Circé. Elle donne naissance à deux jumeaux : Merméros et Phérès dont Jason est le père. Particulièrement sombre, la légende

pardonne à la sorcière et on souhaite que la maladie disparaisse après. Quand la maladie ne s’arrête pas, on accuse la sorcière en lui envoyant l'aile d’un coq mort. On se cherche aussi une nouvelle sorcière. Quand une sorcière est accusée d’avoir tué quelqu’un, elle doit payer. Premièrement, elle peut avouer. Si elle n’avoue pas le crime, elle est bannie du village et la porte de sa maison est barricadée avec des broussailles d’épines. Après plusieurs crimes, la sorcière est tuée avec un javelot

certainement ce qui lui permet de s'exprimer en toute franchise sur des sujets graves et avec des mots simples. 2°) Le recueil : A) PARIS :  Jacques Prévert est un amoureux de Paris, il est d' ailleurs surnommé le Parisien Bohème. J'ai retenu 2 poèmes où il parle de Paris. « La rue de Buci maintenant... »: La rue de Buci est une voie située dans le sixième arrondissement de Paris. Dans ce poème, Jacques Prévert fait une description de cette rue après la guerre, le fait qu'elle

lentement le salon, il s'approche de la cheminée, prend le paquet d'allumette ouvert, heureux, au passage allume son Mp3 dans sa poche sa musique demarre, il retourne au près du cadavre URBAIN Bon on évite la bise j'ai plus trop de temps URBAIN fait un demi-tour lance l'allumette en arrière le visage satisfait. Le cadavre prend feu bruit couvert par la musique classique de URBAIN.

d'Albert Camus 1913 Naissance le 7 novembre à Mondovi, près de Bône, en Algérie. Sa mère est quasi sourde et illettrée. Son père est ouvrier. 1914 Son père, Lucien Camus, meurt à la guerre, à la bataille de la Marne. Il a un frère aîné, Lucien. Sa famille mène une vie misérable et s'installe à Alger, dans le quartier populaire de Belcourt. Il est élevé par sa mère, Catherine Sintès, et par sa grand-mère rude et autoritaire. 1924 Il rentre au lycée Bugeaud d'Alger. Il s'illustre comme

disputèrent une place dans mon esprit déjà boulversé .Depuis la mort de ma mère, qui donna suite à mon internement, les choses avaient changé,ma vie avait changé.Désormais j allais pouvoir reprendre ma vie là où je l avais laissé.Retrouver mon père et ma soeur,Sarah,elle m'avait tant manqué.J aurais aimé qu'elle soit à mes côtés durant ces deux longues et dures années.Cependant je ne m attendais pas à voir ma mère si vite remplacée.Une jeune femme aux longs cheveux roux préparait le dîner

d'Anctoville , dans le Calvados, un nouveau né meurt assassiné par sa mère. Quelles sont les raisons ayant entraîné une jeune femme célibataire à commettre l'irréparable avec l'intervention de sa grand-mère ? Des circonstances atténuantes peuvent-elles être envisagées dans un cas semblable ? C'est sur ces questions que les jurés ont eu à se prononcer en leur âme et conscience et que la Cour d'Assises du Calvados a délibéré. L'enquête que j'ai conduite en tant que journaliste au journal de Bernay m'a amené

meurtre passionnel de l’écrivain par strangulation, de sa jeune cousine qu’il avait aimée étant enfant. L’octogénaire avoue tout de cette journée du 13 août 1925, en trouvant des théories excusant son crime totalement déconnecté en effet il l’aurait tué pour l’empêcher de devenir une femme avec son accord, les souvenirs le font tomber dans un moment d’extase après ses longues années de solitude. Il voit en la jeune femme son avatar, et lui demande de le tuer. Elle l’étrangle pour venger Léoplodine

J’ai quand même était très surprise du dénouement du livre et par la violence de la scène de torture, qui a mon goût, était assez effrayante et bien trop

personnage difficile à comprendre, qui semble être étranger à tout, y compris lui-même. Il est atypique car il ne correspond presque à aucun critère du héros de roman. Il paraît insensible et pourtant ressent des émotions, par exemple à l’enterrement de sa mère. Il a aussi un grand sens de l’honneur et de la responsabilité. Il rejette les normes sociales, la justice des hommes et même celle de Dieu. La relation qui le lie au lecteur est très ambiguë, on a du mal à le juger. Autres personnages importants :