J'ai tué ma mère

OI : Jean Cocteau, La Machine infernale (1934) Jean Cocteau, La Machine infernale (1934) Textes en lecture analytique : Acte I LA VOIX 1 5 10 15 20 25 30 « Il tuera son père. Il épousera sa mère. » Pour déjouer cet oracle d’Apollon, Jocaste, reine de Thèbes, abandonne son fils, les pieds troués et liés, sur la montagne. Un berger de Corinthe trouve le nourrisson et le porte à Polybe. Polybe et Mérope, roi et reine de Corinthe, se lamentaient d’une couche stérile. L’enfant, respecté des ours

fit une fois encore le tour de la petite salle de consultation et me regarda d’un air curieux. Je réfléchis un court instant et je commençai mon explication : « -J’ai un exemple bien précis, hier soir lors d’un diner en tête-à-tête nous parlions de nos lectures actuelles et une fois de plus nous ne partagions point le même avis. J’ai cité une citation d’Albert Camus que je trouvais juste et encore une fois elle pensait différemment. -Voulez-vous bien m’éclairer sur les causes de votre désaccord

son pilote Elpénor qui s’est tué en tombant de la terrasse du manoir. J’ai aimé cette partie car il y avait de l’action de l’émotion. Résumé : Arrivé au pays des Cimmériens, devant l'entrée du monde souterrain, Ulysse étrangle les victimes en suivant les conseils de Circé et reprend le sang dans la fosse qu'il a creusée. Arrive d'abord l'âme d'Elpénor qui lui demande une statue. Ecartant sa mère, Ulysse entend Thirésias, les obstacles qui l'attendent encore, puis sa mère qui lui donne des informations

il a laissé en Kabylie est là. Mais tout changea pour lui le jour ou son oncle est tué dans la mine par ce Polonnais ,lui naif a fait un faut temoignage.Amer sombra dans la boisson mais Ramdane le sage le tira de cette situation  apres la premiere guerre mondiale il rentre a Paris la il retrouve une ancienne connaissance chez Madame Garet dans le 18em il sagit de Marie qui n'est que la fille de son oncle Rabah tué par ce Polonnais,Marie vivait avec un monsieur et frequente les bars.Amer tomba amoureux

un homme) C’est lui ? C’est l’Amiral ? Qu’est-ce qui s’est passé ? L’homme : Un miracle ! La balle lui a seulement déchiré le bras ! La Môle se précipite vers un Seigneur protestant. Le seigneur : Qu’est-ce que tu veux, toi ? La Môle : J’ai une lettre pour Monsieur l’Amiral. Mon père était son plus grand ami. Le seigneur : Plus tard ! La Môle : J’arrive d’Aix en Provence. Je suis venu pour rejoindre l’expédition des Flandres. Le seigneur : (s’éloignant) Mais tu n’es pas le seul 

et le cinéma. Avec la Machine infernale, pièce en 4 actes représentée pour la première fois le 10 avril 1934 à Paris, Cocteau reprend et adapte l'histoire d'Œdipe, qui, selon l'oracle de Delphes, devait tuer son père, le roi de Thèbes, et épouser sa mère. Voulant se libérer du carcan mythologique et de la tradition (Sophocle), Cocteau utilise toute la gamme de son écriture (tour à tour sobre, emphatique, triviale ou classique), il introduit la fantaisie, la poésie au cœur du drame austère, en lui adjoignant

fléchir Électre d'abandonner le Jardinier et de revenir au palais. Électre lui présente celui qui remplace le jardinier. Méfiance de Clytemnestre qui l'interroge sur sa mère puis qui finit par partir chassée par Électre. Scène 8 : Oreste seul avec Électre et en présence du mendiant la questionne sur la haine qu'elle ressent pour leur mère alors que la soeur s'attache à faire naître symboliquement son frère d'elle et non de Clytemnestre. Puis Électre révèle tout ce que sa haine à l'égard de la femme

un des personnages principaux de la fabula. Celle-ci devenait de plus en plus célèbre et Gracus aussi. Il commençait à avoir des fans et des problèmes. C'est un inspecteur se nommant Lucius qui va mener l’enquête. Le premier témoin interrogé est la mère de Gracus, Arménia. Lucius, arrivé chez elle, commença à l 'interroger sur la mort tragique de son fils. Le jeune enquêteur lui demanda : « Votre fils avait-il des problèmes ces temps-ci ? ». Elle lui répondit en pleurant : «  Mon fils fière de

Il utilise des interjections, ce qui renforce sa tristesse. Nous pouvons voir aussi dans La marche infernale, la tristesse d'Oedipe quand il apprend que sa femme est en réalité sa mère et qu'il a tué son pere, Laïus. Aux vers 9 et 10, Oedipe dit «J'ai tué celui qu'il ne fallait pas. J'ai épousé celle qui fallait pas. J'ai perpétué ce qu'il ne fallait pas. Lumière est faite...» cela montre qu'il est triste, qu'il découvre toute la vérité. De plus, on aperçoit un parallélisme car il se répété, il utilise

190 Ecoute-moi et apprends qu’aucun mortel ne possède l’art J de prophétiser. Jadis, Laïos reçut un oracle selon lequel son destin serait d’être tué par le fils qui naîtrait de lui et de moi. Or, ce sont des brigands étrangers, dit-on, qui le tuèrent à la jonction de trois routes. Quant à l’enfant, il n’était pas né depuis trois jours que son père le liait par les chevilles et le faisait jeter sur une montagne déserte. Ne te préoccupe donc pas de l’oracle