J'ai tué ma mère

Meursault ne réagis pas lorsqu’il apprend que sa mère est morte. 4) Meursault ne pouvais plus s’occuper de sa mère il l’ donc mise dans un asile 5) La dernière année il n’allait presque plus la voir 6) Le concierge a proposé de voir sa mère une ultime fois 7) Durant la veillée funèbre Meursault s’endort, et prends un café offert par le concierge . 8) Mr Pérez est un vieil ami de la mère de Meursault 9) Le soleil tue l’enterrement avec sa chaleur insupportable L’enterrement

L’étranger écrit par Albert Camus parle d’un homme nommé Meursault. Dès la lecture commencée, la mère de Meursault décède. Meursault, en tant qu’individu existentiel, enterre sa mère sans larme. Par la suite, le héros du roman rencontre une ancienne collègue nommée Marie et celle-ci devient sa maitresse. Raymond, un de ses voisins, invite Meursault à passer un dimanche au bord de la mer dans le cabanon d’un ami, Masson, où il a invité Marie. Après le repas, les hommes se promènent sur la plage et

possession de condamner ou innocenter cet homme ayant commis un homicide de légitime défense. Tout d'abord, cet homme, Mr Meursault, a tiré et tué cet arabe, mais devrait t-il mourir ? Non, car il n'avait aucune intention de le tué. Moi aussi, je me suis penché sur cette âme, mais, contrairement à l'éminent représentant du ministère public j'ai trouvé quelque chose et je puis dire que j'y ai lu à livre ouvert. C'était une après-midi d'une chaleur étouffante, le soleil chauffer la plage et éblouissait

-« Autobiographie d’une courgette » en 2002 - « Au pays des kangourous » en 2012 Genre de l’œuvre : C’est un roman, une autobiographie Epoque : le roman a été écrit en 2002, au XXI ème siècle Personnage principaux : Icare/ Courgette : orphelin qui a tué sa mère en voulant tuer le ciel et qui va être adopté par Raymond, un gendarme. Raymond : gendarme qui va adopter Icare et Camille. Il a déjà un fils : Victor. Camille : orpheline qui va tomber amoureuse de courgette. Simon : enfant qui sait tout sur

escript. PERSONNAGES Père Ubu. Mère Ubu. Capitaine Bordure. Le Roi Venceslas. La Reine Rosemonde. Boleslas...) Ladislas...) leurs fils. Bougrelas..) Le général Lascy. Stanislas Leczinski. Jean Sobieski. Nicolas Rensky. L'Empereur Alexis. Giron...) Pile....) Palotins. Cotice..) Conjurés & Soldats. Peuple. Michel Fédérovitch. Nobles. Magistrats. Conseillers. Financiers. Larbins de Phynances. Paysans. Toute l'Armée russe. Toute l'Armée polonaise. Les Gardes de la Mère Ubu. Un Capitaine. L'Ours. Le Cheval

leur donnons jamais assez, car ils sont très durs envers nous. LE CAPPADOCIEN Dans mon pays il n'y a pas de dieux à présent, les Romains les ont chassés. Il y en a qui disent qu'ils se sont réfugiés dans les montagnes, mais je ne le crois pas. Moi, j'ai passé trois nuits sur les montagnes les cherchant partout. Je ne les ai pas trouvés. Enfin, je les ai appelés par leurs noms et ils n'ont pas paru. Je pense qu'ils sont morts. PREMIER SOLDAT Les Juifs adorent un Dieu qu'on ne peut pas voir. LE CAPPADOCIEN

un moment donné, cependant, je l'ai écouté Meursault trouve le temps long . Il y a une tentative de la part du personnage de s'intéresser à son procès. Emploi de pronom personnel « Je » + Gradation parce qu'il disait : « Il est vrai que j'ai tué. » Puis il a continué sur ce ton, disant « je » chaque fois qu'il parlait de moi. L'avocat se substitue à Meursault le réduisant au silence. Cela étonne Meursault qui n'est pas familier à l'univers judiciaire. Il interprète cela comme une volonté

rythme est irrégulier : les réplique sont parfois rapide (stichomythies) et lent (ex : tirade de la mère à la fin de la scène). Il y a les didascalies pour construire la scène. 2. La mère est un personnage dans l’excès. Elle lui dit qu’il est fou, qu’elle a peur de lui. Elle ne veut pas qu’il soit gentil avec elle car pour la mère, c’est une façon de l’amadouer. La mère ce défend en expriment sa défense. On a l’impression qu’elle le reconnaît plus. 3. La

femme depuis six mois. Ils venaient souvent me faire réparer des meubles anciens, parce que je suis habile dans le métier.     Et quand on lui demandait :     — Pourquoi les avez-vous tués ?     Il répondait obstinément :     — Je les ai tués parce que j'ai voulu les tuer.     On n'en put tirer autre chose.     Cet homme était un enfant naturel sans doute, mis autrefois en nourrice dans le pays, puis abandonné. Il n'avait pas d'autre nom que Georges Louis, mais comme, en grandissant, il devint singulièrement

depuis six mois. Ils venaient souvent me faire réparer des meubles anciens, parce que je suis habile dans le métier.     Et quand on lui demandait :     — Pourquoi les avez-vous tués ?     Il répondait obstinément :     — Je les ai tués parce que j'ai voulu les tuer.     On n'en put tirer autre chose.     Cet homme était un enfant naturel sans doute, mis autrefois en nourrice dans le pays, puis abandonné. Il n'avait pas d'autre nom que Georges Louis, mais comme, en grandissant, il devint singulièrement